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L' Agora
Forum politique de libre expression & historique sans tabou.
Bienvenue sur le forum de L'AGORA, ici, le livre de notre Histoire a toutes ses pages....
(Noël 1941)
Exemple de quelques pages d'Histoire "occultées" dans nos livres d'Histoire....JO 1936 à Berlin : (Au dernier moment, toutefois, le comité américain, qui craignait les équipes hollandaise et allemande, revint sur sa décision. J. Owens et R. Metcalfe furent choisis aux dépens des deux athlètes… juifs. (S. Stoller et M. Glickman)(voir photo suivante) Le Bétar en uniforme avec son drapeau à Berlin:"En Histoire, la croûte, c’est le mensonge en lui-même, le pus, c’est l’occultation qui l’accompagne. N’hésitons pas à inciser et à tout purifier …"
Le saviez-vous ?
" Les Juifs déclarent la guerre aux Allemands en 1933."
"La Judée déclare la guerre à l'Allemagne"
Discours d'Adolf Hitler contre le Nouvel Ordre Mondial.
Le saviez-vous ?
Qu'est-ce que le fascisme ? - Petite leçon rapide sur le fascisme.
« Quatre années d’Allemagne d’Hitler vues par un étranger »
de Cesare Santoro.
Affiche de propagande NS: (" On y voit une série d'animaux saluer Goëring.En haut à droite: un signe disant " Vivisection interdite" ( vivisection verboten ).
(" Les animaux de laboratoires saluant Hermann Göring" )
Ces Nazis Noirs qui soutenaient Hitler.
La liberté d'expression au "pays des Droits de l'Homme", c'est ça.... />
...hélas, d'autres "démocraties" embastillent ses citoyens pour délit d'opinion,voyez cette vidéo >
C'est un proverbe populaire utilisé par Shakespeare: "Henry IV", Première Partie, Acte III, scène 1, page 640 édition La Pléiade, traduction de Victor Hugo: << Dites la vérité, et vous humilierez le diable. >>
Ursula Haverbeck explique pourquoi l'Holocauste est le plus grand et le plus persistant mensonge de l'Histoire.
Ursula Haverbeck, 87 ans, est condamnée à dix mois de prison ferme !
Ursula Haverbeck, surnommée en Allemagne la « mamie nazie »,
a soutenu lors de son procès que « le camp d’Auschwitz n’a pas été un lieu d’extermination».
L'interview Vérité de Robert Faurisson à Méta Tour.
Démocratie dictatoriale :
Wolfgang Fröhlich,
en prison depuis 10 ans
pour délit d’opinion.
Udo Voigt (NPD):
Violations des droits de l'homme en Europe :
Dieudonné, Fröhlich, Haverbeck.
"Qui ne gueule pas la vérité, quand il sait la vérité, se fait complice des menteurs et des faussaires" (Charles Péguy)
« Débattre avec quelqu'un,c'est prendre le risque de changer d'avis » (Raymond Aron)
"L'Histoire est du vrai qui se déforme,et la légende du faux qui s'incarne" (Jean Cocteau)
DEVOIR DE MEMOIRE = DRESDE, les 13, 14 et 15 FEVRIER 1945.
" Dresde : Crime contre l'humanité,impuni à ce jour...."
"Souvenons-nous: Dresde 13,14,15 février 1945"
(Sur les raids aériens, lire « L’Incendie » de Jörg Friedrich aux éditions de Fallois. 2004 ).
HELLSTORM - Tempête Infernale:ce film racontel'histoire que les vainqueurs,encore à ce jour, ne veulent pas que vous sachiez...
6 août 1945 : "Barbarie démocratique : Hiroshima "
« Il y a quelque chose de pire que d'avoir une mauvaise pensée. C'est d'avoir une pensée toute faite. »(Charles Péguy)
"Qui n'entend qu'un son, n'entend qu'une cloche, écoutons les deux sons de cloche..."
Claude Sarraute: "notre shoa ont l'a vendu au monde entier".
Ayatollah Khamenei - "Les temps sombres sont devant nous "...
Un rabbin anti-sioniste : « la shoah a été créée par des sionistes. »
" Le professeur Faurisson a eu 85 ans le 25 janvier 2014. Voici la vidéo qu'a composée pour lui un de nos correspondants allemands, que nous félicitons également "
" 1990, 45 ans après Nuremberg,les Sovietiques reconnaissent l'assassinat des officiers polonais dans la forêt de Katyn...."
" Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis...."
L'avis de nos présidents de la république :
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Les Derniers Jours du Grand Mensonge...
Aucun Juif gazé - 'I'm With You'...
Derniers Libres Propos d'AH (recueillis par Martin Bormann)
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Message
Spartacus Kouros Messages : 2078 Date d'inscription : 13/03/2010 Age : 58 Localisation : Les arènes
Sujet: Derniers Libres Propos d'AH (recueillis par Martin Bormann) Mar 12 Avr - 13:33
"Qu'est-ce qu'un prophète ? Une allumette !... Ce n'est pas le doute,c'est la certitude qui rend fou."
Fredrich Nietzsche,Ecce Homo (1888).
Derniers Libres Propos d'Adolf Hitler (propos recueillis par Martin Bormann)
Le texte fascinant que le lecteur va lire plus loin,a une histoire. Quittant Berlin,pulvérisé par les bombardements de terreur (ou terroristes,comme on voudra) des Britanniques et des aviateurs US, ruiné par les combats des derniers jours d'avril contre l'envahisseur soviétique,Arthur Axmann,le chef de la Hitler Jugend depuis l'été de 1940, un grand mutilé de la campagne de France et l'un des organisateurs de la défense de Berlin,emmène avec lui quelques feuillets dactylographiés: ce qu'il a pu sauver du désastre des ultimes Libres Propos d'Adolf Hitler.
Il ne s'agit que d'une partie des propos recueillis directement,en ces derniers mois de guerre,par le plus proche collaborateur civil du Führer,Martin Bormann, Reichsleiter et "secrétaire du Führer pour le Parti". Hormis l'ultime déclaration du Führer,dictée à l'une de ses secrétaires le 28 avril,l'avant-veille de son suicide,et intitulée Testament politique, ces feuillets constituent les dernières réflexions d'Adolf Hitler (AH,pour la suite du texte) dont la postérité pourra prendre connaissance. Ces Propos de l'année 1945 avaient été frappés à la machine par Martin Bormann lui-même,en trois exemplaires. Le premier,portant le paraphe d'AH,semble avoir brûlé lors de la bataille de Berlin (l'ouverture des archives de l'ex-URSS n'a pas permis de retrouver cet exemplaire,reste à savoir si l'enquête a été exhaustive). Le second a disparu dans le crash de l'avion qui transportait vers Berchtesgaden les papiers intimes et des archives du Parti et de l'Etat que le Führer voulait conserver:l'avion abattu au-dessus de la Saxe,Axmann n'a réussi à emporter que quelques-unes des pages du 3è exemplaire. Grâce à lui,nous disposons des déclarations d'AH pour 14 jours de février 1945 et celles du 2 avril.On sait qu'AH est rentré à Berlin le 16 janvier 1945, de retour de son ultime QG de guerre,l'Adlerhorst (le nid d'aigle) d'Ohrdruf, dans les Monts du Taunus,à l'ouest de Francfort/Main. Axmann a remis ces feuillets à l'héritière du Führer,sa soeur Paula,qui vivait à Berchtesgaden.Le 17 juillet 1952,devant Me Alfred Seidl,avocat munichois (qui avait défendu Rudolf Hess devant le TMI de Nuremberg),Paula Hitler a cédé au Suisse François Genoud les droits d'édition de tous les Libres Propos d'AH (ceux de juillet 1941 à novembre 1944 et ceux de 1945,étudiés dans ce livre). Genoud a fait éditer les Propos de 1945 en 1959,sous le titre inexact de Testament politique d'Hitler.On sait qu'AH a dicté un véritable Testament Politique 48 heures avant de se suicider,remerciant le peuple allemand pour son héroïsme et son abnégation durant ce conflit titanesque et se plaignant à juste titre des nombreuses trahisons des officiers allemands ainsi que de la médiocrité de l'état-major de la Heer (l'Armée de terre)... l'histoire précise des trahisons,à la fois si nombreuses et si effarantes par leur origine (l'OKH-l'état-major de la Heer et l'OKW-l'état-major personnel du chef de l'Etat,chef des armées),reste à faire,il n'est pas sûr,dans l'ambiance médiatique actuelle,qu'elle serait diffusée de façon honnête ! *
I
Quartier Général du Führer,4 février 1945.
Pitt et Churchill - Pitt prépare la grandeur de l'Empire, Churchill creuse son tombeau - L'Europe a perdu sa primauté - La Grande-Bretagne aurait dû accepter une paix blanche - Le IIIè Reich était condamné à faire la guerre - Le malheur et l'adversité,origine des grands relèvements.
" Churchill se prend pour Pitt.Quelle erreur est la sienne ! En 1793,Pitt avait trente-quatre ans.Churchill est malheureusement un vieillard,tout juste capable d'exécuter les ordres du démentiel Roosevelt. D'abord les situations ne sont nullement comparables. Il faut se replacer dans les conditions de l'époque.Du point de vue de l'Angleterre,Pitt avait parfaitement raison de ne pas transiger avec Napoléon. En s'obstinant comme il l'a fait,dans des conditions impossibles,Pitt préservait les chances qu'avait son pays de jouer le rôle qui fut le sien au XVIIIè siècle. C'était une politique de vie. En refusant de s'entendre avec moi,Churchill a entraîné son pays dans une politique de suicide.Il a commis la même erreur que commettent les généraux qui conduisent une guerre selon les normes de la guerre précédente. Il s'agit là de schémas qui ne sauraient se superposer. Le fait nouveau,c'est l'existence de ces géants que sont les Etats-Unis et la Russie. L'Angleterre de Pitt assurait l'équilibre mondial en empêchant toute hégémonie en Europe,en empêchant donc que Napoléon arrivât à ses fins. L'Angleterre de Churchill,tout au contraire,devait permettre l'unification de l'Europe pour maintenir cet équilibre. Je me suis efforcé d'agir,au début de cette guerre,comme si Churchill devait être capable de comprendre cette grande politique. Il était capable,dans un moment de lucidité,de la comprendre. Mais il est depuis trop longtemps lié aux Juifs. Mon idée,en ménageant les Anglais,était de ne créer l'irréparable à l'Ouest. Plus tard,en attaquant à l'Est,en crevant l'abcès communiste,j'ai eu l'espoir de susciter une réaction de bon sens chez les Occidentaux. Je leur donnais l'occasion,sans y participer,de contribuer à une oeuvre de salubrité,nous laissant à nous seuls le soin de désintoxiquer l'Occident. Mais la haine qu'éprouvent ces hypocrites pour un homme de bonne foi est plus forte que leur instinct de conservation. J'avais sous-estimé la puissance de la domination juive sur les Anglais de Churchill. Ils préfèrent en effet sombrer dans la déchéance plutôt que d'admettre le National-Socialisme.Ils eussent admis à la rigueur un antisémitisme de façade de notre part.Mais notre volonté inébranlable de miner à sa base la puissance juive dans le monde,ils n'ont pas un estomac assez solide pour digérer cela ! Le génie de Pitt,c'est d'avoir pratiqué une politique réaliste,en fonction des données du moment. Une politique qui a permis l'extraordinaire essor de son pays et qui lui assura la suprématie mondiale au cours du 18ème siècle. La copie servile de cette politique,et sans tenir compte de circonstances qui ne sont plus les mêmes,ce qu'a fait Churchill,est une pure absurdité . C'est que le monde a changé depuis le grand Pitt ! Si les changements ont été relativement lents pendant un siècle, la première guerre mondiale les a précipités,et la présente guerre nous conduits à des échéances.
Au début du XVIIIè siècle, du point de vue de la puissance,l'Europe seule comptait. Les grands empires asiatiques étaient tombés dans un sommeil qui ressemblait au sommeil de la mort. Le Nouveau Monde n'était qu'une excroissance de l'Europe,et personne, raisonnablement,ne pouvait prévoir le prodigieux destin des treize colonies anglaises qui venaient de s'émanciper.Treize ! Moi qui ne suis pas superstitieux, cela m'incitait à le devenir ! Ce nouvel Etat de quatre millions d'habitants qui s'agrandit démesurément en l'espace de cent ans pour accéder,au début du 20ème siècle, à la puissance mondiale....
Dans la période décisive qui se situe entre 1930 et 1940,la situation était toute différente de ce qu'elle était du temps de Pitt et de Napoléon. L'Europe,épuisée par la Grande Guerre,avait perdu sa primauté,son rôle directeur n'était plus reconnu.C'était encore l'un des centres d'attraction de la planète mais qui perdait de plus en plus de son importance,à mesure que s'accroissait la puissance des Etats-Unis d'Amérique, celle du colosse Russo-asiatique,celle enfin de l'Empire du Soleil Levant. Si le destin avait accordé à une Angleterre vieillissante et sclérosée un nouveau Pitt au lieu de ce demi Américain ivrogne et enjuivé, ce nouveau Pitt eût aussitôt compris que la traditionnelle politique d'équilibre de l'Angleterre devait s'exercer à une autre échelle,à l'échelle mondiale. Au lieu de maintenir,de susciter et d'exciter les rivalités en Europe,afin qu'y persistent les divisions,l'Angleterre devait tout au contraire laisser se faire l'unification de l'Europe,à défaut de l'encourager. Alliée à une Europe unie,elle conservait la possibilité de jouer un rôle d'arbitre dans les affaires du monde.
Tout se passe comme si la Providence avait voulu punir Albion des nombreux crimes qu'elle a commis au cours de son histoire,ces crimes qui ont fait sa force. L'arrivée de Churchill,à une période décisive pour l'Angleterre et pour l'Europe, c'est la punition choisie par la Providence. C'était l'homme qu'il fallait à l'élite dégénérée de Grande-Bretagne. C'est à ce Barnum sénile qu'il appartenait de décider de ce serait le sort d'un immense empire et en même temps celui de l'Europe. L'on peut se demander si le peuple anglais a conservé,à travers la dégénérescence de ses élites,les qualités qui justifièrent sa domination sur l'univers. J'en doute,car chez lui nul sursaut ne s'est produit,semble-t-il,pour répondre aux erreurs de ses chefs.De nombreuses occasions se sont présentées pourtant qui eussent parmis à l'Angleterre de se lancer hardiment dans une voie nouvelle et féconde. Il lui était possible,si elle l'avait voulu,de mettre fin à la guerre au début de 1941. Elle avait affirmé sa volonté de résistance dans le ciel de Londres, elle avait à son actif les humiliantes défaites des Italiens en Afrique du Nord. L'Angleterre traditionnelle eût fait la paix. Mais les Juifs ne l'ont pas toléré.Ses hommes de main,Churchill et Roosevelt, étaient là pour l'empêcher. Cette paix pourtant eût permis de tenir les Américains à l'écart des affaires de l'Europe.Celle-ci,sous la direction du Reich,se serait rapidement unifiée. Le poison juif éliminé,cela devenait chose facile. La France et l'Italie,battues à tour de rôle et à quelques mois de distance par les deux puissances germaniques,s'en seraient tirées à bon compte. L'une et l'autre auraient dû renoncer à une politique de grandeur hors de raison. Elles eussent renoncé du même coup à leurs prétentions en Afrique du Nord et au Proche-Orient,ce qui eût permis à l'Europe de faire une audacieuse politique d'amitié à l'égard de l'Islam. Quant à l'Angleterre,débarrassée de ses soucis européens,elle pouvait se consacrer entièrement au salut de l'Empire.
L'Allemagne enfin, ses arrières étant assurés,pouvait se jeter à corps perdu dans ce qui constituait sa tâche essentielle,le but de ma vie et la raison d'être du National-Socialisme:l'écrasement du bolchevisme. Cela entraînait comme conséquence la conquête des espaces à l'Est, qui doivent assurer l'avenir du peuple allemand. Les lois de la vie comportent une logique qui ne se confond pas nécessairement avec notre logique.Nous étions disposés à des compromis,prêts à jeter nos forces dans la balance pour faire durer l'Empire britannique. Et tout cela alors que le dernier des Hindous m'est au fond beaucoup plus sympathique que n'importe lequel de ces insulaires arrogants. Les Allemands seront heureux plus tard de n'avoir pas contribué à la survie d'une réalité périmée que le monde futur aurait eu de la peine à leur pardonner. Nous pouvons prophétiser aujourd'hui,quelle que soit l'issue de cette guerre, la fin de l'Empire britannique.Il est touché à mort. L'avenir du peuple anglais,c'est de mourir de faim et de tuberculose dans son île maudite. Aucun rapport entre l'obstination britannique et la résistance acharnée du Reich. D'abord,l'Angleterre avait le choix,rien ne la contraignait à se lancer dans la guerre.Non seulement elle s'y est lancée,mais elle l'a provoquée. Il va sans dire que les Polonais,s'ils n'avaient été poussés par les bellicistes anglais et français,eux-mêmes excités par les Juifs,ne se seraient pas senti la vocation du suicide. De toute façon,l'Angleterre,même après avoir commis cette erreur,pouvait encore tirer son épingle du jeu,soit après la liquidation de la Pologne, soit après la défaite de la France. Cela n'eût sans doute pas été très honorable pour elle,mais dans ce domaine son amour-propre n'est pas très chatouilleux. Elle n'avait qu'à rejeter sur ses ex-alliés l'entière responsabilité de sa défection, comme elle et la France le firent pour la Belgique en mai 1940. Nous l'eussions d'ailleurs aidée à sauver la face. Au début de 1941,elle pouvait,dans de meilleures conditions encore, après ses succès d'Afrique et ayant rétabli son prestige,se retirer du jeu et conclure une paix blanche avec nous. Pourquoi a-t-elle préféré subir la loi de ses alliés juifs et américains, en fait plus voraces que ses pires adversaires ? Car la Grande-Bretagne n'a pas mené sa propre guerre,elle a fait la guerre que lui ont imposée ses implacables alliés. Mais l'Allemagne n'avait pas le choix.Dès que fut affirmée notre volonté de réunir enfin tous les Allemands dans un grand Reich et d'assurer à celui-ci les conditions d'une indépendance véritable,autrement dit la possibilité de vivre,d'emblée tous nos ennemis se dressèrent contre nous. La guerre devenait inévitable du seul fait que le moyen de l'éviter eût consisté pour nous à trahir les intérêts fondamentaux du peuple allemand. Nous ne pouvions nous contenter pour lui des apparences de l'indépendance. C'est bon pour des Suédois et pour des Suisses qui sont toujours prêts à se gargariser avec des formules creuses pourvu qu'ils se remplissent les poches. La République de Weimar ne prétendait pas davantage. Mais voilà une ambition qui ne pouvait convenir au IIIè Reich !
Nous étions condamnés à faire la guerre.Notre unique préoccupation consistait donc à faire le choix du moment le moins favorable,et il va sans dire qu'une fois engagés il ne pouvait être question pour nous de reculer. Nos adversaires n'en veulent pas seulement à la doctrine nationale-socialiste. Ils en veulent au National-Socialisme d'avoir permis l'exaltation des qualités du peuple allemand.Ils veulent donc la destruction du peuple allemand, il n'y a aucun malentendu à ce propos. Pour une fois,la haine se montre plus forte que l'hypocrisie. Merci à l'adversaire du service qu'il nous rend en nous livrant aussi clairement le fond de sa pensée ! A cette haine totale qui nous submerge,nous ne pouvons répondre que par la guerre totale.Luttant pour survivre,nous luttons désespérément. Quoi qu'il arrive,nous mènerons jusqu'à la mort notre combat pour la vie. L'Allemagne sortira de cette guerre plus forte que jamais,et l'Angleterre plus faible que jamais. L'Histoire prouve que pour l'Allemagne le malheur et l'adversité constituent souvent le prélude indispensable aux grands évènements. Les souffrances du peuple allemand au cours de cette guerre, et il en a souffert incomparablement plus que n'importe quel autre peuple, ce sont ces souffrances mêmes qui l'aideront,si le sort est pour nous, à surmonter sa victoire. Et au cas où la Providence l'abandonnerait,en dépit de ses sacrifices et de son opiniâtreté,c'est qu'alors elle l'aurait condamné à des épreuves plus grandes pour lui permettre d'affirmer son droit à la vie." **
* Voy:Derniers Libres Propos (propos recueillis par Martin Bormann) Collection "Documents pour l'Histoire", ISBN 9782360060207,Deterna,2010,pp:11-12
**Voy : Idem. pp:49-55.
Spartacus Kouros Messages : 2078 Date d'inscription : 13/03/2010 Age : 58 Localisation : Les arènes
Sujet: Re: Derniers Libres Propos d'AH (recueillis par Martin Bormann) Mer 13 Avr - 12:03
II
Quartier Général du Führer, 6 février 1945.
Le dernier quart d'heure - Volonté d'exterminer l'Allemagne - Léonidas et ses trois cents Spartiates -Mort miraculeuse de la tsarine Elisabeth - La victoire au sprint - La guerre a commencé le 30 janvier 1933.
"Après cinquante-quatre mois d'une lutte gigantesque,menée de part et d'autre avec un acharnement sans précédent,le peuple allemand se retrouve seul devant la coalition qui prétend l'anéantir. Partout la guerre fait rage à nos frontières.Elle se rapproche de plus en plus. L'adversaire a rassemblé toutes ses forces en vue de l'assaut final. Il n'est pas question de nous vaincre,il s'agit de nous écraser. Il s'agit de détruire notre Reich,d'effacer notre Weltanschauung, * d'asservir le peuple allemand,pour le punir de sa foi nationale-socialiste. Nous en sommes au dernier quart d'heure.
La situation est grave,très grave.Elle semble désespérée. Nous pourrions cédé à la fatigue,à l'épuisement,nous laisser aller au découragement et jusqu'à perdre la notion des faiblesses de nos ennemis. Ces faiblesses existent pourtant. Nous avons en face de nous une coalition disparate,rassemblée par la haine et la jalousie,cimentée par la peur panique qu'inspire à ces enjuivés la doctrine nationale-socialiste. Notre chance,à nous,en face de ce magma informe,c'est de ne dépendre que de nous-mêmes.C'est d'opposer à ces assemblage hétéroclite un grand corps exsangue mais homogène,animé par un courage qu'aucune adversité ne réussira à entamer. Un peuple qui résiste comme résiste le peuple allemand ne saurait se consumer dans un tel brasier. Il s'y forge au contraire une âme plus inébranlable,plus intrépide que jamais. Quels que puissent être,au cours des jours qui viennent,nos revers, le peuple allemand y puisera de nouvelles forces,et quoi qu'il puisse advenir de l'immédiat,il connaîtra des lendemains lorieux.
La volonté d'extermination qui entraîne ces chiens à la curée commande notre réponse,nous indique clairement la voie à suivre,la seule voie qui nous reste.Nous devons continuer la lutte avec la rage du désespoir, sans regarder derrière nous,faire toujours face à l'adversaire,et défendre pas à pas le sol de la patrie. Aussi longtemps qu'on lutte l'espoir subsiste,et cela nous interdit donc de penser que les jeux soient faits d'avance. Jamais les jeux ne sont faits d'avance. Et si,malgré tout,le destin voulait que nous fussions une fois de plus, au cours de l'Histoire,écrasés par des forces supérieures aux nôtres, que ce soit la tête haute et dans le sentiment que l'honneur du peuple allemand est demeuré sans tache. Un combat désespéré comporte éternellement une valeur d'exemple. Qu'on se souvienne de Léonidas et de ses trois cents Spartiates ! De toute façon,il n'est pas dans notre style de nous faire égorger comme des moutons.L'on nous exterminera peut-être, mais sans nous conduire à l'abattoir !
Non,il n'y a jamais de situations désespérées.Combien de fois, dans l'histoire de notre peuple allemand,des retournements imprévus se sont produits ! Frédéric II se trouva acculé,pendant la guerre de Sept Ans,aux pires extrémités. Dans le courant de l'hiver 1762,il avait décidé que si aucun changement ne se produisait avant tel jour fixé par lui,il se donnerait la mort par le poison. Or, quelques jours avant ce terme,la Tsarine meurt inopinément, et la situation se renverse miraculeusement. Comme le grand Frédéric,nous avons affaire à une coalition. Or, une coalition ne constitue pas une réalité stable. Un coalition n'existe que par la volonté de quelques hommes. Qu'un Churchill disparaisse tout à coup,et tout peut changer ! L'élite anglaise prendrait peut-être conscience de l'abîme qui s'ouvre devant elle,elle pourrait avoir un sursaut.Ces Anglais pour lesquels, indirectement,nous avons lutté,et qui seraient les bénéficiaires de notre victoire...
Nous pouvons encore arracher la victoire au sprint. Puisse le temps de cette performance nous être accordé !
Car il s'agit simplement de ne pas mourir.Le simple fait,pour le peuple allemand, de continuer à vivre dans l'indépendance,ce serait une victoire. Et cela suffirait à justifier cette guerre,qui n'aurait pas été une guerre inutile. Elle était d'ailleurs inéluctable. Les adversaires de l'Allemagne nationale-socialiste me l'avaient en fait imposée dès janvier 1933."
* Weltanschauung : Vision,conception du monde.
** Voy:Derniers Libres Propos (propos recueillis par Martin Bormann) Collection "Documents pour l'Histoire" ISBN 9782360060207,Deterna,2010,pp:58-59
Leotychidas Président de l'Ecclesia Messages : 68 Date d'inscription : 11/03/2010 Age : 37 Localisation : Thermopyles.
Sujet: Re: Derniers Libres Propos d'AH (recueillis par Martin Bormann) Jeu 14 Avr - 13:07