Nos "Libérateurs":,ils ont
"libéré" depuis: l'INDOCHINE -
LA PALESTINE - L'IRAK -L'AGHANISTAN et bientôt L'IRAN !
il y a 250 ans,cet "
axe du Bien" avait déjà "libéré" 6 500 000 indiens....
Certains à la mémoire sélective,font toujours des "oublis" et pourtant...
" À exactement huit heures et quinze minutes le matin du
6 août 1945, heure locale, au moment ou la bombe atomique
explosa sur Hiroshima, Miss Toshiko Sasaki, employée au service
personnel de la East Asia Tin Works, venait juste de s'asseoir
à son bureau en tournant la tête pour parler à sa collègue. "
" Ce matin-là, avant 6 heures, il faisait si clair et si chaud déjà
que la journée s’annonçait caniculaire. Quelques instants plus tard,
une sirène retentit : la sonnerie d’une minute annonçait la présence
d’avions ennemis,mais elle indiquait aussi, par sa brièveté, aux habitants
de Hiroshima qu’il s’agissait d’un faible danger.
Car chaque jour, à la même heure, quand l’avion météorologique
américain s’approchait de la ville, la sirène retentissait.
Hiroshima avait la forme d’un ventilateur : la cité était construite
sur six îles séparées par les sept fleuves de l’estuaire qui se ramifiaient
vers l’extérieur à partir de la rivière Ota. Ses quartiers d’habitations
et de commerces couvraient plus de six kilomètres carrés au centre
du périmètre urbain.
C’est là que résidaient les trois quarts des habitants. Divers programmes d’évacuation avaient considérablement réduit sa population.
Celle-ci était passée de 380 000 âmes avant la guerre à quelque
245 000 personnes.
Les usines et les quartiers résidentiels, ainsi que les faubourgs populaires,
se situaient au-delà des limites de la ville. Au sud se trouvaient l’aéroport,
les quais et le port sur la mer intérieure saupoudrée d’îles.
Un rideau de montagnes fermait l’horizon sur les trois côtés restants du delta.
Le matin était redevenu calme, tranquille. On n’entendait aucun bruit d’avion. Alors, soudain, le ciel fut déchiré par un flash lumineux, jaune et brillant comme dix mille soleils. Nul ne se souvient avoir entendu le moindre bruit
à Hiroshima quand la bombe a éclaté. Mais un pêcheur qui se trouvait
sur sa barque, près de Tsuzu, dans la mer Intérieure, vit l’éclair et entendit une explosion terrifiante. Il se trouvait à trente-deux kilomètres
de Hiroshima et, selon lui, le bruit fut beaucoup plus assourdissant que lorsque les B-29 avaient
bombardé la ville d’Iwakuni, située à seulement huit kilomètres.
Un nuage de poussière commença à s’élever au-dessus de la ville,
noircissant le ciel comme une sorte de crépuscule.
Des soldats sortirent d’une tranchée,du sang ruisselant de leurs têtes,
de leurs poitrines et de leurs dos.
Ils étaient silencieux et étourdis. C’était une vision de cauchemar.
Leurs visages étaient complètement brûlés, leurs orbites vides,
et le fluide de leurs yeux fondus coulait sur leurs joues.
Ils devaient sans doute regarder vers le ciel au moment de l’explosion.
Leurs bouches n’étaient plus que blessures enflées et couvertes de pus…
Des maisons étaient en feu. Et des gouttes d’eau de la taille d’une bille commencèrent à pleuvoir. C’étaient des gouttes d’humidité condensée
qui tombaient du gigantesque champignon de fumée, de poussière
et de fragments de fission qui s’élevait déjà plusieurs kilomètres
au-dessus de Hiroshima.
Les gouttes étaient trop grosses pour être normales.
Quelqu’un se mit à crier : « Les Américains nous bombardent d’essence.
Ils veulent nous brûler ! » Mais c’étaient des gouttes d’eau évidemment,
et pendant qu’elles tombaient le vent se mit à souffler de plus en plus fort,
peut-être en raison du formidable appel d’air provoqué par la ville embrasée.
Des arbres immenses furent abattus ; d’autres, moins grands, furent déracinés et projetés dans les airs où tournoyaient, dans une sorte d’entonnoir d’ouragan fou, des restes épars de la cité : tuiles, portes, fenêtres, vêtements, tapis…
Sur les 245 000 habitants, près de 100 000 étaient morts ou avaient reçu
des blessures mortelles à l’instant de l’explosion. Cent mille autres étaient blessés. Au moins 10 000 de ces blessés, qui pouvaient encore se déplacer, s’acheminèrent vers l’hôpital principal de la ville.
Mais celui-ci n’était pas en état d’accueillir une telle invasion.
Sur les 150 médecins de Hiroshima, 65 étaient morts sur le coup,
tous les autres étaient blessés. Et sur les 1 780 infirmières, 1 654
avaient trouvé la mort ou étaient trop blessées pour pouvoir travailler.
Les patients arrivaient en se traînant et s’installaient un peu partout.
Ils étaient accroupis ou couchés à même le sol dans les salles d’attente,
les couloirs, les laboratoires, les chambres, les escaliers, le porche
d’entrée et sous la porte cochère, et dehors à perte de vue, dans les rues
en ruines… Les moins atteints secouraient les mutilés.
Des familles entières aux visages défigurés s’aidaient les unes les autres. Quelques blessés pleuraient. La plupart vomissaient. Certains avaient
les sourcils brûlés, et la peau pendait de leur visage et de leurs mains. D’autres, à cause
de la douleur, avaient les bras levés comme s’ils soutenaient une charge
avec leurs mains. Si on prenait un blessé par la main, la peau se détachait
à grands morceaux, comme un gant…
Beaucoup étaient nus ou vêtus de haillons. Jaunes d’abord, les brûlures devenaient rouges, gonflées, et la peau se décollait. Puis elles se mettaient
à suppurer et à exhaler une odeur nauséabonde. Sur quelques corps nus,
les brûlures avaient dessiné la silhouette de leurs vêtements disparus.
Sur la peau de certaines femmes – parce que le blanc reflétait la chaleur
de la bombe, et le noir l’absorbait et la conduisait vers la peau , on voyait
le dessin des fleurs de leurs kimonos. Presque tous les blessés avançaient comme des somnambules, la tête dressée, en silence, le regard vide.
Des silhouettes humaines sur les murs.
Toutes les victimes ayant subi des brûlures et les effets de l’impact
avaient absorbé des radiations mortelles. Les rayons radioactifs
détruisaient les cellules, provoquaient la dégénération de leur noyau
et brisaient leurs membranes. Ceux qui n’étaient pas morts sur le coup,
ni même blessés, tombaient très vite malades. Ils avaient des nausées,
de violents maux de tête, des diarrhées, de la fièvre.
Symptômes qui duraient plusieurs jours.
La seconde phase commença dix ou quinze jours après la bombe.
Les cheveux se mirent à tomber. Puis vinrent la diarrhée et une fièvre pouvant atteindre 41 degrés.
Vingt-cinq à trente jours après l’explosion survenaient les premiers
désordres sanguins : les gencives saignaient, le nombre de globules
blancs s’effondrait dramatiquement tandis qu’éclataient les vaisseaux
de la peau et des muqueuses. La diminution des globules blancs
réduisait la résistance aux infections ; la moindre blessure mettait
des semaines à guérir ; les patients développaient des infections
durables de la gorge et de la bouche. A la fin de la deuxième étape
si le patient avait survécu – apparaissait l’anémie, soit la baisse
des globules rouges. Au cours de cette phase, beaucoup de malades mouraient d’infections dans la cavité pulmonaire.
Tous ceux qui s’étaient imposé un certain repos après l’explosion
avaient moins de risques de tomber malades que ceux qui s’étaient
montrés très actifs. Les cheveux gris tombaient rarement.
Mais les systèmes de reproduction furent affectés durablement :
les hommes devinrent stériles, toutes les femmes enceintes avortèrent, et toutes les femmes en âge de procréer constatèrent que leur cycle
menstruel s’était arrêté…
Les premiers scientifiques japonais arrivés quelques semaines après l’explosion notèrent que le flash de la bombe avait décoloré le béton.
A certains endroits,la bombe avait laissé des marques correspondant
aux ombres des objets que son éclair avait illuminés.
Par exemple, les experts avaient trouvé une ombre permanente projetée
sur le toit de l’édifice de la chambre de commerce par la tour du même bâtiment. On découvrit aussi des silhouettes humaines sur des murs,
comme des négatifs de photos. Au centre de l’explosion, sur le pont
qui se situe près du Musée des sciences, un homme et sa charrette
avaient été projetés sous la forme d’une ombre précise montrant
que l’homme était sur le point de fouetter son cheval au moment
où l’explosion les avait littéralement désintégrés…
John Hersey
Combien d'Oradours ce jour là ? Ils ont aussi été "libérés" ?
de qui ? toujours les mêmes 66 ans après continuent en Irak,Afghanistan,
après la Corée,le Vietnam et demain l'Iran,Pakistan ?
pourtant les nazis ne sont plus là ! Alors, c'est lequel l'axe du Mal ?Réflexion sur la Shoah par une "ancienne victime":
Claude Sarraute :
"Regardez ce qu'on a réussi à faire avec notre Shoah !" Présentateur:
"Pourquoi Claude a été écartée du monde à un moment donné (...)?
(S'adressant à Claude Sarraute:) Un de vos confrères est venu vous
défier sur le thème: Tu n'oseras jamais taquiner sur la Shoah et vous avez
écrit:
"Regardez, nous, les juifs, ce qu'on a réussi à faire avec notre Shoah"...C.S. l'interrompant:
"Ah! J'ai dit ça à une Arménienne !"Présentateur: "...On l'a vendu partout, on est couvert d'argent,
on est vraiment plus forts que vous."C.S.:
"Oui, j'ai dit ça (...). Ces cons-là, ils ont vraiment eu la même
chose, et tout ce qu'ils trouvent à faire, c'est s'asseoir par terre dans la rue! "
(Rires)
Bien que tout le monde le saches,quand ça sort de la bouche d'une juive
et sur le ton dont c'est dit ,ça laisse sans voix.
C'est ce que dit
Dieudonné, la
pornographie mémorielle,
l'industrie de la mémoire ... on est en plein dedans
Ce qui est hallucinant aussi c'est que
Claude Sarraute,une juive,
ne peut même pas dire ce qu'elle a dit,c'est pour cela qu'elle
a été ecarté des médias.
Source :
Europe 1 le
9 décembre 2009