Atrocités commises par les alliés. Les exactions commises par les Allemands sont archi connues et nous sont
rappelées à peu près tous les jours.
On commence à peine à parler des atrocités commises par les alliés mais
dans des termes très pudiques.
Les Anglo-Américains n'ont pas été tendres avec les pays vaincus
(procès tronqués, exécutions sommaires, viols, torture, pillages,
mauvais traitement, famines organisés,...) mais rien ne dépassera
le sadisme gratuit des soviétiques...
Je vous propose le témoignage d'André Bayle, ancien volontaire français
du front de l'Est, paru dans "
Des jeux Olympiques à la Waffen SS".
Extraits du livre d'André Bayle
Des jeux olympiques à la Waffen-SS:
Cet ouvrage regroupe les deux livres écrits André Bayle :
-
De Marseille à Novossibirsk -
San et Persante Pour le commander:Prix 49 euros
http://www.ladiffusiondulore.fr/souvenirs-de-soldat/19-des-jeux-olympiques-a-la-waffen-ss-9782353520138.html- Attention, c'est dur à lire -
P .194Des cadavres de femmes violées et éventrées commencent
à apparaître le long de notre route.
Un car entièrement brûlé, avec sa grande croix rouge encore
en partie visible,nous cache un spectacle digne d’Attila et de ses Huns.
Une trentaine de corps de jeunes femmes, dans des positions
grotesques pornographiques, à moitié nues,du sang coagulé
sur les fesses de la plupart, les visages tuméfiés, gisent là,
devant nous.
Elles ont toutes les seins coupés !
Et certaines, une bouteille dans le vagin, qu’elles tiennent
à pleines mains.
Quelle sinistre mise en scène ! Les sodomisations répétées
les ont littéralement défoncées et déchirées.
Les lambeaux de vêtements montrent qu’il s’agissait d’infirmières.
Ces viols, ces sodomisations, vont être le lot quotidien et collectif,
des femmes de tous âges.
Plus loin un soldat allemand mort, assis, adossé à un poteau,
ses parties viriles, coupées et placées dans sa bouche,
tient une bouteille en guise de pénis.
L’autre main, soutenue par un morceau de bois indique
la direction du car.
C’est le spectacle quotidien qui nous sera offert par
nos ennemis jusqu’au moment de notre départ pour les camps.
P.195Le comble de l’horreur, nous le verrons dans la prochaine ferme :
- Des femmes nues, crucifiées sur les portes des granges,
jambes écartées, un objet quelconque dans le vagin ou l’anus,
selon la position de face ou de dos de la suppliciée, et une carotte
ou un navet dans la bouche !
P.201Bayle est capturé par les soviétiques, il marche dans un convoi
de prisonniers :
- Le troupeau de prisonniers se forme et la marche
vers la captivité commence à travers la Poméranie.
Des cadavres d’hommes, de femmes, d’enfants et d’animaux
jonchent le sol, certains écrasés par les chars.
Ils ressemblent alors à des pantins épais comme une planche,
quelques uns écrasés en partie seulement.
[…] Nous voyons des soldats ennemis enlever les femmes,
les jeunes filles, les gamines et leurs grand mères également,
les déshabiller, les jeter sur des tables ou des planches, et les violer,
à cinquante ou cent sur le même corps [..] devant leurs enfants.
Ensuite ils les abandonnent, nues pantelantes, les cuisses enflées
et rougies, ou souvent mortes sous ces coups de boutoir sauvages
et répétés.
[…] les cris de ces martyres sont insupportables, les soldats
se les arrachant pour assouvir leurs plus bas instincts.
On voit arriver des camions chargés de femmes qui dés leur arrivée,
sont prises d’assaut par les hordes en furie.
P.231.Bayle est libéré de son camp soviétique où il était retenu prisonnier.
Il est nu, et attend dans une file pour se laver avant d’être libéré.
« Nous remarquons un autre groupe de nudistes, cheveux et poils rasés.
Mais ces camarades nudistes s’avèrent en regardant plus
attentivement être des femmes !
Maigres, la poitrine disparue et la pudeur oubliée.
En effet les femmes allemandes ont été déportées en très grand
nombre, après avoir subi les pires outrages, et elles sont rapatriées comme nous, leur travail « réparateur » accompli en URSS. »
Une question me vient à l’esprit… pourquoi les alliés, qu’ils soient américains,
français ou russes s’en sont pris de cette façon aux femmes ?