EXTERMINATRICE.
(Joseph Staline : 1878 - 1953 )
Dans l'état actuel des forces médiatiques en présence,il est impossible de faire comprendre
à un spéciment lambda de la populace élevée aux grains démocratiques que la plus grande tyrannie
qu'est portée la Terre depuis qu'elle est se confond avec le pouvoir bolchévique en se distinguant
tout particulièrement durant l'acmé stalinienne.
Un sentiment invincible engendré en premier lieu par les effets magiques de l'émerveillement
cinématographique.
Une caste jalouse détenant le monopole de la production illusionniste qui a projeté
dans les âmes assombries de l'univers antifasciste un message moralisateur exclusif:
la cruauté en politique est l'apanage de l'extrême-droite et la quintescence de l'extrême-droite
ou son huile essentielle,c'est le national-socialisme !
La fonction du cinéma hollywoodien sur le plan du contrôle moral de la population occidentale
consiste précisément à catégoriser dans une case hermétiquement diabolique toute velléité
d'indépendance naionale,raciale et traditionnelle par le truchement de la très fameuse
reductio ad hitlerum.Mais pour que la
reductio ad hitlerum soit parfaitement opérante,ce qu'elle est,
aujourd'hui,plus que jamais,il faut nécessairement que le point de comparaison soit
d'une ignominie sans failles.
D'où l'intérêt de tourner de "grands films" sur la Seconde Guerre mondiale ou des histoires
sur fond de Seconde Guerre mondiale afin de "saisir" par instants,comme par magie,l'insaisissable horreur.
Le premier moyen de sidération du public repose sur le manichéisme limpide des camps
qui s'opposent.
Le nazi n'est pas "impunément",gratuitement nazi: il est éloquemment nazi !
Le nazi est ignoble,le nazi est un bourreau,le nazi est un tortionnaire,le meilleur
des tortionnaires,un tortionnaire méticuleux trouvant sa source d'inspiration
dans un sadisme des plus créatifs.
Il arrache les ongles,écrabouille les testicules,démembre,broie,ponce,hache,
rit à pleines dents,toujours;cela est dit...Bref,depuis la propagande soviétique
mise en branle depuis la deuxième moitié de l'année 1941 destinée à démoniser systématiquement non seulement la Wehrmacht mais l'ensemble
du peuple allemand,l'image populaire du nationaliste allemand ou occidental
d'une manière général,n'a pas changé !
Voilà en quoi sont utiles les descriptions d'entomologiste des tortures germaniques
plus ou moins réelles et surtout inventées par la Réalisation de tous ceux qui désirent ardemment la disparition définitive des nations et l'extermination totale
(par extinction et par métissage) de la race blanche.
Une déshumanisation d'autant plus absconse,historiquement absurde et incongrue
que persistent les discours et les fictions cinématographiques des laudateurs
du stalinisme,tyrannie démoniaque s'il en est.Enfin ! Tout est possible dans un pays
où l'on exécute tous les Brasillach quand on glorifie tous les Aragon...
Aragon,poète auquel tout est pardonné,si bien pardonné que des centaine d'écoles
maternelles et primaires sont désignées par son nom.
(Louis Aragon:1897-1982)
Aragon,l'admirateur amoureux du Goulag ( "
cette science prodigieuse de la rééducation
de l'homme") !
"Cette extraordinaire expérience joue par rapport à la nouvelle science le rôle de l'histoire
de la pomme qui tombe devant Newton par rapport à la physique.
Nous sommes à un moment de l'histoire de l'humanité qui ressemble en quelque chose
à la période du passage du singe à l'homme.
Nous somme au moment où une classe nouvelle,le prolétariat,vient d'entreprendre
cette tâche historique d'une grandeur sans précédent: la rééducation de l'homme par l'homme".Aragon le chantre,le fan de Staline adoré des petits instituteurs hexagonaux.
"Merci à Staline pour ces hommes qui se sont forgés à son exemple,selon sa pensée,
la théorie et la pratique stalinienne !
Merci Staline qui a rendu possible la formation de ces hommes,garants de l'indépendance française,de la volonté de paix de notre peuple,de l'avenir d'une classe ouvrière,
la première dans le monde montée à l'assaut du ciel et que l'on ne détournera pas
de sa destinée en lui faisant voir trente-six étoiles étrangères,quand elle a de tels hommes
à sa tête".On nous enfume avec les camps,les camps connotés bien sûr,quand Aragon câline
nos enfants dans "leurs" écoles de mort.
La bolchévisation,Kolyma et ses et ses goulags,la Grande Terreur de 37-38,l'
Holodomor,
autant d'évènements chéris par l'antifascisme de base et par notre Aragon national.
Des millions d'innocents exécutés sur les ordres de commissaires politiques aux origines douteuses.
Et cela bien avant le déclenchement de la guerre.
La guerre attendue des communistes.Le déclenchement de la guerre germano-soviétique en juin 1941 ne représente par
"l'preuve redoutée" par les mondialistes communistes,mais au contraire le moyen formidable de lancer une offensive militaire,
politique,idéologique,culturelle formidable en direction de l'Europe entière.
Dans son ouvrage précieux au titre évocateur,
La Guerre d'extermination de Staline,*
Joachim Hoffmann démontre en s'appuyant sur une documentation énorme que l'URSS
était fondamentalement prête bien avant le déclenchement des hostilités à mener
une guerre longue contre l'Allemagne,machine de guerre aux ressources limitées.
"Les 3 500 chars et canons d'assaut allemands trouvèrent en face d'eux
quelques 22 000 chars soviétiques".En effet,à partir du printemps 1940,Staline jugea que le conflit avec l'Allemagne était inévitable.
Fort de la puissance grandissante de l'Armée rouge et conscient de la dégradation de la situation
allemande,
"il saisit l'occasion d'un passage en revue des diplômés des académies militaires
le 5 mai 1941,pour proclamer devant les chefs de l'armée et un vaste auditoire militaire
qu'en raison de la supériorité à laquelle était parvenue l'armée soviétique,le temps était venu,pour reprendre ses mots,de passer d'une politique de défense à une stratégie d'attaque."Staline et sa garde rapprochée attendaient avec impatience le premier coup de feu
du Chancelier Hitler.
Les réserves d'énergie,le matériel,les plans,les préparations militaires,tout était prêt.
Mais il manqua un élément crucial à la grosse mécanique bolchévique,qui fut gérée
sur le tas par un Staline pragmatique qui utilisa les "bonnes vieilles" méthodes qui firent
leurs preuves en URSS depuis 1917.
Le facteur humain,psychologique,avait été négligé et durant les premiers mois du conflit l'opposant aux enthousiastes Allemands,Moscou vit ses troupes se liquéfier,reculer,
déserter ou se rendre à l'ennemi sans grande résistance.
Staline prit alors des mesures radicales pour répondre rapidement à cette inquiètante faiblesse.
L'historiographie officielle met l'accent sur le fameux
patriotisme soviétique.
Or,s'il est certain que Staline et les plumes du régime mirent en branle une propagande totale
pour stimuler ou faire naître le "patriotisme" des Russes abrutis par 3 décennies de coquecigrues
communistes,il est encore "plus vrai" que la résistance et la ténacité de l'Armée rouge furent
rendues possibles ou plutôt surmultipliées par l'arme de la terreur décrétée par l'Oncle Jo.
La chair à canon soviétique: une denrée inépuisable.
Bien plus efficace que l'ersatz patriotique,le canon du fusil dans le dos !
Le combat et la mort probable...ou la mort certaine !
Ne pouvant reculer,le soldat pouvait se rendre s'il n'avait que faire du sort de sa famille
qui pouvait tout simplement être massacrée du fait de sa trahison....
Même les soldats encerclés et sans munitions ne pouvaient,ne devaient se rendre.
Etre fait prisonnier relevait tout simplement de la trahison et la famille devait en payer
les conséquences.
"Si dans bien des cas les soldats de l'Armée rouge n'eurent plus d'autre choix que de combattre
jusqu'à la mort,il faut en rechercher la cause ultime non pas dans une quelconque aspiration
idéaliste touchant au "patriotisme soviétique" mais bien dans les ordres criminels des dirigeants soviétiques."Les documents apportés par Hoffmann en témoignant largement.
Néanmoins,progressivement,la propagande stalinienne cultivait une mentalité spécifique
via l'élaboration littéraire du diable germanique onirique.
La première étape de cette nouvelle fanatisation,nécessaire lors de toute guerre d'anéantissement politique,consistait à déshumaniser tout simplement l'ennemi afin
de pouvoir le tuer sans pitié,froidement,efficacement,à répétition,rapidement et sûrement.
La propagande évolua enfin vers une diabolisation complète de l'ennemi.
Sous l'égide du juif Ilya Grigorievith Ehrenbourg (auteur de la célèbre citation bolchévique:
"Pour le bien de l'humanité,il est nécessaire de tuer"),les services de propagande
soviétique inventèrent mille et une actions malfaisantes prétendument perpétrées
par les Allemands.
Ces derniers auraient été tous des violeurs infatigables,des coupeurs de seins,des "ébouillanteurs",
des "désorbiteurs" d'yeux...
"Il faut tuer,tuer,tuer !" quand Staline prône
la
"haine,toujours plus de haine contre le fascisme".C'est Ehrenbourg qui colporta plus tard le délire de la savonnette juive.
"J'eus entre les mains un pain de savon,muni du cachet "savon entièrement juif",
c'était du savon fabriqué avec des cadavres de fusillés,écrivait-il.
Puis,incidemment:Mais à quoi bon continuer ?
Des milliers d'ouvrages ont décrit ces horreurs".Or,poursuit Hoffmann,
"il n'y a pas eu de milliers de livres à ce propos.
C'est le procureur soviétique Smirnov qui,le 19 février 1946,devant le Tribunal militaire international,accusa longuement les Allemands d'avoir fabriqué industriellement du savon
à partir des cadavres de juifs assassinés,en se fondant sur des pièces entièrement fabriquées."
Les atrocités de l'Armée rouge.
Le 6 novembre 1941,Staline appela officiellement à la guerre d'extermination
contre les Allemands:
" Eh bien,si les Allemands veulent maintenant une guerre d'extermination,ils l'auront.
A partir de maintenant,les peuples de l'Union soviétique,les combattants,les commandants
et responsables politiques de notre armée et de notre flotte ont le devoir d'exterminer
jusqu'au dernier tous les Allemands qui ont envahi la patrie ! "A la fin de 1941, Ehrenbourg avait diffusé dans les troupes un petit texte roboratif
pour ses chiens de guerre :
"Lorsque tu auras tué un Allemand,tue-en un autre,puis un troisième.Tue l'Allemand !
C'est ta vieille mère qui te le demande.Tue l'Allemand ! C'est ton enfant qui te le demande.
Tue l'Allemand ! La patrie l'exige.N'en laisse échapper aucun ! Tue ! "Et plus les rouges avançaient vers l'Ouest,plus ils se déchaînèrent.,fusillaient,frappaient à mort,
poignardaient les survivants,écrasaient sous les chars les prisonniers,violaient les vieilles
femmes et les petites filles,châtraient les petits garçons,fièrement,avec le sentiment
du devoir accompli et derrière les abattis d'une certaine déférence pour tous
ces commissaires politiques et propagandistes issus d'un peuple souriquois...
*
La Guerre d'extermination de Staline,traduit de l'allemand par Erik Strasser,
Akribeia ,(45/3 route de Vourles,69 230 Saint-Genis-Laval) 448 pages,30 euros (+5 port).