Quand on parle de sites ou d'officines frelatés sources de Lazare et Cie,
c'est un doux euphémisme,voici pour appuyer mes affirmations deux faits avérés
et vérifiables, eux.
Séphane Hessel était un héros absolu des consciences droit-de-l'hommesques.
Oui,mais,oui,mais...Comme le raconte Wikipedia:
"En août 2006,Stéphane Hessel signe un appel contre les frappes israéliennes au Liban,
paru dans Libération et l'Humanité.
Le 5 janvier 2009,Stéphane Hessel déclare à propos de l'offensive israélienne
dans la bande de Gaza:
"En réalité,le mot qui s'applique,qui devrait s'appliquer,est celui de crime de guerre
et même de crime contre l'humanité.Pour ma part,ayant été à Gaza,ayant vu les camps
de réfugiés avec des milliers d'enfants,la façon dont ils sont bombardés m'apparaît
comme un véritable crime contre l'humanité"Le jour de la mort de S.Hessel (le jour-même !), le 27 février 2013,
le président du CRIF,Richard Prasquier,a publié une lettre dans laquelle il se dit effaré:
"par le succès de son fascicule d'une indigente indignation"
et considère qu'Hessel
" fut avant tout un maître à ne pas penser".
Certains ont demandé que Hessel soit enterré au Panthéon.
C'est le cas d'Eva Joly,du député Pouria Amirshahi,de l'ancien député UMP Etienne Pinte.
Mais,à votre avis,pourquoi Stéphane Hessel ne sera-t-il jamais enterré au Panthéon ?
Allez, je vais vous aider un petit peu.
http://forumfrance-en-guerres.xooit.fr/t2172-Le-Crif-est-plus-que-jamais-le… Un autre cas avéré de falsification de documents :
Quand la LIC(R)A revisite l'Histoire.
Je rappelle que la
LIC(
R)
A a été fondée
pour défendre un assassin,notamment en faisant pression sur les magistrats ,
qui à l'époque,avaient à le juger.La
LIC(
R)
A n'a pas dérogé.
Elle porte un stigmate qui ne trompe pas.
Un exemple d'une falsification dans l'avertissement au lecteur
de Mein Kampf.Le
Monde du 16 mai 1978 (p.7) annonçait que la LIC(R)A venait
d'engager une action civile devant le tribunal de Paris contre
les Nouvelles Editions Latines de F.Sorlot à la suite de la diffusion
par cet éditeur du livre
Mein Kampf d'Adolf Hitler.
Voici l'article du
Monde:
-
Plainte contre Mein Kampf -
"La Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (LICA)
a engagé une action civile devant le tribunal de Paris contre les Nouvelles éditions latines,
la Société lorraine des magasins modernes à Paris, et les Nouvelles Galeries, à Thionville,
à la suite de la diffusion par cet éditeur et ces magasins du livre Mein Kampf,
d'Adolf Hitler.
La LICA s'appuie sur le fait que la réédition mise en vente ne respecte pas les dispositions
légales concernant les nouveaux tirages:
- indication du millésime,
- nom de l'imprimeur ou du producteur,
- les lieu et date du dépôt légal initial."
L'arrêt de la cour d'appel de Paris en date du 11 juillet 1979 ordonnait que
chaque exemplaire du livre contiendrait un texte, à mettre au point,
qui aurait pour but de montrer aux lecteurs à quels crimes
Mein Kampf avait conduit.
Le texte,rédigé sous la responsabilité de M.Henri Noguères,est de huit pages.
Il manifeste l'inquiètude de la LIC(R)A devant le progrès des idées révisionnistes.
Il contient la phrase suivante:
" Certains "historiens" nient l'évidence des génocides perpétrés par les nazis
afin de rendre à nouveau présentable cette doctrine de Mein Kampf"Sans doute afin de mieux faire pièce à ces négateurs de l'existence des chambres à gaz,
le rédacteur du texte a-t-il voulu mentionner ces chambres à gaz comme
une pure évidence que même un général SS aurait spontanément cautionnée
devant le Tribunal militaire international de Nuremberg.
Une telle caution n'existant pas dans la réalité,
on n'a pas hésité à la forger de toute pièce.
On a pris une déclaration authentique du général SS von dem Bach-Zelewski,
en un premier temps,
on l'a gravement dénaturée,puis,en un second temps,
pour faire bonne mesure,
on lui a ajouté une fin qui constitue un faux pur et simple.
-
La déclaration originelle -
" Le 7 janvier 1946, devant le Tribunal militaire international,le Dr Thoma,
avocat de l'accusé Rosenberg, allait poser une question au général von dem Bach-Zelewski.
Cette question portait sur une réflexion du général Ohlendorf,censé avoir fait massacrer
en Russie quatre-vingt-dix mille personnes de juin 1941 à juin 1942.
Ohlendorf avait dit que dans son esprit de tels massacres correspondaient pas
à l'idéologie nationale-socialiste.
Interrogé sur ce point, von dem Bach Zelewski avait répondu devant le tribunal:
" Personnellement, je suis d'un autre avis. Si,pendant des années,
on prêche la doctrine que la race slave est une race inférieure et que les juifs
ne sont pas même des êtres humains, une telle explosion est inévitable." *
-
La déclaration, reprise dans le jugement final -
Dans le jugement final, cette déclaration devait réapparaître sous une forme
légèrement différente, que voici:
'Lorsqu'on demanda au témoin Bach-Zelewski comment Ohlendorf avait pu trouver naturel
le meurtre de quatre-vingt-dix mille personnes (on ne précise pas:en un an), il répondit:
"J'estime que, si l'on enseigne pendant des années la doctrine selon laquelle
la race slave est une race inférieure et le juif à peine un être humain,
un tel aboutissement (au lieu de:explosion) est inévitable ." **
-
La déclaration reprise et transformée sous l'autorité de M.Henri Noguères -
Aux pages 2 et 3 du texte à insérer dans
Mein Kampf, on lit:
"Mais comme l'indiquait lors du procès de Nuremberg le général SS Bach Zelewski:
"...Si vous prêchez pendant dix longues années que les peuples slaves constituent
une race inférieure et que les juifs sont des sous-hommes,il s'ensuivra comme
un phénomène naturel le fait de tuer des millions
(et non plus quatre-vingt-dix mille personnes en un an) de ces êtres humains.
De "Mein Kampf" le chemin conduit directement aux fournaises d'Auschwitz
et aux chambres à gaz de Majdanek".
La LICRA n'a jamais travaillé autrement.* Voy.
TMI,IV,p.514
** Voy.
TMI,I, p.261
Aucun doute,
comme la LICRA, Lazare et ses amis,sont bien des négationnistes-falsificateurs,
qui se cachent derrière une loi liberticide et anticonstitutionnelle
(belle lâcheté !)
(car
elle viole délibérément l'article 19 de la Charte des droits de l'Homme,
sur la
Liberté d'expression,
signée par la République).