Quand la LICRA joue au foot.
Avec la LICRA, la Diversité
est devenue l'idéologie du football. Lorsque le président de la
Ligue de Football Professionnel Frédéric Thiriezreçoit le nouveau président de la
LICRA Alain Jakubowiczet son adjointe, chargée du sport,
Carine Bloch, cela n'a rien d'anodin.
Aussitôt Thiriez promet de renouveler la saison prochaine la convention signée
en mars 2008 entre les deux partenaires.Une influence exorbitante sur le football
professionnel que nous avons souvent dénoncée ici.
A quel titre la LICRA salue-t-elle le récent plan
anti-violence,antiracismedu Paris-St Germain, ou se félicite-t-elle qu'aient été entendues ses demandes
réitérées de mise sous contrôle de la
tribune blanche de Boulogne,
"lieu historique d'activisme politique et d'espace de discrimination raciale" ?
Quelle autorité lui permettrait-elle d'exiger de l'Etat
"la mobilisation et l'efficacité des pouvoirs publics pour prémunir
nos concitoyens du hooliganisme et de ses corollaires, la violence et le racisme..." ?Les instances officielles, notamment la FFF, la FIFA, l'UEFA ne cachent pas,
sous prétexte d'éthique et de citoyenneté, qu'elles oeuvrent systématiquement
dans le sens de la diversité au point que depuis une dizaine d'années nos sélections
nationales et leurs résultats le prouvent, ne se font plus à la qualité mais selon
l'origine éthnique.
Le cas le plus flagrant aura été celui de Steve Mandanda, Congolais naturalisé,
dont la promotion météoritique depuis son apparition dans l'équipe réserve du Havre
lui aura permis, à 20 ans, d'écarter le titulaire du HAC, puis chez les "Espoirs"
Hugo Lloris, le goal le plus spectaculaire que la France ait eu depuis René Vignal,
qu'il supplante également en équipe de France.Puis il prend la place de Carrasso
à l'OM géré par le Pape Diouf, Sénégalais naturalisé et ancien journaliste
au quotidien communiste
La Marseillaise.
Trois ans plus tard, il est la risée même des journalistes sportifs les plus dociles
tandis que Domenech le maintient dans l'équipe de France dont sont exclus
des gardiens de la qualité de Stéphane Ruffier(Monaco) ou Olivier Sorin (Auxerre).
Qui se souvient de Chimbonda ?
L'omniprésence de la LICRA sur la scène sportive européenne est une incongruité
insupportable.
Et ne saurait s'expliquer que par une croisade anti-européenne tous azimuts
qui entend ne laisser aucune respiration à ce qui reste encore de nos cultures.
C'est avec son aide et sa protection qu'a été réalisé et que circule le film
long métrage
" Des Noirs en couleurs" qui retrace l'histoire
des 70 afro-Antillais,Afro-Caribéens et néo-Calédoniens (Karembeu) de l'équipe de France.
Le principal auteur en est l'historien de la haine anticoloniale Pascal Blanchard
qui se sera fait aider du journaliste du service public Morad Aït-Habbouche.
Ce brûlot n'en finit pas de présenter les fooballeurs de couleur sélectionnés
en équipe de France comme des victimes du racisme.
Dégoulinant d'anathèmes anti-racistes habituels chez Blanchard, il flaire une sorte
de traite africaine qui aurait fait de ces gens, pourtant fêtés, sélectionnés,
grassement rémunérés, des
" damnés de la terre" eux aussi.
Un film qui a le mérite involontaire, toutefois, évoquant le triste sort de nombreux
garçons auxquels on a infligés le maillot tricolore, de rappeler qu'ils n'auraont
laissé aucun souvenir dans la moimoine sportive, sans doute parce que leur sélection
ne devait rien au talent.
Paul Chimbonda ne fut-il pas sélectionné pour la Coupe du Monde 2006 uniquement
parce qu'il avait été victime
" d'agressions verbales racistes" de spectateurs corses ?
Qui se souviendra d'Anelka, de Diarra ou de Gallas ?
De son étroite collaboration avec la LICRA, Blanchard est enthousiaste:
" Pour nous elle a semblé un partenaire assez évident.Parce que depuis quelques
années, elle est la plus prégnante et la plus active sur ces questions de
discrimination et de racisme au sein du monde sportif."
On ne pouvait mieux le dire.L'inlassable combat contre le racisme dans le sport,
en étroite association avec les fédérations internationales professionnelles
et les militants antiracistes comme Blanchard, n'est qu'une phase du combat
contre la survie biologique et culturelle des peuples européens.
Le football est un efficace vecteur de métissage, et les Coupes mondiale
et européenne un excellent prétexte pour accélérer ce mouvement.
Source: RIVAROL;n°2962,22 juin 2010,p.6.