Henry Ford "Le Juif international" (extraits traduits de l'anglais)
Recueil d'articles publiés en 1920 dans le périodique de la FORD MOTOR COMPANY
THE DEARBORN INDEPENDANTsous la direction de
Henry Ford (1863-1947)
Première édition française,septembre 2001
Deuxième édition française,septembre 2008
Les Editions de CassandraCase postale 141
CH-3960 Sierre (Suisse)
Quatrième de couverture:
Certes,il existe des milliers de livres susceptibles de nous aider à mieux comprendre
ce monde dans lequel nous vivons.
Mais il n'y en a qu'une poignée capable de nous éclairer avec la décapante lucidité
du
Juif international.
Ici,point de baratin,l'auteur n'a pas besoin de la littérature pour manger.
Ni de langue de bois,
Henry Ford est un industriel avisé qui sait de quoi
il parle.
C'est pourquoi son discours a déplu à un certain lobby.
Ce qui est arrivé à Henry Ford,et ce qui s'est passé par la suite tout au long
du XXè siècle,n'ont fait que confirmer la pertinence de ses vues.
Après un chantage à l'emploi visant ses dizaines de milliers d'employés,
Henry Ford a dû faire
" acte de repentance " pour sauver du chômage
son personnel,à la suite de quoi il aurait pu dire,comme
Galilée:
" Et pourtant,ce monde tourne bien dans le sens que j'ai observé ".
A l'heure où une police de la pensée au service d'intérêts très exclusifs réprime
chaque jour plus durement la liberté d'expression,
Henry Ford nous rappelle que le
" politiquement correct " n'est pas un phénomène
vraiment nouveau.
Près de quatre-vingt-dix ans après la parution de son livre-clé,
les dérives sectaires d'un mondialisme qui vient de très loin frappent de plein fouet
des libertés fondamentales que l'on croyait solidement acquises,
après deux guerres mondiales censées les avoir défendues au prix du sang,
celui de nos anciens combattants,tous trahis et tués une deuxième fois
par des lois génocidaires et liberticides.
Henry Ford,pacifiste,visionnaire et philanthrope,nous en avait pourtant prévenus....
Ingénieur,inventeur,constructeur,industriel,pacifiste et humaniste de coeur
et de conviction,propriétaire de la plus grande entreprise au monde,
Henry Ford était bien placé pour savoir et pour comprendre beaucoup de choses.
Alors que ses pairs gardaient leurs secrets pour eux,Ford,
avec son esprit altruiste et généreux,voulut les faire partager au peuple américain.
Il dérogea à la règle du silence en publiant
Le Juif International.
Ce livre n'avait jamais été,à notre connaissance,publié en français.
Sa publication répond à un besoin que
la Grande Puissance ",la presse,
et pour cause,n'est pas près de satisfaire ! *
* EXTRAIT de la page 7 du livre.
Mort le 7 avril 1947.
« Créer des problèmes de caractère moral est inhérent au génie propre
de cette race, quel que soit le genre d'activité entreprise où ils sont majoritaires.
Chaque nuit, des centaines de milliers de personnes sacrifient deux à trois heures
au théâtre, chaque jour, l'on peut dire que les gens, par milliers, s'abandonnent
au cinéma, pendant une durée allant de trente minutes à une heure.
Cela signifie tout simplement que chaque jour, des milliers d'Américains
se placent volontairement dans la ligne de tir de toute la force des idées juives
sur la vie, l'amour et le travail : ils sont saturés de propagande juive,
parfois intelligemment,parfois maladroitement dissimulée.
Cela donne au manipulateur juif de l'opinion publique, à loisir,
tout un domaine d'intervention.
La seule protestation qu'il peut élever aujourd'hui est que
la divulgation de ses manipulations lui rende la partie un brin plus difficile à jouer. [...]
Des productions propres, saines, constructives (les rares qui restent)
ne sont plus programmées,
au grand regret de cette race en voie de rapide disparition que constituent
les vrais amateurs de théâtre, survivance d'un autre âge, et par ceux
de la nouvelle génération dont l'esprit a été préservé grâce aux derniers rescapés
de la contamination juive. La grande majorité de la présente génération a été
éduquée pour faire accueil à un genre de pièces entièrement différent.
La tragédie n'est plus de mise. Un jeu scénique d'une portée plus profonde
que celle qui ravirait l'esprit d'un enfant est hors de question.
L'opéra comique a dégénéré en une débauche de couleurs et de gesticulations,
en une combinaison de farce salace et de musique de jazz d'extraction juive
(ces auteurs-compositeurs sont les grands pourvoyeurs de jazz), où l'extravagance
et le burlesque font fureur. La farce grotesque, où la chambre à coucher tient
la première place, est privilégiée. [...] Frivolité, sensualité, indécence,
illettrisme consternant et infinie platitude des dialogues sont les stigmates du théâtre
américain dégénéré d'inspiration et sous influence juive. » Henry FORD,
Le Juif international.