Professeur
Robert Faurisson 18/12/12 :: 5:53
Contre l’Hollywoodisme, le Révisionnisme.
Le terme d’Hollywoodisme désigne la transformation,souvent mensongère,
de la réalité par l’esprit et les pratiques de tout un cinéma américain.
En un premier temps,je traiterai de la malfaisance en général de l’Hollywoodisme.
En un deuxième temps,je décrirai les méfaits de l’Hollywoodisme dans la formation
de l’imposture de « l’Holocauste », c’est-à-dire dans la construction du mythe
du génocide,des chambres à gaz et des six millions de juifs tués pendant
la Seconde guerre mondiale par les Allemands.
Enfin,en un troisième et dernier temps,je parlerai du Révisionnisme comme antidote
par excellence contre l’Hollywoodisme et son incessant battage en faveur de la religion de « l’Holocauste ».
1. L’Hollywoodisme et sa malfaisance.
Selon l’American Heritage Dictionary, « Hollywood » peut désigner
« the U.S. film industry » mais aussi « A flashy, vulgar atmosphere or tone,
held to be associated with the U.S. film industry ». Employé comme adjectif
le mot signifie soit « relating to the U.S. film industry: a Hollywood movie,
a Hollywood producer », soit, selon la citation offerte : « Flashy and vulgar, their
clothes were pure Hollywood » (tape-à-l’œil et vulgaires,leurs vêtements étaient
du pur Hollywood).
Un exemple bien connu de l’idéologie propagée par cette industrie du film
est que le monde se partage essentiellement entre Bons et Méchants.
Les Bons sont les USA et les Méchants sont ceux que les USA décrètent tels.
Les Bons sont fondamentalement Bons et les Méchants sont fondamentalement Méchants.
Toujours les USA sont dans leur droit et gagnent tandis que toujours
les Méchants sont dans leur tort et perdent. Il ne peut, il ne doit donc y avoir
de pitié pour les vaincus : leur défaite prouve qu’ils étaient bien des criminels.
Les vainqueurs s’arrogeront le droit de juger ou de faire juger les vaincus.
Tout le monde a en tête ce qu’on appelle « les atrocités nazies », en particulier
les images de cadavres ambulants ou de cadavres proprement dits.
Depuis maintenant 67 ans Hollywood nous les présente comme la preuve
que les Allemands possédaient des usines de mort où les SS passaient leur temps
à tuer notamment des juifs. En réalité,ces cadavres étaient la preuve qu’à cause
de la destruction systématique par les Alliés des villes allemandes,l’Allemagne de 1945 était à l’agonie :
les habitants qui avaient survécu à ces déluges de fer et de feu
vivaient dans les décombres ou dans des trous, exposés au froid et à la faim ;
souvent il n’y avait plus guère de nourriture, de médicaments ; les hôpitaux
et les écoles étaient détruits ;les trains et les convois ne circulaient à peu près plus ;
les réfugiés de l’Est affolés par les crimes et les viols de l’Armée Rouge se comptaient
par millions. En 1948 le cinéaste italien Roberto Rossellini a honnêtement décrit
cette situation dans Germania,Anno Zero. Aussi ne faut-il pas s’étonner qu’en 1945,
dans les camps de travail ou de concentration, régnaient la disette et les épidémies
de typhus, de fièvre typhoïde, de dysenterie tandis que les médicaments et les produits
de désinfection tels que le Zyklon B manquaient cruellement.
Hollywood a eu, avec le cinéma britannique et la propagande soviétique,
une terrible et directe responsabilité à la fois dans les mensonges qui ont accompagné ce qu’on
a appelé la découverte des camps de concentration allemands (1945)
et dans l’ignoble lynching party (l’expression est de Harlan Fiske Stone, président
de la cour suprême des Etats-Unis à l’époque) du procès de Nuremberg (1945-1946)
où les vainqueurs coalisés se sont faits juges et jury des vaincus.
Il est tout à fait vrai qu’en 1945, même un camp de concentration privilégié
comme celui de Bergen-Belsen offrait une vision de cauchemar.
Mais les horreurs qu’on y découvrait alors n’avaient pas été créées
par les Allemands.
Elles étaient imputables à la guerre et, en particulier, à une guerre aérienne impitoyablement
menée jusqu’au bout par les Alliés contre… les civils.
Il fallait un beau cynisme pour montrer ces horreurs en pointant un doigt accusateur
en direction des vaincus alors que les principaux responsables en étaient l’US Air Force
et la Royal Air Force. En avril 1945, n’y tenant plus, le commandant du camp
de Bergen-Belsen, le capitaine SS Josef Kramer, avait alors envoyé des hommes
au-devant des troupes du maréchal britannique Montgomery pour les prévenir
qu’ils approchaient d’un terrible foyer d’infection et qu’il ne fallait pas relâcher immédiatement
les détenus sous peine de voir ces derniers contaminer la population
civile et les soldats britanniques. Ces derniers ont accepté de collaborer
avec la Wehrmacht. Arrivés sur place, ils ont retenu les internés et tenté
de les soigner mais la mortalité est longtemps restée épouvantable.
Les Britanniques ont voulu savoir combien de personnes avaient été enterrées
dans de vastes fosses communes. Ils ont extrait les cadavres, les ont comptés,
puis, s’aidant d’un bulldozer, un officier britannique a repoussé ces cadavres
en direction de six grandes fosses où les soldats britanniques ont forcé des gardiennes
SS à jeter à mains nues les cadavres dans les fosses.
Mais très vite cette réalité a été transformée par les services de la propagande cinématographique.
On a fait croire que ces cadavres étaient ceux de gens tués
dans le cadre d’un prétendu programme d’extermination.
Une photographie prise d’avion et montrant au loin le bulldozer a permis de faire croire
que l’engin était conduit par un soldat allemand en train d’effectuer sa besogne quotidienne
d’employé d’une usine de mort. Dans un cas, une photo prise de près
montrait le bas de l’engin poussant des cadavres mais elle « décapitait »
le chauffeur de sorte que, ne pouvant pas voir qu’il s’agissait d’un Britannique,
on s’imaginait que le chauffeur était allemand. D’une manière générale, les Américains
ont multiplié les falsifications de cette nature.
Le généralissime américain Eisenhower a été le grand organisateur
de cet Hollywoodisme exacerbé. On a fait venir sur place,
en uniforme de lieutenant-colonel, le fameux cinéaste hollywoodien
George C.Stevens.
Son équipe a tourné 80 000 pieds de film dont il a sélectionné pour le procureur adjoint Donovan
6 000 pieds (soit 7,5% du total). Ce sont ces morceaux soigneusement choisis
par l’accusation américaine qui, le 29 novembre 1945, presque en levée de rideau
de l’infâme « Procès de Nuremberg », ont été projetés à la stupéfaction du monde entier ;
certains des accusés allemands, bouleversés, en ont déduit que Hitler avait,
dans leur dos, perpétré un énorme crime.
C’est en ce sens qu’on peut dire du « Procès de Nuremberg » qu’il a marqué
le triomphe de l’Hollywoodisme.
2. L’Hollywoodisme dans la construction du mythe de « l’Holocauste »
« L’Holocauste » des juifs est ensuite devenu une sorte de religion dont les trois principales
composantes sont l’extermination, les chambres à gaz et les six millions
de martyrs. Selon un article de foi de cette religion Hitler aurait ordonné
et planifié le massacre systématique de tous les juifs européens ; ce faisant, il aurait commis
un crime sans précédent, un crime spécifique, plus tard appelé génocide.
Puis, afin de perpétrer ce crime spécifique, il aurait notamment fait mettre au point
une arme spécifique, une arme de destruction massive, la chambre à gaz,fonctionnant
en particulier avec un puissant insecticide,le Zyklon B fait à base d’acide cyanhydrique.
Enfin le résultat de cet énorme crime aurait été la mort de six millions de juifs européens.
Le camp d’Auschwitz-Birkenau aurait été le point central, le point culminant, le Golgotha de cette horreur.
Après la guerre il s’est développé autour de cette sainte trinité
de « l’Holocauste » toute une propagande, toute une industrie de « l’Holocauste »,
tout un commerce : le « Shoa-Business ». Aux Etats-Unis, l’industrie du cinéma
s’est nourrie de cette croyance et l’a propagée dans tout le monde occidental.
C’est surtout à partir de 1978 qu’une telle propagande s’est développée en particulier
avec les quatre épisodes de la mini-série américaine Holocaust racontant la saga
de la famille Weiss. Il n’est pas exagéré de dire que la projection de ce feuilleton
est devenue, à partir de 1979, quasiment obligatoire dans toute une partie du monde.
Elle a déclenchée un torrent de films parmi lesquels, de Steven Spielberg,
La Liste de Schindler, de Roberto Benigni, La Vie est belle, de Roman Polanski,
Le Pianiste. En France, en 1985, Claude Lanzmann nous a gratifiés d’un documentaire-documenteur
de plus de neuf heures: Shoah. Le nombre d’Emmy Awards, d’Oscars
ou d’autres récompenses attribués à des films de ce genre est stupéfiant.
Un mogul de l’Entertainment Industry, Andrew Wallenstein,a un jour déclaré
dans The Hollywood Reporter : « Disons-le, simplement : la raison pour laquelle
on voit tant de films sur l’Holocauste est qu’ils sont des appâts pour obtenir des prix.
» C’est de telles constatations qu’est née la formule « There’s No Business Like Shoa Business »,
inspirée du refrain, notamment chanté par Liza Minnelli, de la chanson
« There’s No Business Like Show Business ».
3. Le Révisionnisme est un antidote au poison de l’Hollywoodisme
Le Révisionnisme n’est pas une idéologie mais un remède à la tentation de l’idéologie.
Il est une méthode. Qu’il s’agisse de littérature, de science, d’histoire, de médias,
qu’il s’agisse de quelque activité humaine que ce soit, il préconise qu’on établisse
la réalité d’un fait préalablement à toute considération sur ce fait.
Ce qu’on croit avoir vu, entendu ou lu, il faut à nouveau le voir, l’entendre, le lire.
Il faut se défier des impressions premières, des émotions, de la rumeur, ne se fier
à rien ni à personne aussi longtemps qu’on n’a pas mené à fond sa propre enquête,
et cela d’autant plus si l’on étudie une rumeur de guerre car, ne l’oublions pas,
en temps de guerre la première victime est la vérité.
Le peu de temps qui me reste ne me permet malheureusement pas de décrire ici
comment et à quel prix en une cinquantaine d’années de recherches je suis parvenu,
avec bien d’autres révisionnistes,à la conclusion que « l’Holocauste » n’est décidément
qu’une gigantesque imposture comme j’avais pu m’en convaincre au bout de quelques années.
Déjà le 17 décembre 1980 je résumais cette conclusion en une phrase
de soixante mots français dont aujourd’hui je ne vois pas un mot à retirer.
Voici cette phrase : « Les prétendues chambres à gaz hitlériennes et le prétendu
génocide des juifs forment un seul et même mensonge historique qui a permis
une gigantesque escroquerie politico-financière dont les principaux bénéficiaires
sont l’Etat d’Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont
le peuple allemand,mais non pas ses dirigeants,et le peuple palestinien tout entier».
Pour se faire une idée des victoires spectaculaires remportées contre cette imposture,
grâce aux travaux des révisionnistes, on pourra se reporter à deux études qui figurent dans mon blog :
« Les Victoires du Révisionnisme » (11 décembre 2006)
et « Les Victoires du Révisionnisme (suite) » (11 septembre 2011).
Il n’est pas exagéré de dire qu’actuellement en France et ailleurs dans le monde
les auteurs qui défendaient la thèse de « l’Holocauste » sont en pleine déroute.
Le malheur est que la censure et la répression empêchent encore le grand public
de connaître cette bonne nouvelle ; mais avec Internet, les temps changent et vite.
Conclusion.
La croyance générale du monde occidental en « l’Holocauste » a longtemps été l’épée
et le bouclier du sionisme.Mais aujourd’hui le Révisionnisme met cette croyance en péril.
Cette conférence sur l’Hollywoodisme marquera,je pense,une étape de plus dans
notre lutte commune, une lutte pour les droits de tous , en particulier des Palestiniens ,
une lutte pour que le monde entier se libère d’une tyrannie fondée sur le Plus Grand Mensonge
des temps modernes.