Le 1er mai 2011,jour anniversaire de la fondation en 1776
des
Illuminés de Bavière,secte satanique et supra-maçonnique
d'Adam Weishaupt,fut le momement choisi par la secte conciliaire
pour béatifier Jean-Paul II.
A cette occasion,Benoît XVI déclara que
"Jean-Paul II a été béatifié
pour sa foi".Par ces termes,désignait-il la vraie foi catholique,
celle qui est résumée dans le Credo ou dans le symbole apostolique ?
Ou à l'inverse parlait-il d'une "foi" affirmant que les J uifs n'ont pas besoin
du Christ pour se sauver,une "foi" qui se dispense de la nécessaire coversion
à la foi unique et qui inspire le culte de l'homme et l'idolâtrie ?
Rappelons d'ailleurs que lors de la visite de la synagogue de Cologne
en août 2005,Benoit XVI affirmait que les j uifs constituaient le peuple élu,
et qu'à ce titre ils n'avaient pas besoin du Christ pour se sauver.
La "foi" dont,selon son successeur,Jean-Paul II était animé,est-ce une "foi"
pour laquelle il ne faut plus excommunier ni les apostats ni les schismatiques ?
Car cette "foi" a débouché sur une amnistie générale pour les excommuniés
de l'histoire de l'Eglise catholique à l'instar de Luther,Calvin,Huss.
Une réhabilitation qui s'étend jusqu'à la franc-maçonnerie car,dans le nouveau
code de droit canonique promulgué en 1983 un catholique qui entre en loge
n'est plus excommunié.
Mgr Jouin,éditeur en 1920 de la
Revue Internationale des Sociétés Secrètes,
mettait pourtant en garde contre les aspirations sataniques dans les plus hauts
grades de cette secte.La franc-maçonnerie voyait dans ce clerc un ennemi
redoutable,et dans les loges,les "frères" s'étaient prononcés pour l'assassinat
de cet écclésiastique rebelle.
Dans le cas de Jean-Paul II,devons-nous parler d'une
"béatification sacrilège"?
Certainement.Les fidèles présents à cette mascarade terrestre étaient peut-être
de bonne foi.Ils ignoraient la doctrine et les vertus qu'implique une béatification.
Pour cela,ces nombreux fidèles qui acclamaient le
"nouveau messie"achetaient des gadgets inutiles et vociféraient des paroles dithyrambiques.
Cette fausse béatification signifiait l'élévation sur l'autel de l'esprit d'Assise
et de l'Antéchrist.
LE BAISER AU CORAN.
En 1984,Jean-Paul II avait fait envoyer un de ses représentants pour présider
à la pose de la première pierre de la mosquée de Rome,la plus grande d'Europe.
Un tel geste constitue une quasi-approbation de l'islam qui nie la divinité du Christ.
Un an plus tard,en août 1985,répondant à une invitation du roi Hassan II,
il lança au stade de Casablanca à l'adresse des jeunes mahométans:
"Nous croyons au même Dieu,l'unique Dieu,le Dieu vivant".Pis,en 1999,
il embrasse le Coran au Vatican.
Dans
La Somme théologique,saint Thomas d'Aquin enseigne qu'un baptisé
qui irait vénérer le tombeau de Mahomet commettrait un acte d'apostasie.
Or,quelle différence y-a-t-il entre vénérer le tombeau du fondateur de l'islam
et baiser le Coran ?
Le 6 mai 2000 Jean-Paul II se déchausse pour entrer "prier" dans une mosquée,
créant là une première.
L'HERITIER DE LUTHER. En France,en octobre 1986,Karol Wojtyla se rendit dans la communauté de Taizé
et dans le sanctuaire des charismatiques de Paray-le-Monial où il déclara que
le
"culte du Sacré-Coeur est désuet".Il s'agit là d'un véritable blasphème
à l'encontre du Christ rédempteur.
Pui il réunit toutes les religions à Assise,le 27 octobre de la même année
(il recommencera en janvier 2002) de sorte que la presse dira qu'il:
"invente et préside l'ONU des religions:ceux qui croient en l'Eternel,
ceux qui croient en mille dieux,ceux qui ne croient en aucun dieu précis,
Vision stupéfiante".
Dans
Redemptor hominis et Dominum vivificantem Jean-Paul II
mentionne cent fois plus l'homme que Dieu.Il écrit que:
"Le chemin de l'Eglise est l'homme".
Dans son code de droit canonique,Jean-Paul II élimine en 1983 les notes
dogmatiques de l'Eglise:
"Une,Sainte,Catholique et Apostolique"et les remplace par:
"Communion,oecuménisme,collégialité".
Jean-Paul II s'est en réalité créé une théologie personnelle,il défendit
un humanisme indépendant de la Grâce de Dieu par Jésus-Christ,du Culte
liturgique,des Sacrements et de l'Esprit Saint:la vie de l'homme n'a plus
pour finalité la gloire de Dieu.
Lors d'une rencontre interreligieuse,Karol Wojtyla se fit appeler
"le guide et le gardien de toutes les religions du monde",et condamna
le
"fondamentalisme catholique".
A Jérusalem,dans un temple luthérien,il déclara:
"Je viens à vous par l'hérédité spirituelle de Martin Luther".
Jean-Paul II se voulait donc héritier de cet hérétique,ce persécuteur de l'Eglise
catholique.Ce moine défroqué qui fit sortir une nonne de son couvent
dans un tonneau de bière pour en faire sa première concubine
(il en avoue quatre à la fois en une lettre),finit ses jours en se suicidant
au pied de son lit.
L'ALLEGEANCE A LA SYNAGOGUE.
C'est avec les juifs que Jean-Paul II montra la plus grande complicité.
Le 17 avril 1984 il reçoit au Vatican une délégation du
B'nai B'rithet qualifie cette réception de
"rencontre entre frères".
Premier occupant du siège de Pierre à entrer dans une synagogue,
Karol Wojtyla se rend le 13 avril 1986 à la grande synagogue de Rome
où il est reçu par le grand rabbin Elio Toaff,participe activement à la récitation
de psaumes exprimant l'attente de la venue du Messie (qui ne se serait donc pas
déjà incarné) et
"demande pardon" pour
"la persécution des juifs".
Le 12 mars 200,devant un ménorah à sept branches,dans la basilique
Saint Pierre de Rome,il se livre à un réquisitoire contre deux mille ans d'histoire
de l'Eglise,accusant le catholicisme d'être coupable de tous les maux.
Puis le 24 avril de la même année,il glisse un papier de supplication dans le mur
des Lamentations à Jérusalem,geste qu'un rabbin qualifie d'acte de croyant
puisque,explique-t-il,sa mère (née Katz) est d'origine juive.
DU SATANISME AU VAUDOU.
En août 1985,au Togo,dans la "forêt sainte" de Lomé,Jean-Paul II assista
à une cérémonie païenne.Wojtyla se lia même d'amitié avec des sorciers Vaudou,
des adorateurs de serpents.
En février 1986,en Inde,à Madras,il est honoré du signe de
"crisma"(sexe de la vache sacrée) figurant sur le front de tous les sataniques,
les
"shiva" (les "bienveillants").Ce sacrement luciférien appartient
au brahmanisme.Cette même année,dans la basilique d'Assise,Jean-Paul II
s'est opposé à la présence de la statue de la Madone de Fatima afin de
"ne pas offenser" les représentants des autres religions.
Il consentit à la pose d'un Bouddha sur l'Autel du Tabernacle,contenant
le saint Sacrement.
Le 1er juin 1990,il reçut pour la cinquième fois Tenzin Gytro,dit
"Dalai Lama,
la soi-disant réincarnation de Bouddha et fit mettre à sa disposition une abbaye.
La voie la plus haute du salut bouddhiste est appelée
Vayarayanadésignant dans le
Bouddhisme tantrique une partie de l'organe sexuel masculin.
Le "coït rituel" y constitue une pratique fondamentale.
Il existe,ensuite,une autre pratique secrète,le
Kalachakra,constitué de forces
obscures et démoniaques.
Dans une audience générale,il déclara:
"Les exégètes reconnaissent de manière unanime que le texte de la Genése,
d'après l'hébreu original,attribue l'action du serpent non directement
à la femme mais à la descendance".
Lors d'une aure audience,il avança:
"En faveur de l'immaculée conception,on mentionne souvent comme témoignage
biblique le chapitre XII de l'Apocalypse dans lequel est mentionnée la "femme"
revêtue du soleil.Mais l'exégèse actuelle converge pour reconnaître dans
cette femme la communauté du peuple de Dieu qui donna à la lumière,
dans la douleur le messie ressuscité".
En une autre occasion,il affirma:
"Jésus,sur la Croix,n'a pas formellement proclamé la maternité universelle
de Marie,mais a instauré un rapport maternel consacré par lui".
Ces fantaisies vont une fois de plus à l'encontre de la doctrine mariale de l'Eglise.
DES ECRITS HALLUCINANTS.Il mettait en avant l'amour de l'homme,de son corps.
Concernant la vénération du corps,il dit que:
"la masculinité et la féminité constituent la plus grande révélation de l'être humain"ou que :
"notre hérédité sera un érotisme éternel.L'érotisme célestre est notre objectif"et encore:
"dans le paradis,l'érotisme constitue le fondement de la communion des saints".
Dans son livre
"Varcare la soglia della speranza"(
Dépasser le seuil de l'espérance),Jean-Paul II écrit en lettres majuscules:
"Dieu n'a pas de fils,Jésus-Christ n'est pas le fils de Dieu,
mais seulement un des prophètes" (p.9).
Jean-Paul II nie ainsi la révélation de la divinité du Verbe.
Ces propos rappellent la cabale rabbinique qui refuse la divinité du Christ
et le mystère de la Trinité.
"Il n'y a pas de raison de se préoccuper de l'âme des avortons.
Ils sont sauvés car le péché originel n'existe pas".
Cette phrase est extraite du livre de Jean-Paul II,
Persona e azione.
Ces positions ne peuvent pas être celles d'un défenseur de la foi catholique.
Elles prouvent que l'
"Eglise est éclipsée" ainsi que nous a avertis
la Très Sainte Vierge à la Salette en 1846:
"Lucifer avec un grand nombre de démons seront détachés de l'enfer:
ils aboliront la foi peu à peu et même dans les personnes consacrées à Dieu".
Le cardinal Mario-Luigui Ciappi,confesseur de Paul VI et de Jean-Paul II,
prédisait quant à lui que:
"la Grande Apostasie de l'Eglise commencera au sommet".
Il était bien placé pour s'en rendre compte.
Adelaïde SIROVA.Source:
RIVAROL n°3010 du 29 juillet 2011,page 13.