La revue "scientifico-sportive",
Sport et vie (à ne pas confondre
avec
Science et vie) a publié un article fort intéressant sur le bassin
d'Auschwitz creusé par les détenus...et du personnel SS !
En effet derrière le vernis diabolisant destiné à éviter à son auteur le stigmate
révisionniste (cruel cachet s'il en est),il s'avère que le bassin fait maison
n'était pas réservé aux seuls Allemands mais aussi aux déportés très malnutris...
Les témoignages de Nicolas Roth et surtout du champion Alfred Nakache,
matricule 172763 (pour ceux qui veulent vérifier),viennent corroborer ce fait.
Les dimanches et les jours fériés,des Juifs pouvaient barboter dans la piscine,
avec l'autorisation officielle des autorités,écrit le journaliste Raphaël Godet.
La surveillance était-elle étroite et rigoureuse? Pas vraiment selon le contenu
de cet article qui décrit un Nakache épris de liberté faisant le mur règulièrement
pour piquer une tête dans l'eau fraîche de la piscine.
Et Nakache d'entraîner avec lui son ami Noah Klieger:
"Pendant l'été 44,il s'y rendra à nouveau,cette fois sans l'autorisation des SS,
entraînant son ami Noah Klieger dans son sillage.Les deux hommes se jouent
de leurs geôliers et des règles de détention.Libres pour un instant.
Défiant les nazis et leurs ordres absurdes."Les nageurs étaient-ils diablement sélectionnés en fonction d'un tri irrationnel
draconien comme le prétendent les exterminationnistes invétérés ?
Ce n'est pas ce que l'on comprend à la lecture de
Sport et vie !
Des jeux aquatiques étaient organisés,des water-polos,des compétitions:
"Aux détenus qui acceptaient (tiens l'on pouvait accepter ou refuser
à Auschwitz ?),
d'y participer,les SS promettaient une double portion
de nourriture.On a donc vu de nombreux déportés s'inscrire dans l'unique but
d'obtenir cette ration alimentaire."Quant à Nakache,lorsqu'il nageait tranquillement dans la piscine hitlérienne,
il retrouvait
"ses sensations".
"Son corps se dénouait.Ses muscles
se tendaient.Ses bras fendaient l'eau.Oubliant la situation,il avait l'impression
de se retrouver lui-même,de vivre.Des moments de grâce qu'il cherchera
à réitérer."Précision: l'article ne dit pas si le bassin était rempli d'eau ou de sang.
Ou si Nakache slalomait autour de cadavres sous les fous rires d'Aryens enivrés....
Source:
RIVAROL n°3013 du 16 septembre 2011,page 12.