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DRANCY : LA MEMOIRE HEMIPLEGIQUE Le procès par contumace de l’officier SS Aloïs Brunner, probablement décédé,
a été l’occasion pour les boutiquiers de la mémoire de vaticiner sur les heures
les plus sombres de leur histoire.
Ils veulent qu’on parle de Drancy ? Et bien, parlons de Drancy…
Parlons de ces juifs qui collaborèrent avec les nazis.
Le camp de Drancy était largement autogéré par les Juifs.
Ouvert en 1941, il servait de base de transfert dans le cadre de la
Solution Finale (déportation des Juifs en Pologne suite à la publication par Theodore Kaufman
d’un livre exigeant le génocide des Allemands).
Sur
67.000 J.u.i.f.s qui y transitèrent, seuls
8.500 étaient Français.
Ce camp eut
sept dirigeants : Asken, Max Blanor, François Montel,
Georges Kohn, Robert Félix Blum, Georges Schmidt, Oscar Reich
et Emmanuel Langberg.
Le 24 octobre 1942, une police juive interne est créée, surnommée la « Gestapolak » en raison de son recrutement ashkénaze.
- Parlons d’
Abraham Drucker (père de Michel), médecin chef qui assista
Brunner dans sa rafle des Juifs de l’ancienne zone libre.
- Parlons de
Jankel Jouffa, père de Yves Jouffa de la
Ligue des Droits de l’Homme,
qui participa à cette « police » comme chef d’escalier..
Parlons de l’UGIF qui mis dans sa poche les 750 millions volés aux Juifs
et qui dorment probablement dans les caisses du CRIF, ce qui fait qu’avec
les réparations, c’est le goy qui va payer l’argent volé par les Juifs aux Juifs,
comme il paya, en lieu et place des Juifs, le milliard d’indemnités exigé
par les Allemands aux Israélites suite aux attentats contre la Wehrmacht.
Drancy, en 1944, fut à nouveau transformé en camp de concentration.
A la différence près qu’y furent parqués tout ceux dont le régime gaulchévique
voulait se débarrasser.
Ce n’était plus un KL mais un Goulag, ce qui explique pourquoi Drancy I
bénéficie d’une mémoire nickelée et que Drancy II « n’existe pas »…
La preuve de ce déni de mémoire : les photos de Drancy I illustrant les livres
d’histoire ont été prises… en août 1944 à Drancy II !
On va leur en donner, de la mémoire.
- Parlons de cette fillette de treize ans, fille de présumés « collabos »
qui fut violée collectivement sous les yeux de ses parents par une bande
d’ordures à brassard FTP (pléonasme).
-Parlons des colis de la Croix Rouge pillés par les FTP (habitude communiste, l’Arbeitstatistik faisait pareil à Buchenwald).
- Parlons des tortures infligés aux prisonniers (et aux prisonnières) dont
René Château donne une pâle idée dans son livre
L’Age de Caïn.
Deux chiffres, deux chiffres seulement :
-Français exécutés par les Allemands de 1940 à 1944 :
29.775.
- Français exécutés par les gaulcheviques en six mois :
97.000…
Le devoir de mémoire, pourquoi pas. Mais toute la mémoire !
L’heure est venue pour les puissants de faire repentance.
Dans le cas contraire, nous serons dans l’obligation de constater que pour eux, l’égalité n’existe pas…
http://geocities.ws/henridefersan/pub/lf01.html