Dans le quotidien des Rothschild du lundi 11 avril (
Libération)
un article traite de l'immigration au Danemark,un pays où
les entreprises seraient
" inquiètes du climat anti-étrangers"
"L'avenir économique du royaume erait en jeu",apprend-on.
Un consortium des plus grandes entreprises a donc été créé
afin de favoriser l'arrivée de cerveaux étrangers,sans doute
indispensables à la croissance de ce petit pays sous-développé.
Le porte-parole de ce consortium,Tine Horwitz,explique que grâce
aux pressions qui ont été exercées,le gouvernement a développé
une politique d'accueuil:allégements fiscaux,ouvertures d'écoles
internationales,mise en place d'un réseau social pour faciliter
l'intégration des conjoints.Mais,poursuit Tine Horwitz,
"toutes ces initiatives n'ont aucune importance si les attitudes
ne changent pas."Une enquête auprès de 700 diplômés d'origine étrangère révèle
en effet qu'une majorité d'entre eux trouvent les Danois
"fermés"et
"peu accueillants".Marre de leurs mensonges !Les Danois seraient donc "xénophobes",ce qui signifie,en clair,
qu'ils en ont ras-le-bol de voir leur pays envahi,submergé par
des hordes du tiers-monde,et surtout,ras-la-couenne d'entendre
des petits Horwitz,avec leurs papillotes et leur chapeau à queue
de renard,leur donner sans arrêt des leçons de tolérance sur toutes
les ondes.Voyez encore ce que rapporte notre journaliste de service,
nommée "Anne-Françoise Hivert" (c'est probablement un pseudonyme
qui cache un petit "Horwitz";on connaît la musique):
"Le calcul est simple:pour faire face au vieillissement de sa population,
le pays aura besoin de recruter 7500 ingénieurs étrangers dès 2013 et
plus de 100 000 personnes hautement diplômées d'ici à 2020.Sinon,
les entreprises ne pourront croître."Tine Horwitz a même le culot d'ajouter:
"Une étude réalisée par l'administration a montré que l'embauche
d'un salarié étranger générerait en moyenne deux nouveaux emplois."Ces gens-là nous prennent vraiment pour des abrutis !
Le judaïsme est un projet politique.Nous avons largement montré,dans différents chapitres de nos livres,
que les intellectuels juifs,toutes tendances confondues,encouragent
l'immigration de toutes forces,partout où ils sont installés.
Leur objectif est de dissoudre les sociétés ethniquement homogènes
et de favoriser le métissage,afin de parvenir,à terme,à l'unification
du monde et à l'instauration d'un gouvernement mondial.
"Après la mise en place d'institutions continentales européennes,
apparaîtra peut-être l'urgente nécessité d'un gouvernement mondial".Nous dit
Jacques Attali,dans son
Dictionnaire du XXIè siècle.La société multiculturelle et l'affaiblissement du sentiment d'appartenance
leur permettent aussi de se préserver d'un sursaut nationaliste,dont
ils gardent un souvenir cuisant.Les propos à ce sujet sont innombrables.
Tous les intellectuels j uifs,sans aucune exception,sont ainsi focalisés
sur cette question de la société "plurielle" et exercent une "vigilance antiraciste"
permanente,par delà leurs divergences politiques.
Dans
L'Humanité perdue (1996),le philosophe
Alain Finkielkrautexplique:
"Le risque mortel que fait peser sur le monde le culte de l'appartenance,
la segmentation de l'humanité et l'enfermement des individus dans leur race
ou dans leur culture ne saurait être définitivement conjuré que par
l'instauration des sociétés pluriethniques."Bernard-Henri Lévy tient un discours beaucoup plus explicite qui
reflète mieux cette volonté cosmopolite de détruire les nations:
"La machine européenne, écrit-il....
est venue s'inscrire contre
ces nationalismes mystiques et a commencé à les renvoyer au musée
des horreurs historiquesAvec la mort de ces nationalismes,les Juifs
perdent le plus redoutable de leurs adversaires."(
Récidives,2004).
Le philosophe milliardaire s'empresse de préciser la nature de cette Europe
démocratique,qui ne doit pas,selon lui,être
"une nation de plus",
mais
"un disposif de nature à travailler,fracturer,pulvériser et
,finalement,nécroser,les identités et les fixations nationales."L'mmigration comme nécessité.Les intellectuels juifs nous présentent toujours l'immigration
comme une nécessité économique,un apport indispensable,
un enrichissement extraordinaire,et,.
Voyez ce rapport de la Banque mondiale de novembre 2005,
qui encourageait la Russie à ouvrir ses frontières.
L'immigration,peut-on lire,serait
"l'une des principales conditions
d'une croissance économique stable.La population du pays est
vieillissante et déclinante....Pour pleinement compenser la dépopulation,
un flux annuel d'un million d'immigrants employables serait nécessaire."Et qui trouvait-on alors à la tête de la Banque mondiale ? :
Paul Wolfowitz,un ardent sioniste,qui fut aussi l'un des plus fervents
partisans de la guerre contre l'Irak en 2003.
Un article du journal
Libération du 25 juillet 2005 nous prévenait:
"Selon les projections d'Eurostat présentées par Serge Feld,
de l'université de Louvain,l'Union européenne perdrait 14 millions
d'habitants d'ici à 2030." C'est
"une menace que seule la poursuite de l'immigration
permettra d'atténuer."Et d'ici 2030,nous rassurait-on,
"l'immigration fera gagner 25 millions
d'habitants à l'UE".Cet article,intitulé
"L'mmigration au secours de l'Europe",était signé
par un certain
Eric Aeschlimann.
Pour tous ces intellectuels j uifs,qui nous font l'amabilité de penser
à nos retraites,il n'est évidemment pas question que les Européens
puissent avoir recours à des politiques natalistes.
C'est ce qu'a bien exprimé
Daniel Cohn-Bendit:
"Une politique nataliste me semble absolument inutile...
La famille n'a pas de valeur par elle-même."Et Cohn-Bendit fait la promotion des couples homosexuels:
"Ce qui compte beaucoup plus,pour moi,ce sont les relations
dans le couple.Quel que soit le sexe des partenaires:un couple homosexuel
doit avoir les même droits qu'un couple hétérosexuel."(
Une envie de politique,1998).
L'mmigration est une chance.Tout le monde connaît la formule
L'mmigration,une chance pour la France,
qui est le titre d'un livre de l'ancien ministre
Bernard Stasi (1984).
Dans
Le Figaro du 13 octobre 2004,le directeur de presse
Alexandre Adler nous invitait à faire entrer la Turquie dans l'Europe:
la Turquie,qui a
"des élections libres,une presse libre,des intellectuels
qui n'ont à envier aux nôtres,des universités admirables ouvertes
sur le monde ",représente une
"chance inespérée....Sachons aujourd'hui
déchiffrer ce signe pour assurer la liberté de notre continent demain."L'un des principaux conseillers de Jacques Chirac,
Pierre Lellouche,
député de la droite libérale et président de l'Assemblée de l'OTAN,
le déclarait sans ambages dans
Actualité juive du 23 décembre 2004:
"Parce que la Turquie est un pays musulman,je souhaite qu'elle entre
dans l'Union."L'apologie du métissage.Les intellectuels juifs n'ont cesse de faire l'apologie du métissage,
mais là encore,il faut comprendre qu'il s'agit surtout d'un discours
réservé à l'exportation,car les juifs,eux,ont le devoir de ne pas
se métisser et de conserver leur identité.
"Nous souhaitons le développement des réseaux dans le tissu planétaire,
nous appelons au métissage...",écrit le sociologue
Edgard Morin(Nahoum),dans
Terre-Patrie(1993).
"Nous n'avons pas la Terre promise,mais nous avons une aspiration,
un vouloir,un mythe,un rêve:réaliser la Terre-Patrie."(
Un nouveau commencement,1991).
Dans son
Dictionnaire du XXIè siècle (1998),
Jacques Attali écrit:
Il faut
"encourager la diversité,partager les richesses...s'ouvrir
aux cultures des autres,favoriser tous les métissages,apprendre à penser
globalement." C'est ce qui permet à l'histrion médiatique
Daniel
Cohn-Bendit de déclarer son amour de la France,en mélangeant tout:
"Ce qui me plaît en France,c'est son cosmopolitisme.
Les Noirs,les Arabes, les J uifs.J'aime la France surtout pour ça."(
J uifs et Français,1979).
Pour le "grand public",cette inlasable propagande planétarienne se vérifie
aisément dans la production cinématographique.
En 2003,un ancien Premier ministre d'origine j uive,
Laurent Fabius,
socialiste et richissime,avait déclaré:
"Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage
d'une jeune Française issue de l'immigration,ce jour-là,
la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement
les valeurs de la République."Nicolas Sarkozy,dont la mère est née Mallah,avait dit
pareillement,dans son discours d'investiture au Congrès du parti libéral,
le 14 janvier 2007:
"Je veux être le président d'une France qui aura compris que la création
sera dans le mélange,dans l'ouverture,dans la rencontre,
je n'ai pas peur du mot,dans le metissage."Mais lui n'a épousé que des femmes juives.
Un phénomène inéluctable.
Les intellectuels j uifs entendent aussi nous faire croire qu'il est inutile
de tenter de s'opposer à ce phénomène,comme si le destin de l'humanité
était déjà tracé par des forces supérieures.
Voyez ce que dit
Jean "Daniel" (Bensaïd),le patron du
Nouvel Observateur,en date du 13 octobre 2005:
"Rien n'arrêtera les mouvements des populations misérables vers
un Occident vieux et riche...C'est pourquoi la sagesse,la raison,
consiste désormais à faire comme si nous allions recevoir de plus
en plus d'émigrés dont il faut préparer l'accueuil."Son "ennemi" politique,
Alain Minc,tient le même langage dans
La Vengeance des Nations(1990):l'immigration une
"perspective inévitable",
dit-il.
"L'immigration va augmenter:autant s'y préparer et y préparer les Français
au lieu de les laisser fantasmer à partir d'une situation aujourd'hui moins
critique qu'ils ne veulent le croire."Dans
La Machine égalitaire,publié en 1987,il en parle comme s'il s'agissait
d'une révélation biblique.Son chapitre intitulé
Les dix commandementsne laisse pas de doute à cet égard:
"Entre une Europe en pleine décadence démographique et les pays surpeuplés
du Sud de la Méditerranée,le phénomène de déversoir est inévitable."Dans son livre
Une Envie de politique (1998),
Daniel Cohn-Benditinsiste sur la nécessité pour les Européens d'ouvrir grand leurs...frontières.
Le modèle que nous propose l'ancien anarchiste est maintenant
l'Amérique libérale:
"Il faut que l'Europe se pense comme région d'immigration,à la manière
des Etats-Unis."Et il ajoute:
"Il faut d'abord se dire qu'il y aura
toujours un mouvement d'immigration en raison de l'inégalité forte
entre les pays industrialisés et les pays en développement du Maghreb
ou d'Afrique....Cela vaut pour l'Europe entière."Notons que dans l'ancien discours marxiste,c'était la "société sans classes"
qui devait être "inéluctable".Mais vous l'avez compris,il ne s'agit pas tant ici
d'analyses sérieuses que d'un discours de propagande qui consiste à nous
retirer l'idée même de nous défendre.
Nous sommes 'frileux".En 1982,
Albert Memmi écrivait dans son livre sur
Le Racisme:
en France,
"un mépris craintif ou ironique de tout étranger,un quant-à-soi
barricadé,une hospitalité quasi-nulle...un chauvinisme toujours renaissant
révèlent que la peur agressive d'autrui est toujours latente."Les Français,décidément,sont des gens antipathiques,mais il est tout de même
bon de s'installer chez eux.
Dans son livre
L'Idéologie française (1981),
Bernard-Henri Lévyécrivait que les patries,les patois,les traditions...tout cela n'est qu'un
"repli frileux et cripé sur les identités les plus pauvres."Alain Minc nous sermone lui aussi à sa manière,nous assurant
que c'est
"l'ignorance qui alimente la xénophobie",et qu'il faut donc
"lutter contre le délire xénophobe" et en finir avec cette
"paranoïa française".Il faut dit-il,
"rompre avec notre rigidité mentale".Le mépris du Goy.Les intellectuels juifs ont souvent exprimé leur mépris de nos vieilles civilisations.
On se souvient du mot de
Georges-Marc Benamou,le richissisme patron
socialiste d'Yves Saint-Laurent:
"Bien sûr,nous sommes résolument cosmopolites.
Bien sûr,tout ce qui est terroir,bourrées,binious,bref franchouillard ou cocardier,
nous est étranger,voir odieux."Dans
L'Idéologie française (1981),
Bernard-Henri Lévy parlait déjà
"d'épaisses sottises" au sujet des bourrées et des binious.
Les
"patries en tout genre et leurs cortèges de vieilleries" le dégoûtent.
Guy Konopnicki tient le même genre de propos,quand il parle de
"culte du terroir,extase devant les vertus paysannes,philosophie spontanée,
bon sens populaire et toutes sortes de vieilleries réactionnaires."(
La Place de la nation,1983).
La Houtzpah talmudique.Les intellectuels juifs manifestent régulièrement une certaine inclinaison
à proférer d'énormes contrevérités.
On nous dira par exemple que l'immigration n'a pas augmenté,qu'elle n'a jamais
été aussi basse,que les races n'existent pas,etc.
Cette disposition à prendre les goys pour des demeurés s'appelle
la "h outzpah" ("Chutzpah",avec la graphie allemande,en raclant la gorge).
Ecoutez le philosophe marxiste
Jacques Derrida nous expliquer
qu'il y a:
"beaucoup plus de place qu'on ne le dit pour accueillir plus d'étrangers...
l'immigration n'a pas augmenté,contrairement à ce que l'on affirme."(
De quoi demain...,2001).
En mars 2000,la revue
Géo Histoire avait publié un entretien avec
le démographe
Gérard Noiriel,qui avait pour titre
Le fantasme identitaire:
"Fort de ses recherches,l'historien peut rappeler que depuis cent cinquante ans,
jamais l'immigration n'a été aussi faible en France.
En 2007,cela fait plus de trente ans qu'elle n'a pas augmenté de façon significative.
Les statistiques produites par l'Ined (Institut national des Etudes démographiques)
le démontrent: il y a moins d'étrangers aujourd'hui qu'il n'y en avait en 1997."L'ancien ministre
Jack Lang manifeste les mêmes dispositions talmudiques.
Le samedi 3 septembre 2005,à l'émission
Tout le monde en parle,
il répondait à Thierry Ardisson,qui lui posa la question à brûle-pourpoint:
"Vous ne trouvez pas qu'il y a trop d'immégrés en France ?" :
"Non,répondit Jack Lang,
vous savez que la France est le pays
qui a le moins d'immigrés d'Europe."Dans le même registre,des scientifiques tels que
Roger-Gérard Schwartzenbergou
Axel Kahn nous assurent que
"les races n'existent pas".
Et nous venons tous d'Afrique,c'est bien connu !
La palme revient toutefois à l'essayiste
Guy Sorman,qui affirme,
dans son livre
En attendant les barbares (1992):
"Ce ne serait la présence des étrangers qui susciterait le racisme,
mais leur absence:le fantasme de l'immigré serait le fourrier
de la violence,beaucoup plus que l'immigré lui-même."Et d'ailleurs,
"la France,qui comptait des centaines de dialectes,
patois et langues régionales,il y a un siècle,n'était-elle pas alors
plus multiculturelle qu'elle ne l'est aujourd'hui ?"C'est gens-là,c'est évident,ont l'art de se foutre de la gueule du monde.
Maintenant,si vous trouvez un juif qui tient un discours à l'opposé
de celui-ci,c'est tout simplement qu'il n'est pas juif.
Comme le disait Joseph Goebbels,bon connaisseur en la matière:
Ce qui est juif et ce qui ne l'est pas,c'est nous qui en décidons."Hervé Ryssen.Source:
RIVAROL n°2995 du 15 avril 2011,p.9