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L' Agora
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(Noël 1941)
Exemple de quelques pages d'Histoire "occultées" dans nos livres d'Histoire....JO 1936 à Berlin : (Au dernier moment, toutefois, le comité américain, qui craignait les équipes hollandaise et allemande, revint sur sa décision. J. Owens et R. Metcalfe furent choisis aux dépens des deux athlètes… juifs. (S. Stoller et M. Glickman)(voir photo suivante) Le Bétar en uniforme avec son drapeau à Berlin:"En Histoire, la croûte, c’est le mensonge en lui-même, le pus, c’est l’occultation qui l’accompagne. N’hésitons pas à inciser et à tout purifier …"
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" Les Juifs déclarent la guerre aux Allemands en 1933."
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Le saviez-vous ?
Qu'est-ce que le fascisme ? - Petite leçon rapide sur le fascisme.
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de Cesare Santoro.
Affiche de propagande NS: (" On y voit une série d'animaux saluer Goëring.En haut à droite: un signe disant " Vivisection interdite" ( vivisection verboten ).
(" Les animaux de laboratoires saluant Hermann Göring" )
Ces Nazis Noirs qui soutenaient Hitler.
La liberté d'expression au "pays des Droits de l'Homme", c'est ça.... />
...hélas, d'autres "démocraties" embastillent ses citoyens pour délit d'opinion,voyez cette vidéo >
C'est un proverbe populaire utilisé par Shakespeare: "Henry IV", Première Partie, Acte III, scène 1, page 640 édition La Pléiade, traduction de Victor Hugo: << Dites la vérité, et vous humilierez le diable. >>
Ursula Haverbeck explique pourquoi l'Holocauste est le plus grand et le plus persistant mensonge de l'Histoire.
Ursula Haverbeck, 87 ans, est condamnée à dix mois de prison ferme !
Ursula Haverbeck, surnommée en Allemagne la « mamie nazie »,
a soutenu lors de son procès que « le camp d’Auschwitz n’a pas été un lieu d’extermination».
L'interview Vérité de Robert Faurisson à Méta Tour.
Démocratie dictatoriale :
Wolfgang Fröhlich,
en prison depuis 10 ans
pour délit d’opinion.
Udo Voigt (NPD):
Violations des droits de l'homme en Europe :
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« Débattre avec quelqu'un,c'est prendre le risque de changer d'avis » (Raymond Aron)
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DEVOIR DE MEMOIRE = DRESDE, les 13, 14 et 15 FEVRIER 1945.
" Dresde : Crime contre l'humanité,impuni à ce jour...."
"Souvenons-nous: Dresde 13,14,15 février 1945"
(Sur les raids aériens, lire « L’Incendie » de Jörg Friedrich aux éditions de Fallois. 2004 ).
HELLSTORM - Tempête Infernale:ce film racontel'histoire que les vainqueurs,encore à ce jour, ne veulent pas que vous sachiez...
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" Le professeur Faurisson a eu 85 ans le 25 janvier 2014. Voici la vidéo qu'a composée pour lui un de nos correspondants allemands, que nous félicitons également "
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"David Cole explose le mensonge de la chambre à gaz à Auschwitz".
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Spartacus Kouros Messages : 2078 Date d'inscription : 13/03/2010 Age : 58 Localisation : Les arènes
Sujet: "David Cole explose le mensonge de la chambre à gaz à Auschwitz". Sam 5 Juil - 12:51
"David Cole explose le mensonge de la chambre à gaz à Auschwitz".
C'est un documentaire qui devrait vous faire tomber à la renverse, c'est limpide, c'est presque beau,ce David Cole démonte méthodiquement cette histoire de chambre à gaz à Auschwitz, vous devez absolument voir ce doc, que vous croyez ou pas à l'extermination massive des juifs par le gaz, cette vidéo est une pépite, elle pose de très sérieuses questions, le » grand professeur »Piper Franciszek est assez mal à l'aise et s'embrouille dans ses explications.
Notez que ce professeur admet qu'il y a beaucoup plus de trace de zyklon B dans les baraquements traités pour assainir ces bâtiments que dans les chambres à gaz, il explique cela en disant que le traitement pour assainir les baraquements durait 24H alors que le zyklon B était utilisé pendant 20 mn UNE FOIS par jour pour les gazages d'êtres humains, ce qui est en totale opposition avec les dire des » témoins » et de Höss (chef du camp) qui affirmaient que les chambres à gaz fonctionnaient toute la journée..... Sachez également que suite aux pressions phénoménales à l'encontre de David Cole * et sa famille, il a répudié son travail, mais le bien a été fait, quand vous démontrez que 2+2=4, vous avez beau dire que vous regrettez, c'est trop tard, la démonstration reste la même....
* David Cole est juif
Démasquer ceux qui refusent le débat. Démontrer qui sont les gens de bonne foi et qui sont ceux de mauvaise foi.
Dans cet exposé , V. Reynouard démontre soigneusement, avec tous les exemples nécessaires à l'appui, que le refus du débat affiché par les antirévisionnistes est totalement illégitime.
Son exposé compte trois parties.
1.
V. Reynouard explique pourquoi, en tant qu'ingénieur chimiste, ce qu'il avance sur les "chambres à gaz" doit (devrait) être pris en compte par les historiens. Il démontre ensuite sa capacité à soutenir la contradiction et même à prendre les gardiens de la Mémoire en flagrant délit de tromperie.
2.
Il montre comment son contradicteur "vone nier", qu'il avait invité au débat, s'est lamentablement défaussé alors qu'il paraissait si sûr de lui. "vone nier" prétend que Reynouard l'aurait bloqué parce qu'il aurait trouvé deux arguments imparables contre le révisionnisme. Dans cette vidéo, Reynouard répond à ces deux arguments...
3.
Il démasque un professeur d'Histoire-Géo ("Breizhil2256") qui prétendait justifier son refus de débattre en ne cessant d'invoquer la "méthode historique". Un véritable mantra sous sa plume. Reynouard démontre que cette invocation était destinée à masquer une ignorance du révisionnisme et, donc, une incapacité à répondre sur le fond. Bref: sur l' "Holocauste", qui sont les gens de mauvaise foi ?
Dernière édition par Spartacus le Dim 7 Sep - 20:32, édité 1 fois
Spartacus Kouros Messages : 2078 Date d'inscription : 13/03/2010 Age : 58 Localisation : Les arènes
Sujet: Re: "David Cole explose le mensonge de la chambre à gaz à Auschwitz". Jeu 31 Juil - 23:25
Robert FAURISSON
22 juillet 2014
David Cole est de retour. David Cole, juif américain né en 1968, a autrefois donné dans le révisionnisme mais en amateur et sans grand souci de recherche ou d’exactitude. Ses congénères ont vite fait de lui mener la vie dure et, pour finir, de le traiter en Palestinien. Il a pris peur. Il a signé une rétractation, puis a décidé de changer de nom et d’existence. Parvenant à dissimuler son passé et prenant l’identité de « David Stein », il est allé proposer ses services d’organisateur de réunions et de fiestas à ses amis du Parti républicain, à Los Angeles. Une manière comme une autre à la fois de bien gagner sa vie, de se donner du bon temps et de s'offrir en spectacle. Plus tard, en un troisième temps, il a mis fin à son existence de fêtard professionnel pour réapparaître enfin sous son nom d’origine et pour publier un livre où il prétend révéler aujourd'hui l’ignominie de révisionnistes à la manière de ce Faurisson qui, après l’avoir aimablement accueilli, avait vite fait de le décrire comme un farceur.
Son livre s’intitule :
Republican Party Animal(Le Républicain fêtard). Il fait beau voir, en particulier, comme il y traite le « cinglé dingue négateur Robert Faurisson » (Nutty nutbag denier Robert Faurisson) et l'ensemble des Français : « Ah, ces Français ... on pourrait la sentir, leur hypocrisie si ce n’est que leur répugnance au bain provoque une puanteur encore pire » (p. 57-58) ("Ah, the French... you could smell the hypocrisy if not for the fact that their disdain for bathing produces an even worse stank "[sic pour stink]).
Son cahier photographique nous le montre dans des attitudes d'exhibitionniste, la première photo étant celle d’un David Cole à moitié nu, à nez de clown et se présentant comme « Jewpiter the Clown » (Juifpiter ou Juifpitre le Clown). A l’adresse de ceux qui pourraient me reprocher de l'insulter, j'insiste sur le fait que c’est David Cole en personne qui se qualifie lui-même de « clown ». Des révisionnistes anglophones m’ont demandé ce que j’avais bien pu écrire autrefoi s sur le personnage. En réponse, je viens de leur envoyer trois textes, qu’on trouvera ci-dessous. Seuls le deuxième et le troisième ont été publiés en français. Je me propose de rédiger prochainement en français et en anglais un autre texte qui sera consacré à ce que notre « Jewpiter the Clown » a eu l'aplomb d’écrire sur la prétendue « chambre à gaz » du Struthof. Enfin, s’il m’en reste le temps, je rédigerai un compte rendu de son livre dont j’ai actuellement peine à poursuivre la lecture. Je pourrais m’abstenir de ce pensum mais je crois que je devrai me l’infliger parce qu’il me permettra d’aborder un sujet délicat :
- celui des précautions à prendre quand un inconnu vient proposer ses services à la cause révisionniste.
Première pièce :
- ma lettre du 9 janvier 1993 à Bradley Smith et à David Cole sur la "chambre à gaz" d'Auschwitz-I * Dear friends, In the Smith's Report # 12 (Nov.-Dec. 1992), you present as a sensational piece of news the fact that Franciszek Piper, Director of Research at the Auschwitz State Museum, admitted on camera to David Cole that the "gas chamber" of Auschwitz I was "reconstructed". You add that Robert Faurisson had been denied access to the Museum's archives. Many errors ! I would be pleased if, in the Smith's Report and everywhere else, you could correct all this. It was in 1975 that R. Faurisson succeeded in having a man in charge at the Auschwitz State Museum, Jan Machalek, admit that this so-called "gas chamber" was not "genuine" (in German: echt) but "reconstructed" (in German: rekonstruiert). Consequently, Faurisson asked: "Reconstructed according to the original plan ?" and Machalek replied "yes". Therefore, coming back to Auschwitz in 1976, Faurisson asked Tadeusz Iwaszko, Director of the archives, whether Machalek had been right or not in saying that the so-called "gas chamber" was "reconstructed according to an original plan". And Iwaszko replied "Yes". So Faurisson asked to have access to this plan and, generally speaking, to plans and documents related to the Auschwitz and Birkenau crematories. Iwaszko, reluctantly, handed over to Faurisson, who had presented himself as someone teaching in the Sorbonne (which was true), some volumes, mostly in Polish, of the Rudolf Höss judicial inquiry and trial. Those volumes contained tiny photos. Very quickly Faurisson found some 30 interesting photos. Among them were photos of two different plans of the Auschwitz-I crematory today supposed to have contained a homicidal "gas chamber". It was easy to see what that room had in fact been:
State 1 - From 1940 to 1943, a Leichenhalle (a cold storage room for bodies, with a washroom, etc.);
State 2 - From June 1944 to January 1945, a Luftschützbunker für SS-Revier mit einem Operationsraum (an air-raid shelter for the SS-hospital with an operating room). The Leichenhalle was a dead-end room: there was no door on the S/E side. The Luftschützbunker was a room with an opening on the S/E side: a typical anteroom with two doors and, inside, there were typical partition walls in zig-zag as in any air-raid shelter. Therefore, if the Poles had "reconstructed" anything, it would have been either state 1 or state 2. In fact, they invented a state 3 (a mixture of state 1 and state 2) and they baptized it Gaskammer (gas chamber). They destroyed the partition walls and they kept the anteroom with the two doors. It was absolutely necessary for the lie's sake to make tourists believe that the "victims" entered the "gas chamber" by this anteroom – recently, D. Cole has told me that the people who run the Auschwitz Museum have changed the story but this is of no importance here – instead of from the room with the ovens. There lies the fraud: the Poles have destroyed the partition walls of state 1 and kept the anteroom of state 2! It must be clear that the Auschwitz Museum's ordinary guides are of course lying when they tell the tourists that the room is a genuine "gas chamber" or when, more prudently, they simply lead them to believe that. But those in charge at the Museum have also been lying, since 1975 and not 1992, in claiming that this room is a "reconstructed gas chamber". Be careful: when you say to your readers that F. Piper has admitted that the "gas chamber" is "reconstructed", you in a way corroborate the story of the "gas chamber"! Your readers may think:
"OK, the gas chamber is no longer in its original form but, anyway, here we had, at the time of the Germans, a real gas chamber." I know that the title of your article contains the word "fraud". It reads:
"Director of Research at Auschwitz State Museum Admits on Camera that Auschwitz 'Gas Chamber' is a Fraud!" But this is misleading since F. Piper only said "reconstructed" (implying "honestly reconstructed", which is the contrary of a "fraud"). Secondly, you don't bring forth any evidence of a "fraud", which is a pity since I had shown the evidence of this fraud in 1979. Let me remind you what I have been repeating for thirteen years in my books, articles, audio and video cassettes, conferences and even in court. In 1979, I published the story in the Italian monthly Storia Illustrata (August 1979 issue) where one could for the first time find photos of the two plans of Krema I (p. 28) and of the plan of Krema II in Birkenau (p. 33). I showed all this at our first IHR convention in September 1979 in Los Angeles and then at a conference in New York. I recounted the details of the Machalek story when I testified in court at the first Zündel trial in 1985. I told there how I had managed to make Machalek confess what he actually confessed. And remember the models of Krema I and Krema II at Zündel's house for the second Zündel trial in 1988 ! They were built according to the plans I had managed to find, order and buy a t the Auschwitz Museum: quite an adventure, believe me. Of course, at that time, I could not get Machalek or Iwaszko on camera but I did not need a camera since I had the best possible proof of the fraud (and not an "admission" – a quite false one – of a "reconstruction"). And since 1979, the Auschwitz Museum has never published a denial of what they know I have been saying all over the world. This is another kind of proof. I hope you will understand my position. I feel disappointed to see that what I have discovered and so often made public is sometimes not perceived even by revisionists. As for very recent revisionists, they, of course, as we say in French, have a tendency to break down open doors. I perhaps made the same kind of mistake with A. Butz and D. Felderer. I wish you a Happy New Year. * Texte légèrement amendé par GN, en ligne à
Ibid. En 1992, c’est-à-dire longtemps après la « fin des années 70 », un jeune révisionniste californien d’origine juive, David Cole, se présentera en découvreur des falsifications de la « chambre à gaz » d’Auschwitz-I. Dans une médiocre vidéo, il montrera, d’une part, la version des guides du musée (cette chambre à gaz est authentique) et, d’autre part, la version d’un responsable du musée, Franciszek Piper (cette chambre à gaz est « very similar » [très semblable] à l’originale). Jusque-là rien de nouveau. L’ennui est que D. Cole et ses amis ont ensuite fortement exagéré, pour ne pas dire plus, quand ils sont venus prétendre que F. Piper avait reconnu qu’il y avait eu « fraude ». Effectivement, il y avait eu fraude mais malheureusement D. Cole n’avait pas su le démontrer parce qu’il connaissait mal le dossier révisionniste. Il aurait pu définitivement confondre F. Piper en lui montrant, à la caméra, les plans originaux que j’avais découverts en 1975/1976 et publiés « à la fin des années 70 ». On y voit fort bien que l’actuelle prétendue « chambre à gaz » est la résultante d’un certain nombre de maquillages du lieu auxquels on a procédé après la guerre. Par exemple, les quatre prétendus « orifices de déversement du Zyklon B » pratiqués dans le plafond ont été percés, très grossièrement et très maladroitement , après la guerre :
- les fers à béton ont été brisés par les communistes polonais et laissés en l’état.
Troisième pièce :
un extrait du rappel que j'ai fait, le 8 mai 2000, des trois lettres que j'ai envoyées au Monde en 1978-1979
Enfin, soit dit en passant, ceux qui connaissent bien le dossier du révisionnisme pourront constater qu’il est malheureusement arrivé que de prétendues découvertes annoncées dans les années quatre-vingt-dix, à son de trompe, par d’autres révisionnistes se trouvaient déjà en 1978/1979 dans ces trois écrits de R. Faurisson. On songe ici, en particulier, à une prétendue découverte du jeune révisionniste juif américain David Cole. En 1992, ce dernier allait mener grand tapage à propos du fait qu’une jeune guide polonaise, faisant visiter à des touristes la « chambre à gaz » d’Auschwitz I déclarait celle-ci « as being in its original state » alors que, de son côté, un responsable du musée affirmait que la pièce visitée était « very similar » à la pièce originelle. Or, dans sa lettre publiée le 16 janvier 1979 et, par la suite, diffusée en anglais par un ami de D. Cole, R. Faurisson avait déjà noté cette contradiction (voy. le premier alinéa et la première note de sa lettre). Ajoutons, d’ailleurs, que la pièce n’était pas du tout « very similar » mais constituait une totale supercherie ainsi que finiront par l’admettre un certain nombre d’autorités, y compris, en 1994, la sous-directrice du musée (voy. Eric Conan, « Auschwitz : la mémoire du mal », L’Express, 19 janvier 1995, p. 68
Eric Conan , historien pourtant orthodoxe, écrivait alors en toutes lettres :
« En 1948, lors de la création du musée, le crématoire I fut reconstitué dans un état d'origine supposé.
Tout y est faux :
- les dimensions de la chambre à gaz,
- l’emplacement des portes,
- les ouvertures pour le versement du Zyklon B,
- les fours, rebâtis selon les souvenirs de quelques survivants,
- la hauteur de la cheminée.
A la fin des années 70, Robert Faurisson exploita d’autant mieux ces falsifications que les responsables du musée rechignaient alors à les reconnaître. »).
Un certain nombre de correspondants auront probablement eu vent des propos désobligeants et même orduriers tenus par le juif "révisionniste" David Cole sur les révisionnistes en général et le professeur Faurisson en particulier dans son ouvrage récemment paru aux Etats-Unis: "Republican Party Animal". Nous n'entrerons pas dans les détails, qui n'en valent pas la peine, et nous contenterons de diffuser la lettre que lui a adressée le 23 juillet Fred Leuchter, auteur du "Rapport Leuchter", cet homme qui est pourtant la bonté même mais qui n'a pas supporté les attaques de David Cole.
Voici sa lettre (traduction TRES rapide):
< START>
Je tiens en outre à répondre à David Cole: 23 juillet 2014
" Je n'aime pas voir de disputes entre révisionnistes et bien souvent je me retrouve au milieu et essaie de servir de médiateur. Malheureusement, cette fois-ci cela n'a pas été possible parce que tu as décidé de mettre sur la place publique tes calomnies malveillantes contre Faurisson et contre le reste de la communauté révisionniste. Ton comportement dans cette affaire est répréhensible. Tu arrives dans le Révisionnisme comme les carabiniers et tu as réussi à obtenir de Piper qu'il reconnaisse la tricherie des Russes [le fait que la ch. à g. d'Auschwitz-I était une reconstruction]:
- tous les révisionnistes le savaient avant que tu commences. Tu prétends avoir été un expert à Auschwitz en matière de drains de canalisations. Tu mens quand tu dis que tu as été le premier à les avoirreconnus. J'en ai parlé dans mes Rapports (si tu les avais lus tu le saurais) et je n'étais pas le premier. Tu t'es accroché aux basques de plusieurs Révisionnistes compétents avec tes plagiats. Tu n'es pas un Révisionniste! Tu n'en as jamais été un. Tu es un voleur égocentrique qui foules aux pieds la réputation de beaucoup de braves gens. Quand je t'ai connu tu étais un blanc bec. Tu l'es encore. Moi, comme beaucoup d'autres Révisionnistes, je t'ai accepté et me suis lié d'amitié avec toi. C'était une erreur. Je déclare publiquement que tu es un imposteur. Je suis désolé d'en être arrivé là. Bon vent, Mr Do Nothing [Ne Fait Rien?]! Adieu ! Je ne dirai rien de plus !
< END>
Il ne s'agit pas ici de l'intervention bien connue du Pr Faurisson du 17 décembre 1980 à Europe 1 où, sur l'insistance du responsable des éditions de La Vieille TaupePierre Guillaume, le journaliste juif Ivan Levaï avait réellement invité le Professeur.
L'affaire, cette fois, se passait en 1990.
Tout récemment, le 23 juillet 2014, le site "Egalité et Réconciliation" d'Alain Soral a eu la bonne idée de diffuser, sous forme d'une vidéo de 12 minutes, une émission où, le 17 mai 1990, c'est-à-dire deux mois avant la loi Gayssot, le professeur Faurisson avait pu, très exceptionnellement, intervenir à la radio Europe I.
Il ne faut surtout pas croire que le Professeur y avait été invité:
- cette intervention avait été rendue possible à la suite d'un coup de fil extrêmement habile d'une personne que nous connaissons mais qui ne peut être nommée ici...
Mise en ligne, donc, le 23 juillet 2014, cette vidéo avait, deux jours plus tard, été vue 35.727 fois et avait provoqué 83 commentaires.
"2 ou 3 émissions comme celle-là et l'affaire était quasiment pliée..."
Ahmed Rami et Henri Roques :
Le Congrès du Rapport Leuchter à Munich en Allemagne.
Ahmed Rami et Henri Roques sont les deux orateurs qui ont prononcé leurs discours en français au cours de cette conférence révisionnistes (Le Congrès du Rapport Leuchter à Munchen en Allemagne).
Spartacus Kouros Messages : 2078 Date d'inscription : 13/03/2010 Age : 58 Localisation : Les arènes
Sujet: Re: "David Cole explose le mensonge de la chambre à gaz à Auschwitz". Lun 1 Déc - 12:31
Ceci est juste une vidéo de sauvegarde prise sur le compte de la chaîne de Meta TV, au cas où elle devrait "disparaître". Merci et bravo à eux pour nous offrir 2h d'entretien avec Monsieur Robert Faurisson, un grand homme qui mérite le plus grand des respects, notre reconnaissance à tous.
Néera Kouros Messages : 416 Date d'inscription : 15/03/2010 Age : 44 Localisation : Elis
Sujet: Re: "David Cole explose le mensonge de la chambre à gaz à Auschwitz". Jeu 11 Déc - 20:53
Le site Olodogma écrit au Pape.
Nous recevons ce jour une traduction, faite par nos amis italiens du site Olodogma, de la lettre que ces derniers ont adressée le 17 juillet au pape François à la suite de l'interview que ce Pape avait donnée, le 13 juin, au journal espagnol "La Vanguardia"; dans cette interview le Pape avait estimé qu'il fallait être "fou" pour contester l'Holocauste (voy. n/message du 13 juin 2014 intitulé "Le Pape se dit hostile aux 'négationnistes' ").
Voici donc cette lettre, qui manque peut-être un peu de courtoisie...:
Holocauste juif: lettre ouverte à Bergoglio Jorge Maria pape de l'Etat Cité du Vatican "Père, pardonnez-leur car ils ne savent pas ce qu'ils font" (1)
Olodogma envoie cette lettre ouverte à Monsieur Bergoglio après que ce dernier ait traité de "fou" quiconque nie la crédibilité de la version standard de l'ainsi dit holocauste juif. Il existe une possibilité alternative éloignée de celle qui apparaît à tous : Bergoglio pourrait avoir qualifié de "fou" quiconque ose défier TOUT le monde en niant "l'indéniable" holocauste !
Une personne (une poignée dans le monde) contre 6-7 milliards.
Un voué au "suicide" de toute façon ! Dans ce cas, cette lettre serait inutile.
Olodogma doute quant au fait que cette hypothèse soit "juste".
Monsieur Bergoglio,
Vous avez déclaré dans votre interview pour "La Vanguardia" :
"même chez nous, quiconque nie l'holocauste est fou" (2).
Une telle affirmation est, assurément, motivée par vos lectures et études approfondies des travaux de recherche effectués par des gens de différentes nationalités, credo religieux (lorsqu'il y en a un), credo politique (lorsqu'il y en a un), extraction sociale, âge, sur le soi-disant holocauste juif.
Olodogma ne vous demande quels livres révisionnistes vous avez étudiés, cela n'importe pas. L'affirmation est drastique, elle présume l'analyse d'une ample documentation qui vous a amené à une stricte synthèse. Les certitudes, fruits de ces lectures, et pourquoi pas par documents en possession des archives vaticanes, l'ont confortée, autorisée, à estampiller de "fou" le révisionniste-négationniste.
Vous êtes donc un qui sait !
1- Vous savez que les Allemands exterminaient les juifs dans des chambres à vapeur aqueuse,
2- Vous savez que les Allemands utilisaient la graisse des juifs pour en faire du savon,
3- Vous savez que Adolf Hitler a ordonné l'extermination générale des juifs d'Europe du fait d'être juifs,
4- Vous savez qu'à Auschwitz furent tué 4.000.000 de personnes,
5- Vous savez qu'à Belzec, les juifs étaient exterminés dans une sorte de friteuse, ou plutôt dans une bouilloire.
Toutes des affirmations et "preuves" acceptées par le tribunal de Nuremberg !
Indiscutables.
On a démontré que toutes les "preuves" sont fausses !
Aujourd'hui personne, officiellement, croit encore à ces "preuves" ! Olodogma s'arrête ici mais peut continuer quelque temps encore. Maintenant Vous, bon chrétien, qui entretenez d'excellents rapports avec les juifs du ghetto de Palestine, êtes la personne la plus juste, cultivée, préparée, documentée sur l'holocauste juif qui cherche fiévreusement à écrire dans la direction sioniste et ses dépendances un texte de loi qui prévoit la prison pour les "fous" révisionnistes-négationnistes... assassins de la mémoire ! Ils ont besoin d'une loi pour arrêter le "négationnisme" insidieux sur internet ! [Rappelons qu'il n'existe pas encore de loi antirévisionniste en Italie mais que la communauté juive de ce pays s'active pour remédier à cette carence - Bocage] Les diverses tentatives d'écrits réalisés échouent à cause de l'inadéquation manifeste des textes de loi proposés. Vous êtes la seule personne au monde qui peut aider l'¹exterminationnisme. Aidez-les !! Pour vous, ça doit être un jeu d'enfant de mettre par écrit ce qui vous autorise à traiter le révisionniste-négationniste de "fou". (Clairement pour la rédaction du texte, vous pouvez toujours demander à votre chef qui "a déjà donné" illo tempore les textes de loi ! Si nous ne nous souvenons pas mal, il les grava sur deux massifs de pierre de 50x50x25 cm chacun, d'un poids total d'environ 312,5 kg que le bon Moïse, à peine reçus, aurait ramenés "à mains nues" en descendant de la montagne !) Les amis se reconnaissent dans les moments d'épreuve, Vous ne ferez pas défaut, Olodogma en est certain !
Spartacus Kouros Messages : 2078 Date d'inscription : 13/03/2010 Age : 58 Localisation : Les arènes
Sujet: Re: "David Cole explose le mensonge de la chambre à gaz à Auschwitz". Dim 11 Jan - 13:12
Léon Degrelle parle des chambres...
Une vidéo de deux heures qui est une interview donnée, apparemment en 1990, par Léon Degrelle à un journaliste espagnol, où le chef du rexisme ne mâche pas ses mots à propos des chambres à gaz:
Spartacus Kouros Messages : 2078 Date d'inscription : 13/03/2010 Age : 58 Localisation : Les arènes
Sujet: Re: "David Cole explose le mensonge de la chambre à gaz à Auschwitz". Sam 7 Fév - 13:12
Vincent Reynouard répond à l'Union des Étudiants juifs de France (UEJF) qui, le 27 janvier dernier, a lancé une pétition pour "libérer internet du négationnisme". Il démontre que cette pétition trahit l'impuissance des historiens à répondre aux arguments des révisionnistes.
Héraclius Kouros Messages : 722 Date d'inscription : 10/03/2010 Age : 58 Localisation : Athèna
Sujet: Re: "David Cole explose le mensonge de la chambre à gaz à Auschwitz". Dim 28 Fév - 11:13
Les falsifications d’Auschwitz d’après un dossier de "L’Express".
« Auschwitz : la mémoire du mal ».
C’est sous ce titre que L’Express présente un dossier de vingt pages sur le camp de concentration d’Auschwitz-Birkenau [1]. Éric Conan est le principal responsable de ce dossier qui, tout en reprenant la thèse habituelle de l’extermination des juifs, tend à donner raison aux révisionnistes sur deux points principaux : - on a beaucoup exagéré le nombre des morts et, sur le chapitre de la « chambre à gaz » qu’on visite à Auschwitz-I, on a eu recours aux « falsifications », au « travestissement » et à « l’artifice ».
Sur le premier point, le public pourra prendre connaissance du nouveau nombre des morts, considérablement révisé à la baisse, mais sans qu’on lui révèle quel était l’ancien nombre (4 millions) et sans qu’on lui dise que ce nouveau nombre (1,5 million) est, lui aussi, contestable car il résulte non pas d’une enquête historique proprement dite mais d’une décision de la présidence de la République polonaise !
Sur le second point, le public continuera d’être trompé : « Pour l’instant, on laisse [la chambre à gaz] en l’état et on ne précise rien au visiteur. C’est trop compliqué. On verra plus tard », a déclaré Krystyna Oleksy, l’une des responsables du musée national d’Auschwitz.
Colligeons, page après page, les extraits révisionnistes de ce dossier exterminationniste. Les soulignements sont de notre fait. Nous nous limitons à l’article même d’Éric Conan.
– Pages 54-55, légende de la photographie : «Nous ne pouvons pas prendre le risque de susciter de nouvelles accusations de falsification.»
– Page 57 :
« des bâtiments à l’authenticité déjà bien malmenée [...]. Quelle part de ces vestiges date encore de 1945 ? “Au moins 60 %”, précise Witold Smrek [conservateur général], agacé par les critiques qui s’élèvent à présent contre quarante années de préservation-construction d’Auschwitz. [...] Toutes ces précautions , ce souci de bien faire, de ne pas être taxé de falsification, illustrent les efforts récents des autorités polonaises pour délivrer l’ancien camp d’extermination de quarante ans d’une mémoire communiste qui avait modelé le site jusqu’à en nier la signification. » [Commentaire : les communistes sont ici accusés d’avoir été des négateurs ou des négationnistes.]
– Page 58 :
« La morgue du crématoire servit à cet usage [de gazage homicide] dans les premiers mois de 1942 » [Commentaire : É. Conan cherche à minimiser la durée d’activité de cette embarrassante chambre à gaz qui, selon la version officielle, aurait fonctionné de l’automne 1941 jusqu’à la fin de l’année 1942].
– Page 60 : Stefan Wilkanowicz [vice-président du Comité international du Musée d’État d’Auschwitz] : « Les plus grosses énormités ont été rectifiées, mais les principales discussions n’en finissent pas et sont loin d’être tranchées. Je peux même dire que des débats essentiels, douloureux, parfois imprévus, ne font que commencer ! »
« Le Comité international a tout de même été contraint, il y a seulement quelques semaines, de mettre un terme à une controverse qui durait depuis cinq ans. Il vient de remplacer, pour les prochaines cérémonies du cinquantième anniversaire, la plaque commémorative de Birkenau (en vingt langues) qu’il avait fait immédiatement déposer en 1990. Elle était le signe le plus visible et le plus gênant de l’emprise communiste sur le site.
On pouvait, en effet, y lire : “Ici, de 1940 à 1945, quatre millions d’hommes, de femmes et d’enfants ont été torturés et assassinés par les meurtriers hitlériens”. Non seulement le chiffre était grossièrement erroné, mais le texte ne faisait aucune allusion à l’identité juive de 90 % des victimes. [...] » « Pendant des dizaines d’années, cette négation du judéocide fut l’une des constantes de l’approche stalinienne. »
[Commentaire : Pendant quarante ans, les grands de ce monde, y compris Valéry Giscard d’Estaing et le pape Jean-Paul II, ont cautionné ce chiffre mensonger de quatre millions en venant s’incliner devant les dix-neuf , et non les vingt , plaques commémoratives. Les communistes sont, ici, à nouveau accusés d’avoir « nié » le « génocide des juifs ». En réalité, ils ont bel et bien mentionné les juifs parmi les victimes, allant jusqu’à leur consacrer un pavillon particulier dans le musée. Selon l’usage, É. Conan accuse les communistes pour décharger les juifs.]
– Page 62 :
[Commentaire : É. Conan explique que, pendant cinq ans, on s’est disputé sur le nouveau chiffre à inscrire sur le monument de Birkenau. Il dit :] «Selon les évaluations les plus sérieuses, celles de Raul Hilberg, Franciszek Piper et Jean-Claude Pressac , de 800.000 à 1,2 million de personnes ont été assassinées à Auschwitz, dont de 650.000 à 1 million de juifs.» [Commentaire : ces totaux sont ceux des morts et non des assassinés. En 1993, J.-C. Pressac évaluait le nombre des morts à 775.000, chiffre arrondi à 800.000 [2], mais, l’année suivante, il révisait ces chiffres à la baisse : de 630.000 à 710.000 morts et, parmi ceux-ci, de 470.000 à 550.000 juifs gazés [3]. F. Piper, lui, évalue le nombre des morts à un chiffre compris entre 1,1 et 1,5 million [4]. Par conséquent, les estimations du nombre des morts vont de 630.000 à 1,5 million, ce qui donne une idée du caractère spéculatif de ces estimations.]
« La discussion fut tendue. La solution logique consistait à reprendre l’estimation, 1,1 million de tués, dont 960.000 juifs , établie par le département d’histoire du musée et issue de dix ans de travaux de Franciszek Piper. Ou à n’indiquer aucun chiffre, comme le proposait le musée. Serge Klarsfeld suggérait de ne pas mentionner de chiffre global, inconnu [...]. Stefan Wilkanowicz, en bon conciliateur, avait proposé la formule : “Plus d’un million”. Faute d’accord au sein du comité, l’affaire fut finalement tranchée à la chancellerie de la présidence de la République : 1,5 million”. Il n’y eut, en revanche, aucune discussion sur la nécessité de combler l’“oubli” à propos de l’identité juive de la majorité des victimes.
Le texte définitif est explicite : “Que ce lieu où les nazis ont assassiné un million et demi d’hommes, de femmes et d’enfants, en majorité des juifs de divers pays d’Europe, soit à jamais pour l’humanité un cri de désespoir et un avertissement. »
– Page 68 :
« Autre sujet délicat : que faire des falsifications léguées par la gestion communiste ? Dans les années cinquante et soixante, plusieurs bâtiments, qui avaient disparu ou changé d’affectation, furent reconstruits, avec de grosses erreurs, et présentés comme authentiques. Certains, trop “neufs”, ont été fermés au public. Sans parler de chambres à gaz d’épouillage présentées parfois comme des chambres à gaz homicides. Ces aberrations ont beaucoup servi aux négationnistes qui en ont tiré l’essentiel de leurs affabulations. L’exemple du crématoire-I, le seul d’Auschwitz-I, est significatif. Dans sa morgue fut installée la première chambre à gaz.
Elle fonctionna peu de temps, au début de 1942 :
- l’isolement de la zone, qu’impliquaient les gazages, perturbait l’activité du camp. Il fut donc décidé, à la fin d’avril 1942, de transférer ces gazages mortels à Birkenau, où ils furent pratiqués, sur des victimes essentiellement juives, à une échelle industrielle [Commentaire : É. Conan fait du roman]. Le crématoire-I fut, par la suite, transformé en abri antiaérien, avec salle d’opération. En 1948, lors de la création du musée, le crématoire-I fut reconstitué dans un état d’origine supposé.
Tout y est faux :
- les dimensions de la chambre à gaz, l’emplacement des portes, les ouvertures pour le versement du Zyklon B, les fours, rebâtis selon les souvenirs de quelques survivants, la hauteur de la cheminée. A la fin des années soixante-dix, Robert Faurisson exploita d’autant mieux ces falsifications que les responsables du musée rechignaient alors à les reconnaître.
Un négationniste américain vient de tourner un film vidéo dans la chambre à gaz (toujours présentée comme authentique) :
- on l’y voit interpeller les visiteurs avec ses «révélations». Jean-Claude Pressac, l’un des premiers à établir exactement l’histoire de cette chambre a gaz et de ses modifications pendant et après la guerre, propose de la restaurer dans son état de 1942, en se fondant sur des plans allemands qu’il vient de retrouver dans les archives soviétiques. [Commentaire : FAUX. R. Faurisson avait trouvé ces plans en 1976 et les avait publiés en 1979 ; ces plans et les ruines actuelles, très parlantes, prouvent que les révisionnistes avaient raison !]
D’autres, comme Théo Klein [ancien président du Conseil représentatif des institutions juives de France], préfèrent la laisser en l’état, mais en expliquant au public le travestissement : “l’Histoire est ce qu’elle est ; il suffit de la dire, même lorsqu’elle n’est pas simple, plutôt que de rajouter de l’artifice à l’artifice.”
Krystyna Oleksy, dont le bureau directorial, qui occupe l’ancien hôpital des SS, donne directement sur le crématoire-I, ne s’y résout pas : “Pour l’instant, on la laisse en l’état et on ne précise rien aux visiteurs. C’est trop compliqué. On verra plus tard.” »
[Commentaire : autrement dit, on a menti, on ment, on mentira.]
- Conclusion -
En quoi peut-on reprocher au Pr Faurisson d’avoir dénoncé « à la fin des années soixante-dix» tant de falsifications ?
Pourquoi l’a-t-on alors traité de falsificateur ? Pourquoi, aujourd’hui encore, le traite-t-on de falsificateur et pourquoi continue-t-on de me poursuivre devant les tribunaux, où trois procès sont encore pendants pour «contestation» de la vérité historique officielle ?
Le dossier de L’Express constitue une révision de l’histoire mensongère d’Auschwitz. Bien d’autres révisions de cette histoire sont à venir. S. Wilkanowicz a raison de déclarer que « des débats essentiels, douloureux, parfois imprévus, ne font que commencer». Il faudra progressivement admettre qu’il n’a pas existé à Auschwitz la moindre chambre à gaz homicide et que le total des morts, surtout à cause des épidémies, a dû s’élever à 150.000 personnes.
En attendant, les innombrables visiteurs du crématoire I pourront, d’ores et déjà, soumettre aux guides la déclaration de Mme Oleksy et exiger des explications sur l’imposture de la « chambre à gaz ».
19 janvier 1995
Sources :
[1] L'Express, semaine du 19 au 25 janvier 1995, p. 54-73.
[2] J.-C. Pressac, Les Crématoires d'Auschwitz..., p. 148.
[3] J.-C. Pressac, Die Krematorien von Auschwitz..., p. 202.
[4] Y. Gutman and M. Berenbaum (editors), Anatomy of the Auschwitz Death Camp, p. 71-72.
Spartacus Kouros Messages : 2078 Date d'inscription : 13/03/2010 Age : 58 Localisation : Les arènes
Sujet: Re: "David Cole explose le mensonge de la chambre à gaz à Auschwitz". Mar 15 Mar - 10:36
Thursday, March 10, 2016 Serge Klarsfeld contre les outrances de son propre camp.
A mesure que le révisionnisme marque des points sur le plan historique et scientifique, le tamtam holocaustique, lui, ne fait que croître cependant que la répression judiciaire contre les révisionnistes, elle, s’aggrave à proportion. Des organisations ou des individualités juives ou sionistes en appellent plus que jamais à la chasse, tout à la fois, aux « négationnistes » et aux « nazis » ; elles le font sans le moindre scrupule et au mépris des droits de l’homme les plus élémentaires. Parmi ces droits figuraient, au moins en principe, le droit au doute et à la recherche et le droit de ne pouvoir être condamné en justice que sur le fondement de preuves. Ces temps-là sont révolus. Aujourd’hui une loi spécifique, la loi Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990, également appelée en latin « la loi Faurisson », interdit le droit au doute et à la recherche en matière de « Shoah » et il devient possible, en ce qui concerne les anciens « nazis », même s’ils ont été déjà jugés et condamnés après la guerre, de les juger à nouveau soixante-dix ans plus tard au mépris de l’adage « ne bis in idem » et de les condamner, cette fois-ci, sans preuves et sans témoins.