Un document scientifique de plus qui, à lui seul,
met à mal le mythe des chambres à gaz hitlériennes.
Depuis le début des années 1960, d’abord dans mes recherches, puis dans mes articles,
études ou livres j’ai abondamment traité des raisons scientifiques pour lesquelles
les prétendues chambres à gaz hitlériennes n’ont pas existé ni même pu exister.
Je ne rappellerai pas ces raisons.
Pour une fois, je me contenterai de ne présenter ici qu’un document et un seul à l’appui
de la conclusion de mes recherches.
Il s’agit d’une fiche toxicologique de l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS)
pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles
(30, rue Olivier-Noyer, 75680, Paris Cedex, 01 40 44 30 00 ;
site internet :
www.inrs.fr courriel :
info@inrs.fr Forte de sept pages, cette fiche, qui a été mise à jour en 2011, porte le numéro
d’une collection de 312 fiches à ce jour.
« Cyanure d’hydrogène » désigne le gaz (HCN) tandis que son synonyme,
« acide cyanhydrique », est utilisé pour la solution.
On se souviendra que le pesticide appelé Zyklon B, inventé dans les années 1920
et censé avoir été employé pour tuer en masse des détenus à Auschwitz et ailleurs,
est de l’acide cyanhydrique sur base poreuse inerte (par exemple, de la terre d’infusoires).
Pour sa production par la Société DEGESCH et pour sa description ainsi que sur les conditions
(drastiques) d’emploi, on se reportera aux documents NI-9098 et NI-9912,
tels que reproduits dans mon
Mémoire en défense contre ceux qui m’accusent
de falsifier l’histoire, Paris,
La Vieille Taupe, 1980, XXIV-280 p. ; p. 161-178.
« Numéro CAS » désigne la référence américaine du gaz (Chemical Abstract Service)
tandis que « Numéro CE » désigne la référence de la Communauté européenne.
Suite : http://robertfaurisson.blogspot.it/2016/01/un-document-scientifique-de-plus-qui.html