- BRÈVES RÉVISIONNISTES - -15 octobre 2015-
Les migrants ? Non. L'Holocauste ? Oui.Au moment où la crise des "migrants" secoue l'Europe,
les députés européens ont d'autres préoccupations en tête :
- en effet, les parlementaires de 18 pays viennent d'écrire au président Martin Schulz
pour lui signifier que les membres européens du Parlement
"portent une responsabilité morale particulière dans le processus de restitution
des biens injustement pris [aux juifs] dans l'Holocauste, doivent se préoccuper
du bien-être social des survivants âgés et veiller à entretenir durablement
le souvenir de l'Holocauste"...Pour les parlementaires de ces 18 pays, l'Union européenne doit mettre davantage
l'accent sur ces questions de restitution:
"Mes collègues et moi sommes fiers de diriger cette coalition pour veiller
à ce que le Parlement européen se concentre sur la résolution des problèmes
touchant les victimes de l'Holocauste sans plus tarder",
a déclaré
Gunnar Hökmark (Suède),
président de l'
Alliance européenne pour les survivants de l'Holocauste.
"Nous attendons avec impatience que le Parlement européen prête
une plus grande attention à cette question."
Les députés ont également demandé à Schulz de nommer un vice-président
chargé de traiter des questions touchant les survivants de l'Holocauste.
http://www.jpost.com/Diaspora/European-lawmakers-call-for-Holocaust-restitution-424951- 16 octobre 2015-
R.Faurisson et une QPC sur le Tribunal de Nuremberg.Dans l'hebdomadaire "
Rivarol" de cette semaine
(chez votre marchand de journaux !), n° 3206 du 15 octobre,
est publiée une interview de 2 pleines pages donnée au journal par Vincent Reynouard.
Le sujet de la fameuse QPC est évidemment abordé et il y est dit que 5 QPC
avaient déjà été soumises qui toutes avaient été refusées pour "
manque de sérieux".
Or il est dit dans cette interview que toutes ces QPC s'étaient "
appuyées systématiquement
sur le grief de l'atteinte à la liberté d'expression".
Nous avions bien remarqué là une erreur car il y a beau temps que les révisionnistes
savent que l'argument de la liberté d'expression ne s'applique pas à eux !
Or voici ce que le Pr Faurisson a à dire à ce sujet et qu'il précise dans une lettre
du 15 octobre adressée à un avocat:
< START>
J'ai pris connaissance de l'interview que Vincent Reynouard vient d'accorder
à Jérôme Bourbon ("
Rivarol", 15 octobre 2015, p. 4-5). A la page 5 C,
notre ami Reynouard, évoquant les cinq QPC qui ont précédé la-sienne-et-vôtre,
déclare que ces dernières "
s'appuyaient sur le viol de la liberté d'expression,
argument rabâché et systématiquement balayé par la Justice".
Pour ma part, j'espère bien qu'aucun avocat ne m'a prêté un tel type de défense,
que je trouve depuis toujours d'une impardonnable nigauderie.
Mes arguments, tels que je les ai fournis à mes avocats, étaient techniques et précis
sans philosophaillerie ni moraline.
Il suffit d'une bonne analyse chirurgicale de ce qu'a été ce procès de Nuremberg
sur lequel s'appuie la loi Gayssot.
- Ce procès a bien "
constitué une continuation de l'effort de guerre des Nations unies"
(le procureur américain Jackson, véritable organisateur de cette mascarade hollywoodienne).
Ce procès n'a pas été un procès mais un acte de guerre d'une durée de dix mois
dans les années 1945-1946.
- Bien des gens s'imaginent que la loi Gayssot interdit de contester le jugement de Nuremberg.
Erreur !
Elle interdit de contester seulement ce qui, dans ce jugement,
porte sur les "
crimes contre l'humanité", c'est-à-dire environ ô surprise
2% des 187 pages de la version française.
Les Français ont le droit de dire des 98% restants qu'ils ne valent RIEN.
En revanche les 2% restants, eux, valent, paraît-il, de l'or et pour les siècles des siècles.
- Aucun appel n'avait été autorisé.
- On se passait des "
règles techniques relatives à l'administration des preuves".
On avait érigé les on-dit en preuves :
"
Le Tribunal n'exigera pas que soit rapportée la preuve de faits de notoriété publique
mais les tiendra pour acquis".
- On donnait automatiquement valeur de preuves authentiques à tous les documents
et rapports officiels des Gouvernements des Nations unies, y compris ceux dressés
par les Commissions établies dans divers pays alliés pour les enquêtes"
sur les crimes de guerre commis par les vaincus.
Parmi ces crimes figuraient celui de Katyn allégrement attribué aux Allemands
et les gazages en chambres à gaz homicides ; seuls 520 mots,
extrêmement vagues, sont consacrés à ces magiques chambres à gaz.
Ce qui constitue 1/160e du texte du jugement ou 0, 62%.Autrement dit 99, 38% du jugement ne portent pas sur l'arme spécifique
de destruction massive de Hitler.
- Pas une seule expertise médico-légale n'a été ordonnée si bien qu'on ne peut
se représenter ni la scène de crime, ni l'arme du crime.
La nature du gaz n'est pas même indiquée.
Que vaut un tribunal, que valent des juges
1) dont on peut à la fois dire librement qu'ils ont entièrement failli dans 98%
de leurs conclusions
et
2) dont on doit admettre sous peine de prison et/ou d'amende que,
dans 2% de leurs autres conclusions, ils ont atteint à une incontestable perfection ?
RF< END>
- 17 octobre 2015 -
Hourrah ! Gerd Ittner est libéré !Incroyable mais vrai :
- notre ami révisionniste allemand Gerd Ittner vient d'être libéré précisément ce soir !
Nous recevions à 23h 21 le message suivant (traduction très rapide):
< START>
Espérant que j'ai choisi pour vous la bonne adresse email, ceci est le premier courriel
que j'écris après trois ans et demi de prison pour vous dire que je viens d'être libéré
de prison aujourd'hui 16 octobre !
C'est exactement un an jour pour jour après mon arrestation.
Cette libération est arrivée à ma grande surprise.
Le procès va se poursuivre mais le mandat d'arrêt a été annulé [ou: est arrivé à expiration].
Le sentiment que j'éprouve est difficile à décrire, après ces trois années et demie de prison...
A très bientôt
< END>
-18 octobre 2015 -
Polonais c/ juifs pendant la 2e GM (2)Jeudi 15 mai des procureurs polonais ont ouvert une enquête en diffamation
contre un historien américain, professeur à l'Université de Princeton et d'origine polonaise,
dont nous avons déjà parlé,
Jan T. Gross, qui prétend que les Polonais ont tué
plus de juifs que les Allemands pendant la Deuxième Guerre mondiale.
En fait c'est le mois dernier que le journal allemand "
Die Welt" a publié un article
dans lequel cet historien tente d'expliquer la méfiance de la Pologne envers les migrants
syriens déferlant sur l'Europe en la rapprochant de l'antisémitisme dont les Polonais
avaient fait preuve pendant la guerre.
"Les Polonais, par exemple, étaient en effet à juste titre fiers de la résistance
de leur pays aux nazis, mais en réalité ils ont tué plus de juifs que les Allemands
pendant la guerre", écrivait cet historien, juif, de 68 ans.
Jan Gross est l'auteur de divers ouvrages sur le même thème, dont "
Neighbors" [Voisins],
relatant entre autres le massacre ayant eu lieu en 1941 dans la minuscule ville de Jedwabne:
- la quasi-totalité des juifs avaient été tués en un jour;
près de 1.600 personnes avaient été poignardées, matraquées et brûlées vives
dans une grange.
L'historien avait apporté la preuve que c'étaient les Polonais qui avaient commis ce crime
contre leurs voisins, et non les Nazis qui, dans l'histoire officielle polonaise,
avaient été considérés comme responsables (voy. nos messages du 29/06/2012
intitulé "
Polonais contre juifs pendant la 2e GM" et du 31/03/2001 intitulé
"
Pogrom de Jedwabne").
Des enquêtes ont déjà été ouvertes par le passé contre cet historien mais aucune n'a abouti.
http://news.yahoo.com/warsaw-acts-over-claim-poles-killed-more-jews-155700210.html- 18 octobre 2015 -
Rectification de la phrase du Pr Gross sur les Polonais.A propos de notre bulletin d'hier intitulé "
Polonais c/ juifs pendant la 2e GM (2)",
nous avons reçu de Jürgen Graf ainsi que d'un autre correspondant allemand
un message nous signalant que, "
comme d'autres commentateurs",
nous avions mal interprété la phrase de l'historien Gross:
"
Poles killed more Jews than Germans".
En effet, nous avions traduit "
Les Polonais ont tué plus de juifs que les Allemands";
or il fallait écrire "
Les Polonais ont tué plus de juifs que d'Allemands" pendant la guerre...
Ce qui n'est pas la même chose.
La version allemande ne laisse, elle, planer aucun doute:
"
die Polen haben mehr Juden als Deutsche getötet".
Donc répétons-le:
Les Polonais ont tué plus de juifs que d'Allemands !- 18 octobre 2015 -
Frank Brunner, le lobby juif et Guillaume Tell.En dépit des persécutions qu'il subit de la part de la communauté juive de son pays,
le Suisse Frank Brunner continue de tenir avec talent un site qui mérite d'être consulté souvent:
www.interet-general.infoRécemment, reprenant sur son site un message de Bocage relatif au projet de loi
antirévisionniste italien, il le faisait suivre d'un commentaire qui nous a paru amusant
et qui souligne le caractère délirant de la persécution des révisionnistes.
Voici ce commentaire:
http://www.interet-general.info/spip.php?article22304< START>
On relèvera que la plupart des politiciens ne connaissent strictement rien
aux travaux des révisionnistes et se contentent de se comporter comme les marionnettes
du lobby juif en ânonnant une campagne de calomnies selon laquelle les révisionnistes
seraient des faussaires de l'Histoire (alors même que, contrairement au shoah business,
ils prouvent tout ce qu'ils affirment), des antisémites (alors même que bon nombre
de révisionnistes sont juifs), des nazis (alors même qu¹on trouve des révisionnistes
de toutes tendances politiques), etc.
Cette campagne de calomnies est d'ailleurs relayée avec complaisance
par les médias mainstream, lesquels se gardent bien de faire connaître au public
les arguments factuels des révisionnistes.
Pour mesurer le caractère délirant de la persécution des révisionnistes,
on peut procéder par analogie.
Supposons que les Suisses aient été endoctrinés à croire que l'histoire
de Guillaume Tell est authentique.
Dans les écoles, les universités, les médias, partout on affirmerait que Guillaume Tell
est un personnage historique et aucun Suisse ne douterait de cela.
Dans ces circonstances, un historien décide d'écrire une énième "
biographie"
de Guillaume Tell.
Pour ne pas simplement compiler ce que d'autres ont écrit avant lui, il se rend en Autriche
afin d'examiner les archives des Habsbourg, dont la famille régnait à l'époque de l'histoire
de Guillaume Tell.
Notre historien espère découvrir quelque anecdote inédite sur le personnage.
Or, à sa grande surprise, malgré toutes ses recherches, il constate qu'on ne trouve nulle part,
dans les documents d'époque, la moindre mention d'un Guillaume Tell, ni d'un bailli Gessler,
ni d'un chapeau exhibé au sommet d'un mât, ni d'une scène de tir à l'arbalète
dans une pomme posée sur la tête d'un enfant.
Rien ne permet de soutenir objectivement la véracité de l'histoire de Guillaume Tell.
Que fait notre historien ?
Il publie ses découvertes en démontrant que l'histoire de Guillaume Tell n'est qu'une légende.
C'est-à-dire qu'il fait oeuvre de révisionniste.
Imagine-t-on les Suisses, au lieu d'admettre l'évidence, adopter une attitude de déni,
exiger la censure du livre de l'historien, le chasser de l'université, le calomnier, ruiner sa vie,
le persécuter, puis remuer ciel et terre en dépensant une fortune pour corrompre
des politiciens dans le monde entier afin de faire voter partout des lois criminalisant
la contestation de la véracité de l'histoire de Guillaume Tell, en sorte que cela devienne
de la "
discrimination", une "
incitation à la haine des Suisses" ?
De toute évidence, un tel comportement ne viendrait même pas à l'esprit des Suisses.
Il est clair que le comportement du lobby juif à l'encontre des révisionnistes
est un comportement de psychopathes et de fascistes qui prétendent imposer leurs mensonges
comme un dogme religieux qu'il n¹est permis ni de contester, ni même de mettre en doute
sous peine de prison.
Le plus remarquable est que les juifs parviennent à faire admettre,
par l'intermédiaire des médias, des politiciens et des magistrats à leur botte,
que leur comportement de psychopathes est "
normal",
tandis que le fait de s'y opposer serait scandaleux, raciste, incitatif à la haine, etc.
C'est dire le degré de malhonnêteté intellectuelle, de cynisme et d'absence
de scrupules des prétendues "
élites".
Frank BRUNNER
< END>