Jacques Vecker écrit à l'ancien procureur
Philippe Bilger,
vous savez: celui qui dit des Révisionnistes qu'ils sont "
trop cons, trop obsédés" (*) ,
qui intervient depuis quelque temps sur le site "
Boulevard Voltaire"
et vient de commettre le 2 août un article écoeurant concernant la condamnation
de l'Allemand Oskar Gröning, affaire bien connue de tout un chacun.
Voici la lettre ouverte qu'envoie donc Jacques Vecker à ce magistrat approbateur
de la condamnation de ce pauvre nonagénaire:
http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/4958-shoah-prison-requis-contre-comptable-auschwitz-oskar-gr.htmlhttp://www.bvoltaire.fr/
Lettre ouverte à Monsieur Philippe Bilger 4 août 2015
<< Cher Monsieur,
Votre qualité d'éminent magistrat devenu journaliste médiatique
dont Boulevard Voltaire s'honore de la collaboration vous revêt
d'une responsabilité morale indéniable en ce sens que ce que vous dites
et écrivez prend de la valeur aux yeux des gens surtout par le fait même
que vous êtes connu pour votre parler vrai.
J'apprécie grandement la plupart de vos prises de position et je vous compte
parmi les esprits éclairés de notre époque.
Mais je ne puis celer mon émoi, mon indignation, mon dépit même,
à la suite de votre papier consacré à la condamnation d'Oskar Gröning
sur Boulevard Voltaire le 2 août dernier.
Les bras m'en sont tombés et je perdis un instant mes moyens.
Je n'aurais jamais imaginé qu'un homme tel que vous, parangon de justice
et d'honnêteté intellectuelle, voué apparemment par vocation à la proclamation
du droit soit ainsi pris dans les filets d'une religion délétère dont seuls
les esprits faibles ou mal informés sont encore captifs.
Vous n'avez visiblement pas encore pris le temps d'aborder la question
dans le détail, c'est le cas de le dire, mais vous laissez entendre tout de go,
comme s'il n'y avait pas lieu d'en douter, que 450.000 personnes
"
sont exterminées dans des chambres à gaz".
Je vous concéderai toutefois un conditionnel au paragraphe suivant qui signale
aux esprits subtils qu'il pourrait y avoir anguille sous roche.
Mais qui s'en préoccupe, puisque vous faites référence à une vérité révélée
que mille révisionnistes sous tous les cieux ont mise en échec de façon péremptoire ?
Ce monsieur ne peut parler de "
chambres à gaz" puisqu'il est admis
par les chercheurs honnêtes qu'il s'agit là d'un "
bobard de guerre"
et que toute la construction d'un holocauste avéré relève de la mystification
pure et simple.
Ce qui ne signifie nullement que des personnes n'aient pas souffert pendant
cette période tragique mais on ne peut imputer au peuple allemand
et à ses dirigeants le projet d'extermination d'un peuple ou d'une race.
Ce monsieur, que l'on ne peut considérer de toute façon que comme
un rouage insignifiant de la bureaucratie allemande, a fini comme bon nombre
de nos contemporains, juifs ou non juifs, par croire aux légendes colportées
assidûment et quasiment quotidiennement par la presse, les livres, les films
et les pouvoirs en place dans le monde.
Comme ce fut le cas pour moi durant une trentaine d'années et apparemment pour vous.
Bien que germaniste de profession j'ai presque honte d'avoir été si longtemps crédule...
Voilà pourquoi je fus sidéré en vous lisant et en prenant conscience
que le lecteur lambda ne peut que demeurer convaincu qu'un tel crime
contre l'humanité fut réel.
Par bonheur il y eut des personnages comme Paul Rassinier, socialiste, député,
résistant, interné à Buchenwald, il y eut Pierre Guillaume, éditeur classé
à l'extrême gauche, qui donna la parole à Robert Faurisson,
il y eut Carlo Mattogno en Italie, Robert A. Butz aux Etats-Unis,
Gerd Honsik en Autriche, Ernst Zündel au Canada
et mille autres pour réviser une Histoire manipulée par les vainqueurs
de la seconde guerre mondiale.
La sanction qui frappe ce vieillard de 94 ans vous "
apparaît par ailleurs
très pertinente et équilibrée".
Il se reconnaît coupable alors qu'il a subi sa vie durant un lancinant lavage de cerveau.
Il n'a en aucune façon été mêlé à un crime dont on a acquis la conviction
qu'il n'a pas eu lieu.
La guerre en elle-même est le crime suprême et les coupables sont légion
dans tous les camps.
Pour les mêmes raisons on peut être choqué par le sort fait à René Bousquet
ou à Klaus Barbie dont le célèbre avocat Jacques Vergès aurait dû, en le défendant,
proclamer haut et fort que rien ne prouve que le crime dont on l'accuse
ait eu la moindre réalité.
N'oubliez pas, cher Monsieur, que les tribunaux alliés et allemands
ont condamné à mort des fonctionnaires accusés d'avoir gazé des êtres humains à Dachau,
Buchenwald et en d'autres camps alors qu'il fut affirmé OFFICIELLEMENT par la suite
qu'il n'y eut jamais de chambres à gaz dans ces lieux !
Ce qui suffirait peut-être à faire naître un doute dans l'esprit d'un juriste !
Je vous salue bien cordialement. >>
Jacques Vecker, "
Libre Expression",
Château de Vaugran - 30480 St Paul-la-Coste.
(*) Voyez, en pièce jointe, l'article du Pr Faurisson en date du 12 janvier 2011
et intitulé "
Philippe Bilger en apôtre de la Shoah".
http://robertfaurisson.blogspot.it/2011/01/philippe-bilger-en-apotre-de-la-shoah.htmlC'est par retour de courrier que le magistrat répondait :
<<
Je regrette vraiment votre compagnonnage avec des gens
qui ont droit à la liberté d'expression tant qu'ils ne tombent pas dans le négationnisme.
Cordialement. >>
Autrement dit: pas de liberté d'expression pour les négationnistes ! Avec son habituelle gentillesse et sa grande ténacité Jacques Vecker
vient de lui envoyer en réponse le courrier suivant:
<< Cher Philippe Bilger,
Je rends grâce à votre courtoisie.
Vous êtes le premier personnage de renom qui réponde à ma missive,
brièvement, certes, mais laissant entendre qu'il l'avait lue,
ne serait-ce que superficiellement.
Je ne sais où vous voyez du négationnisme... Que nié-je ?
Que nient les "
révisionnistes" dont je rappelle l'engagement ?
Il y eut certes des camps de concentration en Allemagne, il y en eut en France,
il y a en France des milliers de prisons, il y a la guerre et ses duretés voire ses crimes,
mais il n'y eut jamais, au grand jamais, la mise en oeuvre d'une extermination
programmée par le gouvernement du IIIe Reich.
Il s'agit bien en fait de le nier, mais non dans le sens où vous l'entendez.
Les "
chambres à gaz" à juste titre évoquées par le fameux "
détail",
qui n'est même pas un détail mais un bobard de guerre, sont maintenant
largement délaissées par la chronique historique et ne revivent que sous la plume
de journalistes encore acquis aux fantasmes de la Shoah.
Des témoins dignes de foi comme Elie Wiesel ou Simone Veil, pourtant résidents célèbres
à Auschwitz, semblent les ignorer et , bien plus remarquable, les chefs des armées alliées,
Eisenhower, Churchill et De Gaulle, n'en font pas mention dans leurs mémoires de guerre.
Curieux, non ?, alors que nous avons l'impression aujourd'hui, ainsi que le remarqua
astucieusement Jean-Marie Le Pen, que c'est la seconde guerre mondiale qui fut
un détail des chambres à gaz.
N'auriez-vous lu attentivement que Robert Faurisson, sans parler des scientifiques
qui se sont penchés sur la question, vous sauriez,au même titre que par une enquête
criminelle digne de ce nom, que l'existence de ces chambres à gaz homicides
se heurte à des impossibilités physiques et chimiques.
Libre à vous, certes, de demeurer fidèle à cette croyance, mais de grâce
ne renforcez pas l'iniquité du jugement d'Oskar Gröning par des propos
entérinant une légende !
Je dois reconnaître que je suis fier d'accorder crédit à ces héros des temps modernes
que sont les chercheurs de vérité cités à la fin de ma dernière lettre.
Ils ont subi, de la part d'une curieuse justice, les pires avanies et ils persistent
à argumenter d'une façon irrécusable pour la réhabilitation de l'Allemagne
mise au ban des nations pour un crime qu'elle n'a pas commis.
Comme Oskar Gröning !
Avec mes toujours cordiales salutations, >>
Jacques Vecker, "
Libre Expression",
Château de Vaugran - 30480 St Paul-la-Coste.