Philosophie du fascisme raciste.par Brigid Trismegiste.
Toute l’histoire de l’humanité a été lutte des races, oppositions entre races conquérantes
et races soumises, entre races dirigeantes et races dirigées, selon la logique du philosophe
païen Héraclite d’Ephèse (VIe siècle av. J.-C.) qui le premier émit l’idée du conflit
des contraires se limitant l’un l’autre,auquel sont dues la naissance et la conservation des êtres.
Pour son empirisme organisateur, le fascisme raciste choisit donc la méthode d’investigation héraclitéenne, qui étudie les faits historiques en tant que processus, en tant que réalité
en mouvement, en perpétuel devenir, prises dans les flots tumultueux de l’Histoire.
Cette méthode ne se laisse pas paralyser par d’artificielles antinomies entre « vrai » et « faux »,
entre « bien » et « mal », car elle inclue la double et conjointe idée de mouvement
et de contradictions surmontées.
Une religion ou une idéologie n’étant que le produit de pensées et de déductions
dans un cerveau humain,il ne peut y avoir de vérité unique, absolue, définitive et sacrée.
La vérité réside dans le processus de la connaissance même, dans le long développement humain
de la Science, et celle-ci n’arrive jamais, par la découverte d’une prétendue
« vérité définitive », au stade où elle ne peut plus progresser.
La seule réalité est ce processus ininterrompu du devenir et du transitoire,
c’est pourquoi le fasciste raciste récuse Platon et Hegel pour qui les objets réels ne sont
que le reflet de tel ou tel degré de l’Idée Absolue.
A l’impératif catégorique de l’absolu moral de Kant, le fascisme raciste répond
que la seule action humaine qui peut être érigée en loi universelle de la nature
est le devoir de conservation et d’amélioration de sa race.
Le fascisme raciste refuse toute forme de transcendance, qu’elle soit religieuse ou théorétique.
L’organisation et les institutions de chaque nation doivent découler de l’âme raciale
de ses habitants, la race étant ici « cette énergie accumulée par nos ancêtres,
ces morts qui parlent en nous » selon le mot de Paul Bourget.
Une simple observation du monde montre qu’on ne gouverne pas les Noirs comme des Blancs,
les Nordiques comme des Méditerranéens, etc…
L’empirisme organisateur, adapté à chaque situation nationale, s’en trouve donc être immanence
qui dément tout universalisme panracial idéologique ou confessionnel,
toute construction abstraite artificiellement appliquée à n’importe quel peuple sans distinction.
Et donc, à l’aphorisme d’Auguste Comte
« La seule vérité absolue, c’est que tout est relatif »
le fasciste raciste du 21e siècle ajoute la sentence du Bureau de la Politique Raciale
du NSADP « Toutes les races sont une valeur suprême »
Le moteur de l’Histoire ne se trouvant donc pas dans les limbes de la transcendance,
il réside dans le monde matériel, seule réalité :
- c’est la dialectique raciale.
Toute l’histoire de l’humanité a été dialectique des races, entre races créatives
et races infertiles, entre races énergiques et races indolentes, entre races organisatrices
et races incapables.
Ces juxtapositions raciales furent l’infrastructure sur laquelle se bâtirent
toutes les superstructures politiques, juridiques et intellectuelles.
Ainsi la dialectique raciale détermina le processus social et culturel de la vie de chaque époque,
de chaque civilisation.
Car ce n’est pas le façon d’être sociale qui détermine la conscience d’une personne,
c’est son âme raciale qui détermine sa façon d’être sociale,et donc,
de la civilisation qu’il engendre.
Le fascisme raciste invalide donc tout surnaturalisme extérieur, que ce soit sous la forme
de religion, d’occultisme ou de « paranormal » qu’il considère comme de vains amusements
pour faibles d’esprit.
De cela il ressort que le fascisme raciste n’est pas quelque chose d’achevé ni d’immuable :
- son esprit même s’y oppose, en conformité avec l’idée d’Héraclite
du perpétuel écoulement des choses.
La national-socialisme allemand, auquel le fascisme raciste du 21e siècle se réfère
tout naturellement, a simplement posé les pierres angulaires d’une société articulée
selon une logique raciale.
Il appartient aux fascistes racistes d’aujourd’hui de prolonger dans toutes les directions,
en tenant compte du temps et du lieu, les données fondamentales révélées
par de grands Français, le comte de
Gobineau, Vacher de Lapouge, Paul Bert¹,
et mises en œuvre, de 1933 à 1939, par
Adolf Hitler.
Toutefois la pureté de ces données doit être à tout prix préservée au cours du travail
nécessaire d’adaptation historique:
- il convient donc de se garder de prétendus « nationaux-socialistes » qui tentent
de les souiller en y introduisant des éléments superstitieux d’origine sémite tels
le christianisme ou l’islam; et aussi de ceux qui les dessèchent en les figeant intégristement,
et se croient fascistes alors qu’ils le sont que réactionnaires, racistes alors qu’ils ne sont
que xénophobes.
C’est pourquoi la doctrine fasciste raciste de la Sororité Aryenne dépasse
et corrige l’hitlérisme en l’adaptant aux changements éthologiques
survenus depuis la défaite de 1945.Le permanent et le changeant sont donc, toujours selon Héraclite, un des pôles
de l’opposition suprême qui est le moteur de l’Histoire.
Le permanent, c’est la Race, l’invariant qu’est l’âme raciale de chaque peuple; le changeant,
c’est la dialectique biologique dans le flux de l’histoire humaine, dont elle est le ressort.
Le fascisme raciste démontre qu’il est vain de vouloir comprendre le monde actuel
en refusant de tenir compte du facteur biologique :
- inextricablement liés, tant l’hérédité que le milieu social et l’habitat géographique
déterminent les comportements de l’individu et de la communauté,
mais uniquement dans les limites et selon les potentialités inhérentes à l’origine raciale.
Le fascisme raciste se réclame de l’assertion du Dr. Hans FK Günther
« Je penche pour l’hypothèse selon laquelle la plupart des civilisations auraient connu
leur essor à la suite du contact de deux races et du déploiement d’énergie engendré
par l’interaction des dirigeants et des dirigés »
(
Der nordische Gedanke unter den Deutschen, 1927 ) en insistant sur l’absolue
nécessité d’une hiérarchisation des races en cas de cohabitation, et repousse celle
du juif Ludwig Gumplowicz
« Sans antagonisme racial, il n’y a pas d’Etat et pas d’évolution de l’Etat,
et sans fusion des races il n’y a ni culture, ni civilisation » (
Der Rassenkampf,1909 ) qui sous couvert de dialectique raciale invite au métissage:
- or toutes les grandes civilisations du passé en sont mortes et n’ont jamais pu être
ressuscitées sur leur lieu d’origine.
Personne ne peut sérieusement envisager que sorte quoi que ce soit de grand du Pendjab,
de l’Iran, la Grèce ou l’Italie du sud actuelles, au vu de leurs habitants.
Une mélange généralisé des races humaines conduirait à l’arrêt de l’évolution de l’humanité.
Le fascisme raciste voit donc dans la glorification du métissage un panégyrique du génocide,
et considère tout apologue du métissage comme un ennemi de l’humanité.
Constatant que les communautés déclassées n’ont, quelles que soient leur taille,
jamais duré longtemps, le fascisme raciste en déduit qu’au stade actuel de l’évolution
de l’humanité, celle-ci nécessite des sociétés organisées hiérarchiquement
et sécurisantes moralement, donc pourvues de structures étatiques fortes,
pures de tout parlementarisme parasitaire empêchant la promptitude d’application
de mesures nécessaires.
L’Histoire enseignant également qu’aucune idéologie ne s’est imposée par la simple excellence
de sa doctrine, mais par les capacités de ses représentants à utiliser la violence organisée,
le fasciste raciste en déduit que les qualités intrinsèques d’une idéologie sont des conditions
nécessaires à sa longévité, mais insuffisantes à son avènement et à sa mise en pratique.
Le premier dépend des hommes qui la professent, et la seconde des méthodes qu’ils utiliseront.
Le fascisme raciste estime donc moral et légitime l’usage de la violence dans les faits,
car si la théorie permet à l’action d’avoir lieu, l’action fait progresser la théorie en la corrigeant,
selon le principe héraclitéen, là encore, du monde en perpétuelle transformation.
Mais qu’on ne s’y trompe pas:
- le fasciste raciste ne croit pas, comme le gauchiste, que du mouvement de la multitude
sortira la solution appropriée, la réponse idéale.
« L’infaillibilité des masses » du marxisme ou « l’infaillibilité démocratique » du libéralisme
ne sont que les versions sécularisées de « l’infaillibilité de la Torah et de l’Evangile »,
soit un dogme rationaliste juif arbitraire de plus.
Le suffrage universel montre un peu plus, à chaque élection présidentielle,
que rien n’est pire que les choix du peuple laissé à lui-même.
Le fascisme raciste prend donc acte de ce que
les grands changements historiques ne peuvent être initiés
que par des individus d’exception dotés de cette rarissime qualité
qui est l’apanage des seuls grands dirigeants :
- savoir mieux qu’elles-même ce que veulent vraiment les masses.
Car l’inégalité naturelle des hommes, qui est l’un des piliers doctrinaux du fascisme raciste,
fait que seule une élite raciale soit en mesure de faire l’Histoire.
Et parce que le présent change constamment, l’Histoire change également :
- chaque époque a la sienne propre, que l’esprit de l’Héroïne ou du Héros fasciste raciste
a créé pour qu’elle cadre avec sa lucidité acribique et sa volonté de puissance.
Ainsi évite le fascisme, par une constante interaction de la praxis de de la doxa,
de choir dans un des deux gouffres opposés qui menacent toute idéologie:
- le dogmatisme, qui figerait la doctrine comme ces théocraties paralysant l’intelligence.
- le bonapartisme, qui en trop s’appuyant sur la passion charnelle de la nation
pour son Dirigeant, finirait au contraire par la vider de sa substance.
Car la théorie n’est rien sans la personne d’exception pour la faire appliquer:
- qu’on se rappelle ce que devint la Phalange Espagnole après la mort
de José Antonio Primo de Rivera…
et inversement, l’homme d’exception sans la doctrine laisse après sa mort vide intellectuel
et désolation morale.
La complémentarité des deux est la base où s’équilibre l’harmonie du fascisme raciste.
²¹ Libre penseur et républicain, député gambettiste, Paul Bert (1833-1886)
a aussi été un grand rédacteur de manuels scolaires.
Certains d’entre eux furent régulièrement réédités de 1880 jusqu’aux années 1930
et diffusaient un message d’une autre teneur que les vomissures antiracistes
des livres « d’éducation » actuels:
²
Encore faut-il que la doctrine soit claire et explicite, et d’assise scientifique,
ce qui exclut d’autorité tout texte religieux abscons dont une exégèse perverse
peut faire dire n’importe quoi et son contraire, ainsi que l’histoire des « religions du livre »
nous le prouve.
Source : http://sororite-aryenne.comhttp://caroleravereaud.wordpress.comhttp://kawakay.wordpress.com