Lettre courageuse de Jacques Vecker à Claude Bartolone.Notre ami Jacques Vecker a envoyé, le 3 février 2014, la lettre ouverte suivante
à Claude Bartolone, président de l'Assemblée nationale, à l'adresse suivante:
president@assemblee-nationale.frUn immense bravo à notre ami et toutes nos félicitations pour avoir pris
cette initiative courageuse !
C'est à faire circuler .
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Cher Claude Bartolone,
Vous parlez d'or lorsque vous dites à Caroline Roux, le 2 février dans l'émission
"C'est politique":
"La vraie volonté d'apaisement c'est le dialogue" puis, dans le cours de l'entretien,
"l'envie d'écouter les autres".
Qui n'approuverait cette profession de foi et comme il serait bon pour la France
et pour l'humanité en général que ces paroles soient vécues dans la vie publique !
Vous évoquez cependant "le climat des années trente", puis, à propos de la manifestation
du 26 janvier dernier, vous employez le qualificatif de "facho" peu propice au dialogue.
Vous citez par ailleurs des slogans que vous estimez scandaleux
("Juifs, la France n'est pas à toi", "Faurisson a raison, les chambre à gaz c'est du bidon"),
au risque de faire découvrir ces affirmations à des gens qui en ignoraient tout.
Je conçois que ces paroles puissent vous interpeller et même vous choquer,
étant donné la repentance institutionnalisée et précisément la réalité mise en évidence
dans le premier slogan.
Lorsqu'il n'est pas possible de s'exprimer librement par des voies démocratiques
il ne reste que la rue et le porte-voix.
Lorsqu'un journaliste invite sur son plateau des opinions... controversées,
il se fait rappeler à l'ordre pour avoir offert non pas une tribune mais un lieu de "dialogue"
à des "cerveaux malades".
Patrick Cohen n'a pas fini de l'entendre...). Qui en décide ?
Quel neurologue assermenté, quel juge impartial ?
Pourquoi ne pourrait-on pas dire que la France considère que sa politique
dans certains domaines serait décidée par Israël ou par le Crif,
alors que l'évidence saute aux yeux ?
Le second slogan pose une question encore plus pertinente.
Si l'on peut affirmer que Faurisson a raison et que l'existence de chambres à gaz,
raison première de la diabolisation d'un grand pays voisin, est une fable, un mensonge éhonté,
une falsification de l'histoire, une manipulation aux conséquences incalculables pour,
justement, l'apaisement des esprits et la compréhension entre les peuples,
au lieu d'étouffer les voix "discordantes" ou mieux "abjectes, nauséabondes, ignobles"
(qui en décide?), ne serait-il pas souhaitable d'ouvrir un débat ouvert et franc,
de laisser la parole et l'écrit libres, de le faire au grand jour afin que soit connue
une vérité incontestable.
Il a été écrit, dans un ouvrage remarquable publié récemment et portant le titre justement
de "Dialogues désaccordés", qu'un simple contact libre de préjugés avec de vrais révisionnistes
suffisait à lever le voile et à mettre en pleine lumière ce qu'Arthur R. Butz a nommé
"The Hoax of the XXth Century" (La Mystification du XXe siècle).
Qu'en est-il vraiment ?
Si Faurisson "a raison", un universitaire voué à l'exactitude et non inféodé à quelque chapelle,
il serait bon que cela se sache au-delà d'une manifestation de rue ou
du Théâtre de la Main d'Or, que l'on se penche enfin sérieusement sur ses arguments
pour qu'une vraie liberté reprenne ses droits dans notre pays.
Cher Claude Bartolone, sans de prime abord prendre position pour l'un ou l'autre camp,
vous pouvez, au nom même de la nation, organiser au sein de votre assemblée
une commission dotée des moyens nécessaires pour permettre de lever l'hypothèque assombrissant notre vie sociale et politique depuis tant de décennies,
prouvant par là même que nous sommes sortis du Moyen Age.
Les générations futures vous en sauront gré.
Recevez, cher Claude Bartolone, mes déférentes et amicales salutations.
Jacques Vecker ,"
Libre Expression",
Château de Vaugran,
30480 St Paul-la-Coste.
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Jacques Vecker écrit à Claude Hagège.Nous ne résistons pas à l'envie de diffuser une nouvelle "lettre ouverte" de Jacques Vecker:
elle était adressée le 24 août au célèbre défenseur de la langue française Claude Hagège,
juif et polyglotte...
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Cher Claude Hagège,
La lecture de votre ouvrage "Contre la Pensée unique" m'a fait découvrir une analyse
d'une grande profondeur et je vous sais gré pour ce lourd travail d'enquête et de réflexion. Rigueur et ouverture d'esprit le caractérisent.
Notre époque y est magistralement dépeinte et c'est justement ce point qui me chagrine :
- Vous qui dominez les langues et les cultures commettez une faute
qu'on n'attendrait pas de vous. J'en suis resté stupéfait !
Vous évoquez le sort fait aux Indiens d'Amérique, et pensez "qu'il n'y a pas eu de politique génocidaire concertée et explicitement organisée dans ses détails par un gouvernement américain".
Le débat est ouvert et nous ne croiserons pas le fer à ce sujet.
Mais la phrase suivante me laisse atone.
Vous reprenez p. 49 une rumeur insensée, celle d'une extermination, d'un véritable génocide des Juifs européens durant la seconde guerre mondiale en vous référant
à la conférence de Wannsee à laquelle personne n'accorde plus aucun intérêt
sinon pour rappeler qu'on y débattit d'une "solution globale territoriale" de la question juive.
Je ne saurais vous en faire reproche puisque j'ai cru à cette fable cruelle durant des décennies avant de revenir à moi et de mesurer l'incroyable manipulation des esprits qui s'abattit
sur plusieurs générations et corrompit des historiens parmi les plus sérieux.
Vous êtes excusable de vous être fié justement à la pensée unique que vous savez si bien dénoncer mais comprenez mon étonnement de voir que, étant donné votre perspicacité
et l'acuité de votre jugement, vous ayez pu être aveuglé à ce point.
Pardonnez-moi de ne pas vous laisser dans cette brume délétère et de tenter
de vous ramener à la lumière.
On peut certes dire que les Indiens ont été victimes d'une sorte de génocide
mais ON NE PEUT EN AUCUN CAS AFFIRMER que le gouvernement allemand
ait planifié, "explicitement organisé dans ses détails" le génocide d'un peuple,
et même, selon Bradley Smith, qu'un seul Juif ait été mis à mort en raison de sa race.
Effectivement le bruit de plus en plus tonitruant fait autour de la Shoah tendrait
à authentifier le massacre alors qu'il ne s'agit que d'une manoeuvre désespérée
pour maintenir en vie un mensonge planétaire, l'alibi suprême de la néfastitude d'Israël.
Lisez, je vous prie, pour vous éclairer, les écrits révisionnistes du professeur Faurisson,
parmi mille autres documents irrécusables, rendez-lui visite, et vous prendrez la mesure
de la mystification.
Et ne me dites pas, par pitié, que des Juifs ont souffert.
Bien sûr, la guerre et la haine sont mauvaises conseillères et d'innombrables humains
de toutes origines ont souffert et sont morts en ces sombres années.
Le chiffre de six millions repris à plus soif ne peut être qu'une légende si l'on songe
simplement que le nombre de Juifs tombés sous domination allemande était inférieur
à ce chiffre, que beaucoup ont émigré avant la déclaration de guerre, que des millions
de survivants ont été recensés jusqu'à ce jour, que très nombreux sont ceux qui rejoignirent
les partisans, que la guerre et les bombardements alliés firent des milliers de victimes,
que certains moururent de mort naturelle et, aussi étonnant que cela puisse paraître,
que près de 150.000 furent des soldats de la Wehrmacht !
Jamais au cours de l'histoire ne fut forgé un conte morbide d'une telle ampleur !
Page 52 vous évoquez l'enseignement universel de l'anglais, cheval de Troie
de l'American way of life.
Aujourd'hui l'on s'emploie à enseigner la Shoah jusqu'en Chine !
Vous évoquez page 68 l'attentat contre le World Trade Center...
N'y a-t-il pas là des liens avec la "pensée unique ? ".
Nous attendons avec gourmandise votre deuxième tome !
Bien cordialement
Jacques Vecker30 480 St Paul-la-Coste
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