Etre national-socialiste et catholique, une contradiction ?

Etre national-socialiste et catholique,
une contradiction ?

Dans cette vidéo, Vincent Reynouard souligne le caractère essentiel du national-socialisme,
c'est-à-dire la redécouverte du Bien commun en matière de gouvernement.

Il expose minutieusement la différence qui existe entre l' "intérêt général" des démocraties
et le véritable "Bien commun".
Il démontre que le modèle de société adopté par un peuple vient,au départ,
de l'idée que l'on se fait de la création et, plus particulièrement, de l'Homme.
La République repousse l'idée d'ordre naturel et voit dans l'Homme
un simple animal perfectionné ;
dès lors, elle ne se préoccupe que d'assurer l'intérêt général.
Mais croire que l'Homme n'est pas là par hasard et qu'il s'inscrit
dans un ordre naturel reflet de l'ordre divin conduit naturellement
à une organisation politique soucieuse du Bien commun.

S'appuyant sur Mein Kampf, Reynouard rappelle que,
contrairement aux allégations d'une propagande mensongère,
Hitler croyait en Dieu et à un "Homme, image du Seigneur":
d'où la société qu'il a bâtie et les succès qu'elle a connus.

National-socialiste et catholique : une contradiction ? (partie 2)

Dans cette vidéo qui démonte 70 ans de propagande et qui précise certains
points essentiels, Vincent Reynouard démontre que le parti national-socialiste
n'était pas, par nature,antichrétien.
S'appuyant sur de nombreux documents historiques d'époque,
il démontre que ce sont les catholiques allemands du parti du Centre qui lui déclarèrent
la guerre dès le début.
Ils furent aidés par le clergé allemand qui leur prêta main-forte en condamnant le NSDAP.
Hitler dut donc faire grandir son parti sans les catholiques, ce qui laissa le champ libre
aux autres, et notamment aux néo-païens antichrétiens.
Malgré ça, une fois arrivé au pouvoir, Hitler tendit la main aux catholiques.
Et malgré une situation tendue, la vie religieuse continua en Allemagne...