Commentaire de Frank Brunner à n/message sur Sobibor.Sur son site, le révisionniste suisse Frank Brunner a repris notre message du 19/09
sur Sobibor ("
Des chambres à gaz à Sobibor?") et y a ajouté l'excellent
commentaire suivant, accompagné de photographies:
http://www.interet-general.info/spip.php?article20398< START>
Commentaire
Au camp de concentration de Treblinka, une catelle découverte dans le sol,
sur laquelle figurait une étoile de David, était censée prouver qu'une chambre à gaz
se trouvait là et que des juifs y ont été gazés.
En réalité, il s'agissait d'une catelle provenant de la fabrique Dziewulski Lange
dont l'étoile de David est le logo...
On relèvera que le travail de ces prétendus archéologues est biaisé, car ils partent
d'un a priori, l'existence de chambres à gaz homicides dont ils sont incapables
de produire ne serait-ce qu'un plan , et qu'ils interprètent n'importe quel vestige
(des catelles, les fondations d'un quelconque bâtiment, un simple pendentif)
en sorte de conforter cet a priori.
Tout ce qui contredit la thèse d'un camp d'extermination et de chambres à gaz homicides
est systématiquement passé sous silence.
Ainsi, par exemple, le fait que les déportés arrivant dans un camp de concentration
étaient dépouillés de leurs bagages, de leurs vêtements civils, et qu'ils étaient tondus,
est présenté comme une preuve de l'extermination de ces déportés.
Or, les détenus des bagnes français, par exemple, étaient eux aussi dépouillés
de leurs bagages, de leurs vêtements civils, et tondus.
Cela n'impliquait absolument pas l'existence d'une volonté d'exterminer ces bagnards.
Il s'agissait là de pratiques parfaitement banales.
Les vêtements des déportés des camps de concentration étaient redistribués
à des Allemands qui avaient tout perdu dans les bombardements alliés.
Quant à la tonte des cheveux, elle visait à lutter contre les poux vecteurs du typhus.
Les cheveux étaient recyclés dans la fabrication d¹une sorte de tissu.
De même, les tas de cadavres squelettiques découverts dans certains camps de concentration
à leur libération ont été présentés comme des preuves d'une volonté systématique
de faire mourir de faim les déportés.
En réalité, cette situation était très récente et il s'agissait d'une conséquence directe
de la guerre.
L'évacuation des camps de concentration de l'Europe de l'Est face à l'avance
des armées soviétiques s'était traduite par une surpopulation des camps en Allemagne.
Les bombardements alliés empêchaient l'acheminement des vivres et des médicaments,
si bien qu'il devenait impossible de nourrir convenablement les déportés et de lutter
contre les épidémies.
Cela n'avait rien à voir avec une quelconque volonté d'extermination.
A la même époque, les civils allemands étaient eux-mêmes réduits à des rations de famine.
La mort de n'importe quel déporté est présentée comme la preuve d'une politique allemande d'extermination, alors même que la plupart des déportés mouraient de maladies
ou étaient victimes des bombardements alliés dans les usines où
on les contraignait de travailler.
Le terme de « camp d'extermination » n'a jamais été utilisé par les Allemands et ne figure:
- ni dans les Mémoires de
Winston Churchill,
- ni dans ceux de
Charles de Gaulle - ou de
Dwight Eisenhower.
De même qu'aucun des trois mémorialistes
ne fait la moindre mentiond'un génocide ou de chambres à gaz.
*Pourtant, les Britanniques interceptaient et décodaient
toutes les communications radio des Allemands.
Si un projet de génocide avait été simplement discuté, ils n'auraient pas manqué
de le savoir et de le dénoncer publiquement.
Au demeurant, à supposer que les Allemands aient voulu exterminer des déportés,
on ne voit pas dans quel intérêt ils les auraient transportés, pour ce faire,
sur des centaines de kilomètres, en mobilisant des trains nécessaires au transport
et au ravitaillement des troupes, alors que ces déportés pouvaient aussi bien être abattus
dans un bois à proximité du lieu de leur arrestation.
Frank BRUNNER< END>
*Les mémoires de ces trois personnages ont été écrites plusieurs années
APRES 1945....