Gouvernement Valls II : les Rothschild au pouvoir !par Jérôme Bourbon
Éditorial du Rivarol n° 3153 - 4 septembre 2014 Ils ne se cachent même plus.
Les financiers qui mènent le monde, ainsi que les appelait le regretté
Henry Coston,
occupent désormais les places stratégiquement les plus importantes au sommet de l’Etat.
Hollande et
Valls viennent ainsi, comme le fit naguère le général
de Gaulle avec Georges Pompidou, de faire entrer au gouvernement un représentant
de l’hyperclasse financière en la personne d’
Emmanuel Macron,
ancien secrétaire général de la Présidence mais surtout ex-associé gérant
de la
Compagnie Financière Edmond de Rothschild.
Quant à la nouvelle conseillère du président,
Laurence Boone, nommée dès le 10 juin
il est vrai et en toute discrétion, elle était jusqu’à présent chef économiste
de
Bank of America Merrill Lynch, tout un programme pour un homme
qui déclarait à ses électeurs pendant sa campagne présidentielle, le
22 janvier 2012 au Bourget
« mon véritable adversaire, c’est le monde de la finance » ! Le fin renard est donc officiellement installé dans le libre poulailler.
De Gaulle s’était lui aussi rendu compte très et trop tard non de sa bévue,
mais de son imprudence.
Il congédia le 10 juillet 1968 l’ancien directeur général de la Banque Rothschild,
Georges Pompidou, dont il avait fait son Premier ministre depuis
avril 1962.
De Gaulle devenu inutile, la révolution libérale-libertaire théorisée par l’École freudo-marxiste
de Francfort ayant balayé la France d’antan, l’homme d’État déchu est renvoyé
aux
« poubelles de l’histoire » par ceux-là même dont il a chauffé la place.
Il faut cependant préciser
qu’à chaque fois que De Gaulle est parvenu au pouvoir,
il a toujours été accompagné de juifs et de francs-maçons.
Qu’on pense par exemple aux rôles détestables d’un
René Cassin ou d’un
Lucien Neuwirth pour ne parler que d’eux.
En ce sens, la libération de Paris dont Hollande a commémoré le 25 août les soixante-dix ans
sous une pluie battante
a marqué la fin définitive de l’ancienne France et
la mise en place d’un régime contraire aux intérêts du pays, satellite des Etats-Unis
et soumis à la finance internationale.
L’accession de Pompidou à Matignon et plus encore à l’Elysée le
15 juin 1969 acheva historiquement d’ouvrir les vannes à tous les affairismes et le règne sans partage
ni freins des mercantis ne connut alors plus de limites.
Suite de l’éditorial de Jérôme Bourbon dans Rivarol, disponible le 4 septembre 2014.
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