Un film anglais de 1945 sur les camps.
Le 7 octobre, le quotidien juif "Forward" publiait un article consacré à la sortie
récente d'un film censé reprendre et "compléter" (notez bien ce mot de "complété")
le film tourné par les Alliés à la libération des camps.
Titre de l'article:
"Un film historique sur l'Holocauste, "La Nuit tombera", fait enfin ses débuts .
Il avait reçu l'aide de Hitchcock".
Sous-titre: "Un directeur célèbre a travaillé sur ce film sur la libération".
Précisons tout de suite que le "directeur célèbre" était le producteur britannique
Sydney Bernstein,responsable, à Londres, de la section cinématographique
du ministère de l'Information, qui pour l'occasion avait fait appel
à son grand ami Alfred Hitchcock.
L'article commence ainsi (traduction très rapide):
http://forward.com/articles/206798/historic-holocaust-film-night-will-fall-debuts-at<< Un nouveau film, relatif à un documentaire oublié et remisé depuis longtemps
sur la découverte et la libération des camps de concentration nazis par les Alliés,
présente aux téléspectateurs le récit reconstitué de ce moment crucial de l'histoire.
Soixante-dix ans plus tard, le documentaire original, inachevé, vient d'être reproduit
et complété par le British Imperial War Museum. >>
On rappellera à ce sujet cet extrait de l'Introduction du Pr Faurisson
à ses "Ecrits révisionnistes (1974-1998)" (*), sous l'intertitre
"Les Britanniques inaugurent à Bergen-Belsen les reality shows des 'crimes nazis'
(avril 1945)":
< START>
Mais le spectacle que découvrirent les Britanniques et l'odeur insoutenable
des cadavres en décomposition ainsi que des baraquements ou des tentes
inondés de matière fécale finirent par soulever l'indignation générale.
On crut ou on laissa croire que les SS avaient délibérément choisi de tuer
ou de laisser mourir les détenus.
Et, malgré leurs efforts, les Britanniques furent incapables d'enrayer
l'effrayante mortalité.
Comme une nuée de vautours, les journalistes s'abattirent sur le camp et filmèrent
ou photographièrent toutes les horreurs possibles.
Ils procédèrent, au surplus, à des montages.
Une scène fameuse, reprise dans "Nuit et Brouillard", montre un bulldozer
poussant des cadavres dans une fosse commune.
Beaucoup de spectateurs de cette scène furent conduits à croire
qu'il s'agissait de "bulldozers allemands".
Ils ne s'aperçurent pas que le bulldozer (au singulier) était conduit
par un soldat britannique qui, sans doute, après le décompte des cadavres,
repoussait ceux-ci dans une vaste fosse creusée
après la libération du camp.
Encore en 1978, une publication juive montrera ce bulldozer mais non sans
en décapiter, opportunément, sur la photographie le conducteur de manière
à cacher son béret de soldat anglais.
Le juif Sydney Lewis Bernstein, responsable, à Londres, de la section cinématographique
du ministère de l'Information, fit appel à Alfred Hitchcock pour produire un film
sur ces "atrocités nazies".
En fin de compte, seuls des fragments de ce film furent rendus publics,
probablement parce que le film dans son intégralité contenait des assertions
propres à faire douter de son authenticité.
Mais, dans son ensemble, le "coup de Bergen-Belsen" constitua
une extraordinaire réussite pour la propagande des Alliés.
C'est à partir de cette prouesse médiatique que le monde entier apprit
à ne pas voir ce qu'il avait sous les yeux:
- on lui présenta soit des morts, soit des mourants mais le commentaire l'amena
à croire qu'il avait sous les yeux soit des tués, des assassinés, des exterminés,
soit des cadavres ambulants condamnés à la tuerie, à l'assassinat, à l'extermination.
Ainsi, comme on l'a vu plus haut, c'est à partir d'un camp qui ne possédait
ni fours crématoires, ni de l'avis même des historiens conformistes
la moindre chambre à gaz homicide, que s'édifia le mythe général
de la présence à Auschwitz et ailleurs de "chambres à gaz"
couplées avec des fours crématoires. (...)
Le "coup de Bergen-Belsen" fut très vite imité par les Américains qui,
faisant appel à Hollywood, tournèrent une série de films sur la libération
des camps allemands ; ils procédèrent à une sélection de leurs prises de vue
(6.000 pieds de pellicule sur un total de 80.000 pieds,
c'est-à-dire 1.800 mètres seulement sur près de 25.000 mètres) qui,
le 29 novembre 1945,fut projetée au procès de Nuremberg où tout le monde,
y compris la plupart des accusés, en éprouva un choc.
Quelques accusés flairèrent la supercherie mais il était trop tard:
- le bulldozer du grand mensonge était lancé. Il roule encore aujourd'hui.
Les spectateurs de tous ces films d¹horreur sur les "camps nazis" furent, à la longue,
mis en condition par le choix des images et par le commentaire.
Un pan de mur, un tas de chaussures, une cheminée:
-
il ne leur en fallut pas plus pour croire qu'on leur avait montré un abattoir chimique.< END>
(*) 1re édition: 1999, 2e édition: 2004 -
Publication hors commerce: se renseigner auprès d'Akribeia:
http://www.akribeia.fr/