L’Incroyable Affaire Faurisson. Présentation du 5 juillet 2014 Parmi les nombreux procès intentés au professeur Robert Faurisson le plus important
par son étendue et ses conséquences a été celui qui s’est achevé avec l’arrêt,
mémorable en tout point, du 26 avril 1983, dont il n’est pas exagéré de dire qu’il a marqué,
pour la LICRA (anciennement LICA) et pour pléthore d’associations juives et autres,
une cuisante défaite.
C’est en raison précisément de cette défaite que les adversaires du professeur
se sont alors attelés à la préparation d’une loi, spéciale et exceptionnelle, qui,
sept années plus tard, le 13 juillet 1990, tout bonnement punira
« ceux qui auront contesté […]
l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité »tels que définis et punis avant tout, en 1945-1946, par le Tribunal militaire international
(
TMI) de Nuremberg où les vainqueurs ont jugé leur vaincu :
- l’Allemagne nationale-socialiste.
Cette législation aberrante porte couramment la dénomination de
« loi Faurisson » ou de
« loi Fabius-Gayssot » (voy. Eric Delcroix, La Police de la pensée contre
le Révisionnisme / Du jugement de Nuremberg à la loi Fabius-Gayssot, diffusion R.H.R.,
1994, La Sfinge, Rome, 2006, 128 p.).
Laurent Fabius, catholique non pratiquant d’origine juive, richissime sommité du Parti socialiste, était à l’époque président de l’Assemblée nationale tandis que Jean-Claude Gayssot
était député stalinien de la région parisienne.
En 1982, dans ses deux premières éditions, dues à La Vieille Taupe ,
c’est-à-dire à Pierre Guillaume , L’Incroyable Affaire Faurisson se présentait sous la forme
d’une plaquette de 80 pages, signée
« Le Citoyen ».
La couverture portait ironiquement :
- Les Petits Suppléments au Guide des droits des victimes, N° 1,
L’Incroyable Affaire Faurisson.
En page 3 se lisait :
- Supplément N° 1 /
« Du vrai et du faux dans une très singulière controverse civile » ;
- puis était annoncée la présentation (p. 5-22), intitulée :
« Nous n’irons plus au bois » et signée
« Dagobert » (en fait, trois universitaires :
-
Marc Rouanet, Jean-Louis Tristani et un anonyme).
Etaient également annoncées d’abord les conclusions déposées par les intimées,
au nombre de onze à commencer par la
LICRA (p. 25-32),
puis les conclusions de R. Faurisson (p. 33-76).
Les trois pages finales (77-80) présentaient deux documents et une bibliographie.
Le lecteur désireux d’aller tout de suite à l’essentiel peut limiter la lecture
aux pages 25-32 et 33-76.
Il mesurera la légèreté de l’accusation et le sérieux des arguments de la défense.
Suite: http://robertfaurisson.blogspot.it/2014_07_01_archive.html