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(" Les animaux de laboratoires saluant Hermann Göring" )
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La liberté d'expression au "pays des Droits de l'Homme", c'est ça.... />
...hélas, d'autres "démocraties" embastillent ses citoyens pour délit d'opinion,voyez cette vidéo >
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Ursula Haverbeck explique pourquoi l'Holocauste est le plus grand et le plus persistant mensonge de l'Histoire.
Ursula Haverbeck, 87 ans, est condamnée à dix mois de prison ferme !
Ursula Haverbeck, surnommée en Allemagne la « mamie nazie »,
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Extrait des cahiers de la SS : "L'Islam, grande puissance de demain".
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Spartacus Kouros Messages : 2078 Date d'inscription : 13/03/2010 Age : 58 Localisation : Les arènes
Sujet: Extrait des cahiers de la SS : "L'Islam, grande puissance de demain". Mer 2 Juil - 11:59
L'Islam,grande puissance de demain.
La mort soudaine du jeune roi Ghazi 1er d'Irak qui, il ya environ un mois s'écrasa avec sa voiture contre un arbre et succomba au bout de quelques heures à ses blessures graves, rassembla de nouveau le monde arabe tout entier par esprit de communauté et de solidarité. La première réponse spontanée à cet évènement fut l'assassinat du consul britannique à Moscou qui fut lapidé à mort par les Arabes.
La raison:
- dans les cercles arabes à l'instinct aiguisé par le combat défensif mené durant des années, on ne croit pas à un accident mais on considère le jeune roi comme une nouvelle victime des services secrets britanniques qui ont aussi sur la conscience la mort du père de Ghazi, le roi Feyçal 1er. Le roi Feyçal mourut soudainement et de façon inattendue en 1933 à Berne.
Au début,sa mort fut attribuée à certains magnats du pétrole. Aujourd'hui,on sait de façon certaine que Feyçal fut empoisonné par les Anglais. Mais la mort de Ghazi attire de nouveau l'attention sur les arrières plans devant lesquels se sont joués,durant ces dernières années, des évènements d'une grande importance au sein du monde arabe.
L'observateur politique attentif se posera donc obligatoirement la question:
- Quels rapports existent ici et dans quelle mesure est-il possible de mettre en relation un phénomène politique, religieux ou idéologique avec ces évènements ?
On doit cependant éviter de commettre l'erreur de considérer les notions de "monde arabe" comme quelque chose de complètement homogène en soi,car l'arabisme dans l'Afrique du Nord française obéit à des lois totalement différents de l'Egypte,et les formes d'expression religieuse chez les Wahabites d'Ibn Séoud divergent totalement de celles des Arabes de Transjordanie. Des exigences nationalistes déterminées par la tribu de même que des différences culturelles et religieuses créent une image si complexe et mouvementée, des intérêts dynastiques et des liens politiques avec quelques grandes puissances européennes ont des répercussions tellement différentes qu'il est difficile de parler simplement d'un style de vie unique,organisé et fondé sur des lois établies. Et cependant,un tel type de vie existe.Pas dans un sens étatique. Pas davantage dans la similitude totale des croyances religieuses, pensons seulement aux nombreuses sectes existant au sein de l'islam, mais cette communauté élevée se fonde sur une réalité qui est très difficilement compréhensible à l'Européen.
C[/b]e qui unifie les Arabes sans doute jusqu'à un certain point dans leur combat de libération contre la domination étrangère britannique, c'est le nationalisme ardent de même que le désir d'être libre et d'avoir un Etat indépendant. A l'origine de cela se trouve,certes différente selon les tribus,mais pourtant formant finalement une unité, cette religion qui est devenue, en tant que doctrine du prophète Mahomet,une puissance internationale d'une importance de premier ordre, qui désire se manifester sous des conditions totalement nouvelles et se révèle être actuellement une puissance politique mondiale. Toutefois, lorsqu'on s'interroge sur la nature de ce qui constitue ces forces puisant leur vitalité à cette source intarissable,on doit revenir à l'époque où l'islam vécut son premier contact avec le monde occidental. Dans ces confrontations entre le monde occidentalo-chrétien et orientalo-islamique qui ont exercé une influence décisive sur toute l'évolution de l'islam,l'Orient était l'élément actif jusque vers la fin du XVIIe siècle.
Puis se produisit une pause passagère dans les combats jusqu'à ce que Napoléon, de son côté,ait étendu l'ardeur belliqueuse de l'Occident à l'Orient et ait ainsi été à l'origine d'une évolution caractérisée par un combat constant entre l'Orient et l'Occident qui atteint dans la Grande Guerre son point culminant avec la décadence de l'Empire turc d'Osman. Pour la première fois dans l'histoire de la communauté arabe, les années suivantes ont peut être mit le problème tellement en évidence qu'il est maintenant possible de définir de façon plus réaliste,la nature des multiples forces de ce mouvement et ses émanations dynamiques.
Il est un fait établi que l'islam a cessé d'être une simple doctrine religieuse et qu'il a plutôt représenté une liaison entre un pur nationalisme et un fanatisme religieux. Mais aujourd'hui,l'univers commun de l'islam est formé plus vivement que jamais par le sentiment d'une communauté de destin oriento-islamique naturellement hostile à tout ce qui est occidental. Il trouve sa plus forte et plus puissante expression dans cette opposition à l'Occident et au christianisme. On doit cependant faire une parenthèse: cette communauté de destin du monde arabe sur arrière-plan islamique n'a rien à voir avec la prétendue idée panislamique telle qu'elle fut propagée autrefois par les califes turcs et qui visait à la création d'un grand Empire islamique unit. Surtout durant l'époque d'avant-guerre,ce mouvement formait un élément avec lequel il fallait compter politiquement puisqu'il était précisément le fruit de raisons liées à une nécessité politique. Mais il se décomposa avec la chute de l'Empire d'Osman,lorsque les revendications des tribus et les mouvements nationaux multiples se ravivaient parmi les Arabes, les musulmans se combattant mutuellement quand cela devait servir leurs objectifs politiques. Le souvenir de la "guerre sainte" est encore partout vivace,à laquelle l'avant-dernier-sultan appela les croyants en Mahomet contre les Alliés et qui fournissait un piètre témoignage d'une idée panislamique.
Il serait beaucoup plus judicieux aujourd'hui,à la place d'un mouvement panislamique dans l'esprit de celui du sultan,de parler d'un nationalisme islamique qui,certes, a des origines aussi différentes que celles de chaque tribu,mais qui partout, et en cela réside son importance décisive,représente la même alliance entre les forces nationales et religieuses. Mais cette corrélation s'exprime sans doute mieux dans cette partie du monde islamique qui est aussi devenue le point de départ de la doctrine de Mahomet:
- dans l'espace vitale arabe du Proche-Orient. (Dans ce contexte,on ne peut oublier que les adeptes de l'islam ne sont pas seulement arabes,mais qu'il y en a aussi en Inde,au Japon, dans les Indes néerlandaises, les Balkans,etc..,qui ne possèdent du reste pas le moindre rapport racial avec les Arabes islamiques !). Et ici,dans le monde exclusivement arabe,l'islam a créé un mouvement lié aux idées nationales que l'on a appelé panarabisme et où s'exprima le front défensif le plus fort ou plus précisément l'hostilité la plus violente envers l' Europe et le christianisme qui soit parti de ce territoire depuis la progression des Maures en Espagne. (Du reste,comparons les monuments culturels et les trésors artistiques admirables que les Maures ont produit d'une volonté artistico-culturelle provenant d'esprits et de sensibilités totalement dérangés !). Cette opposition se manifeste particulièrement là où les formes de vie politique sont encore imprégnés de manière visible par l'esprit de combat, comme en Palestine, en Algérie et dans d'autres centres de la lutte pour le pouvoir. Et ici,au coeur de cette zone de combat,se trouve aussi ce lieu qui constitue en quelque sorte le moteur du mouvement panarabe et qui représente à la fois le coeur spirituel et religieux de cette gigantesque lutte,c'est-à-dire l'université du Caire El-Ashar célèbre depuis des siècles. De ce point de concentration énorme d'énergie religieuse et politique sortent annuellement d'innombrables professeurs et chefs allant dans toutes les parties du monde arabe pour prêcher la haine de toute domination étrangère. Les instituts musulmans restants à Damas ou à Fez sont également des points de rassemblement de l'élite dirigeante islamique d'où les professeurs musulmans, nommés "ulémas" partent sur le front du combat et suscitent une nouvelle impulsion belliqueuse dans les petites mosquées et les lointains villages de Bédouins.
En rapport avec les efforts panislamiques du califat turc,il est important de mentionner encore ce qui suit:
- L'abolition du califat par Kémal Ataturk,le créateur de la nouvelle Turquie, décédé il y a quelques mois,n'était dirigé aucunement contre l'islam en tant que tel.
En substance,il était impératif de soustraire la jeune Turquie aux problèmes des Etats arabes restants ayant quitté le vieil Empire d'Osman pour garantir de cette manière l'édification du jeune Etat turc que de durs sacrifices avaient rendu possible. C'est ce qui détermina cette séparation du sultanat et du califat, qui fut suivie ensuite dans le cours de l'évolution par l'abolition complète mais pas totalement définitive du califat (donc de l'autorité religieuse de tous les mahométans). Le fait que le califat lui-mme fut ensuite aboli ne doit pas être attribué à des personnalités arabes déterminées qui voulaient ainsi détruire définitivement à la source tous les espoirs réactionnaires d'une renaissance du vieil Empire osmanique. A la suite d'évènements particuliers sur lesquels on ne peut s'étendre, l'évolution ultérieure de la Turquie a alors abouti à une séparation certaine entre Etat et l'islam de telle sorte que la Turquie occupe aujourd'hui une sorte de position particulière par rapport aux Etats arabes restants.
Mais en outre,l'énorme force d'attraction qu'exerce aujourd'hui comme autrefois le lieu saint de l'islam sur tous les croyants,la ville de pélerinage de la Mecque, démontre la force du sentiment d'appartenance commune à tous les musulmans. Chaque année s'y rassemblent les pélerins de toutes les parties du monde. Ils y reçoivent de nouvelles forces pour leur combat religieux et également politique et les musulmans, s'élevant à environ 250 millions d'hommes dans le monde entier, ressentent constamment le profond sentiment d'une communauté indissoluble. Il s'agit,certes,d'une communauté religieuse présentant les traits évidents d'un anti-occidentalisme et qui est par là le fondement d'un combat politique.
..../....
Spartacus Kouros Messages : 2078 Date d'inscription : 13/03/2010 Age : 58 Localisation : Les arènes
Sujet: Re: Extrait des cahiers de la SS : "L'Islam, grande puissance de demain". Mer 2 Juil - 12:03
L' une des différences de nature la plus notable contre le christianisme et l'islam se manifeste ici aussi. Dans tous les rêves de pouvoir et principalement dans les convoitises impérialistes constamment exprimés,par exemple,par l'Eglise catholique au cours de l' Histoire, le christianisme a été largement exclu des dernières prises de décisions politiques dans tous les pays d' Occident. Cela ne veut pas dire que celui-ci n'aurait pas participé aux conflits du passé: mais lors des prises de décisions et des impératifs,il agissait contre l' Etat et ainsi contre l'évolution politique de l' Occident. En revanche,l'islam a pu motiver et influencer largement les décisions politiques d'un point de vue religieux,a nouveau contrairement au christianisme,c'est parce que, pour les Arabes comme pour les musulmans,la religion est tout simplement l'expression de leur forme de vie naturelle de telle sorte qu'un choc des deux pouvoirs comparable au heurt de l'empereur et du pape dans le monde occidental ne pouvait absolument pas avoir lieu. Mais dans le monde arabe existent aussi,comme nous l'avons déjà vu,des oppositions qui sont exploitées aujourd'hui principalement par les Anglais pour empêcher une fusion de tous les arabes. Mais toutes ces divisions sont toutefois secondaires,même si elles persistent,tandis que l'islam s'unit au nationalisme en cette synthèse que nous avons appelée panarabisme,et qui,en tant que future grande puissance,fera face aux puissances européennes encore incapables de prendre clairement position.
Dans ce contexte,un homme mérite une attention particulière. L'une des personnalités dirigeantes arabes qui jouera un rôle déterminant,c'est Ibn Séoud, le roi de l' Arabie-Saoudite,le plus grand Etat arabe actuel. Ce guerrier et diplomate intrépide,ayant à peine 20 ans et issu de la ville portuaire du Koweit dans le golfe Persique,entra de force à Er Riad ,la capitale de l'Empire arabe,en 1901,avec une poignée de Bédouins téméraires et reconquit ainsi le pays de ses pères. Il chassa en 1924 le roi Hussein de Hedjaz alors que celui-ci voulait se nommer lui-même "calife",conquit très rapidement tout le Hedjaz avec ses soldats bien équipés et annexa à son domaine comprenant aujourd'hui indirectement le Yémen après avoir contraint l'imam du Yémen à se soumettre. Cet Arabe orthodoxe de la secte des Wahabites compte aujourd'hui parmi les figures présentes sur l'échiquier arabe et sur lesquelles comptent beaucoup de musulmans espérant un rétablissement du califat. La secte des Wahabites se différencie du reste des sectes islamiques par le fait qu'elle purifie de nouveau la foi mohamétane de toutes les adjonctions et l'exprime au travers d'une règle de vie presque puritaine . La libération du dogmatisme théologique et le retour à la doctrine telle que le Prophète l'a annoncé sont les caractères principaux de cette communauté du reste extraordinairement morale des Wahabites.
On ne sait pas encore aujourd'hui si Ibn Séoud abordera la problème dans le sens panarabisme renforcé,cette alliance entre le nationalisme et l'islam caractéristique de l'évolution tracée. " La guerre sainte" d'autrefois était une belle formule mais en réalité totalement vide de sens. " La guerre sainte" de demain sera placée sous le drapeau vert du Prophète et la bannière du panarabisme,et cependant aussi du monde occidental, obligeant ainsi le monde arabe à définir clairement ses sphères d'intérêts.
Correspondant aux armées.SS-Alfred Püllmann.
Source : L'ordre SS: éthique et idéologie Thibaut Edwige
Spartacus Kouros Messages : 2078 Date d'inscription : 13/03/2010 Age : 58 Localisation : Les arènes
Sujet: Re: Extrait des cahiers de la SS : "L'Islam, grande puissance de demain". Mer 2 Juil - 12:06
13. Waffen Gebirgs Division der SS Handschar
(Waffen-SS de la division Handschar)
Zvonimir Bernwald, der sich 1942 freiwillig zur Waffen-SS meldete, beschreibt, welche Gemeinsamkeiten zwischen dem Islam und dem Nationalsozialismus propagiert wurden, um den Kämpfern in der sogenannten Handschar die NS-Ideologie nahe zu bringen. Die "Handschar" war eine Division der Waffen-SS, die vor allem auf dem Balkan eingesetzt wurde.
Icare Kouros Messages : 745 Date d'inscription : 27/03/2010 Age : 58 Localisation : Thira
Sujet: Re: Extrait des cahiers de la SS : "L'Islam, grande puissance de demain". Ven 4 Juil - 8:18
Grandeur de l’Islam !
De la tribu de Mahomet au califat omeyyade, de la dynastie des Abbassides à l’Empire ottoman, la civilisation islamique a étendu son influence sur le monde. Saladin, Saint Louis, Tamerlan, Mamoun et Genghis Khan vont se croiser ici, en mille ans d’une épopée narrée avec talent par l’auteur, mais aussi et surtout par les textes des poètes, des historiens ou des aventuriers qui l’ont racontée au fur et à mesure de son déroulement. Soumission du Maghreb, conquête de l’Espagne, prise de Constantinople, islamisation des Balkans et de la Perse, la civilisation musulmane, elle-même nourrie de la métaphysique grecque, a fécondé en retour la pensée occidentale, de l’Andalousie jusqu’aux portes de l’Orient.
Mais l’Islam, ensemble de peuples différents priant tous en direction de La Mecque, c’est aussi une volonté d’unir le religieux et le politique tout en maintenant le dogme à l’abri des représentations philosophiques. De cette volonté naîtra ce qui fait peut-être l’apogée de sa grandeur :
- une tentative pour harmoniser, tout au long des siècles, la Foi, l’amour de Dieu et la Raison.
Gaston Wiet (1889-1971) est un orientaliste français, diplômé de l’École des langues orientales et licencié en droit. Il enseigna l’arabe et le turc comme maître de conférences à Lyon, puis comme professeur au Caire. En 1914, il est mobilisé et sera décoré de la médaille d’or serbe pour la bravoure. Il reprend ensuite ses activités d’enseignement à Lyon, puis à Paris, avant d’être nommé directeur du musée d’art arabe du Caire de 1926 à 1951, dont il écrit une grande partie du catalogue. De retour en France, il est nommé professeur de langue et littérature arabes au Collège de France, et en 1957 sera élu à l’Académie des inscriptions et belles-lettres. Il a rédigé de nombreux ouvrages et a également traduit et annoté les écrits d’un grand nombre d’auteurs arabes, aussi bien anciens que contemporains.