Pierre-Philippe Preux est un professeur d'histoire chargé du lien entre l'université de la Sorbonne
(Paris IV) et l'association
Yahad-In Unum présidée par le
Père Patrick Desbois:
il est donc payé par l'Etat.
Mais il est payé par l'Etat non pas pour enseigner l'histoire à ses élèves mais,
en tant que collaborateur du Père Desbois, pour se promener
de lycée en lycée afin de diffuser les mensonges que l'on sait
sur "
La Shoah par balles" et...traumatiser les élèves.
On lira d'abord ce que publie ce jour le site du "
quotidien de la Vienne","
Centre Presse",
sis à Poitiers; puis, l'article ci-joint de
Camille-Marie Galic intitulé
"
Volée de Desbois vert pour un 'sacré farceur' " et publié le 26 juin 2009
dans l'hebdomadaire "
Rivarol" (Tour Ancône, 82 boulevard Masséna, 75013 Paris); et, enfin,
on se rendra à:
robertfaurisson.blogspot.com
pour retrouver les articles consacrés par le Pr Faurisson à ce sujet. http://robertfaurisson.blogspot.it/search?updated-min=2014-01-01T00:00:00-08:00&updated-max=2015-01-01T00:00:00-08:00&max-results=12< START>
Historien de la "
Shoah par balles"9 avril
Dans la salle de théâtre du lycée Louis Armand, les 130 élèves de classes de première sont restés
profondément silencieux pendant la conférence.
Médusés par l'histoire effroyable de la Shoah par balles, racontée par Pierre-Philippe Preux,
enseignant et historien.
Membre de l'association Yahad-In Unum (Ensemble, en hébreu), il a entrepris depuis six ans
un long travail méthodique sur l'histoire de l'extermination de plus 1,5 million juifs en Ukraine
entre 1941 et 1944 par les "
einsatzgruppen".
Il a minutieusement inspecté les archives des tribunaux allemands et des commissions soviétiques, puis parcouru les régions d'Ukraine
dans le but d'identifier des témoins oculaires du génocide
encore vivants aujourd'hui.
Enfants ou adolescents à l'époque des faits, cachés ou réquisitionnés pour creuser
et reboucher les fosses,ils parviennent, parfois au terme de longs échanges
permettant d'établir la confiance, à livrer leurs histoires tragiques
et monstrueuses.
-- Des élèves "touchés" --L'attention de la salle est à son comble quand Pierre-Philippe Preux
est lui-même envahi par l'émotion à l'évocation de l'histoire d'Olga,
une babouchka qui "
rend visite" tous les jours à sa copine d'école,
Hanna, qui sera tuée devant ses yeux par les nazis.
Les élèves se risquent à quelques questions:
- y a-t-il eu des rébellions de tueurs?
- Avez-vous rencontré des bourreaux?
- Aujourd'hui, les Ukrainiens ont-ils de l'empathie pour le peuple juif ?
- Clara est "
bouleversée par les témoignages invraisemblables",
- Zoé est inquiète de "
la réapparition de mouvements négationnistes et antisémites",
- Eve "
prend conscience de la proximité de la chose".
Visiblement, le message sur le devoir de mémoire est passé.
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