L'industrie de l'Holocauste.
En tout cas
Finkelstein est l'ennemi à abattre, c'est clair!
Il a écrit un livre dont le titre, révélateur,est
"l'Industrie de l'holocauste" et qui dénonce la gestion (toute personnelle) des dédommagements,
théoriquement, destinés aux survivants par le congrès juif mondial (et affiliés).
On y apprend par exemple que ce Congrès est fabuleusement riche
et que les survivants n'ont quasiment rien reçu de cette manne financière.
Il y est aussi dit que les banques suisses, au final, n'ont jamais été reconnues coupables
de quoi que ce soit mais que sous la pression du
Congrès juif et de leurs "alliés américains"
les banques ont préférés payer.
Vous trouverez ci dessous une émission de la télé suisse qui traite du sujet.
Le passage où les représentants de la communauté s'enfoncent la tête
dans les épaules au moment où le président des banques suisses dit:
"on est coupable de rien mais on a préféré payer devant les menaces".
est un grand moment.
Impensable de voir cela en France !
S'adresser à l'éditeur de l'édition originale:
VERSO UK/ 6 Meard Street, London W1V 3HR.
Après l'affaire Papon,la France paie (merci Jacques Chirac).http://liberation-44.forumactif.org/t1225-le-proces-de-maurice-papon-le-proces-de-la-france?highlight=Proc%E8s+paponLe 22 février nous diffusions un message intitulé "
Pourquoi votre billet SNCF va encore augmenter"
dans lequel nous signalions qu'aux Etats-Unis un ancien déporté, Léo Bretholtz,
avait lancé une pétition réclamant des réparations à la SNCF pour indemniser
les victimes de l'Holocauste et leurs familles installées aux Etats-Unis après la guerre.
Léo Bretholtz vient de mourir mais qu'on se rassure: la relève est assurée par Rosette...
Et les affaires ne s'arrangent pas (voir notamment le dernier alinéa)...
http://www.lapresse.ca/international/etats-unis/201403/10/01-4746371-rosette-goldstein-demande-reparation-a-la-sncf-pour-son-pere.php< START>
Rosette Goldstein demande réparation à la SNCF pour son père
10 mars 2014
ANNE RENAUT
Agence France-Presse
"Convoi n°64 en date du 7 décembre 1943": 70 ans après l'holocauste, Rosette Goldstein,
75 ans est venue lundi à Annapolis, dans l'est des Etats-Unis, réclamer réparation à la SNCF
pour le transport de son père vers les camps de la mort.
Tenant devant elle un registre des trains vers les camps d'extermination nazis,
elle a les larmes aux yeux quand elle y cherche le nom de son père, David Adler,
avant de témoigner devant des élus du Maryland (est) qui menacent de priver le groupe ferroviaire
français de contrats aux Etats-Unis pour son rôle dans la Shoah.
Du Maine-et-Loire en 1943, "mon père a été emmené par camion jusqu'à la gare, mis dans un train
de la SNCF jusqu'à Drancy. Emmené par le convoi 64 (...) de Drancy jusqu'à Auschwitz"
et est mort de travail forcé dans un autre camp, a-t-elle raconté aux élus, très émue.
"Je voudrais tellement qu'ils disent 'on le regrette' ", a estimé la petite femme brune, qui témoignait
à la place de l'ancien déporté Leo Bretholz, décédé samedi.
M. Bretholz, rescapé après avoir sauté d'un train en octobre 1942 qui l'emmenait vers Auschwitz,
a lancé une pétition qui a réuni plus de 150 000 signatures, réclamant à la SNCF d'indemniser
les victimes et leurs familles transportées vers les camps de la mort.
Réquisitionnée par le régime de Vichy, la SNCF a déporté 76 000 juifs dans des wagons de marchandises
à travers le pays et vers les camps d'extermination entre 1942 et 1944.
Environ 3000 d'entre eux seulement ont survécu, selon la SNCF.
"
S'ils étaient payés (par le gouvernement de Vichy) par personne, et par kilomètre,
ils doivent verser des réparations au moins par personne.
Sinon tout ce qu'ils font avec des mots, c'est juste du vent", s'est exclamée la petite-fille
d'autres victimes de l'holocauste, Ellen Lightman, 67 ans, devant la même commission
de la Fiscalité de la Chambre du Maryland.
Alain Leray, président de SNCF America, venu témoigner lui aussi, déclare qu'il
"
comprend aujourd'hui les sentiments de ceux qui accusent aujourd'hui la SNCF".
-- "Sous la contrainte" --Mais il dénonce une "
campagne de désinformation".
"Nous étions sous commandement allemand.
Nous avons été un rouage dans la machine de guerre nazie.
Nous avons agi sous une contrainte qui malheureusement était tellement forte
qu'on ne pouvait pas y échapper", explique M. Leray, lui-même fils de survivants de la Shoah,
âgé de 54 ans.
Il explique aussi que la SNCF ne peut pas indemniser des "
faits de déportation",
car ces faits relèvent de l'Etat français.
Le gouvernement français a à cet égard initié le 6 février des négociations avec le gouvernement
américain pour éventuellement indemniser des victimes américaines,et leurs familles ,
transportées par la SNCF entre 1942 et 1944.
Il s'agit notamment de considérer les Américains qui ne remplissaient pas les critères français
de compensation.
Car le mécanisme français de compensation des victimes de la déportation couvre tous les citoyens
français et les résidents qui se trouvaient en France mais seulement jusqu'au 1er septembre 1939.
Pour le délégué du Maryland Kirill Reznik, la SNCF est "
directement responsable" du transport
des victimes de la Shoah, et doit verser des indemnités aux victimes avant de pouvoir postuler
à un appel d'offres.
L'élu a déposé un texte de loi dans ce sens.
"
On a une facture de la SNCF qui demande d'être payée par tête, par kilomètre" dénonce l'élu.
Si ce texte est adopté, il interdirait notamment à la SNCF de se porter candidate,
via sa filiale Keolis America, à un projet public-privé de 6 milliards de dollars dans le Maryland,
portant sur la création et l'exploitation d'une ligne ferroviaire de 25 kilomètres.
"Ce groupe ne peut pas opérer la ligne (nommée) Purple sans avoir (...)
pris les mesures qui refermeront les blessures qu'il a engendrées", a estimé M. Reznik.
La SNCF est aussi visée par un autre projet de loi, déposé fin juillet 2013 au Congrès,
qui permettrait au groupe ferroviaire d'être poursuivi devant des tribunaux américains
en dépit d'une loi américaine qui lui garantit l'immunité en tant que société étrangère.
< END>