Nous sommes bien en retard pour signaler à nos correspondants
que ce jour,21 février, était pour les révisionnistes le jour
anniversaire d'une déclaration que le Bulletin de réinformation
quotidien de la station de radio
Radio Courtoisie n'a pas manqué de rappeler dans son éphéméride.
On peut encore l'écouter ce soir et jusqu'à demain matin 7 heures
à l'adresse suivante:
http://www.radiocourtoisie.fr/Cliquer à droite sur le rectangle noir:
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Ephéméride
Le 21 février 1979, le quotidien "
Le Monde" publiait
une solennelle d'historiens sur les chambres à gaz homicides.
Ce texte, rédigé par Léon Poliakov et Pierre Vidal Naquet,
comportait 32 autres signatures parmi lesquelles celles, prestigieuses,
de Philippe Ariès, Fernand Braudel, Pierre Chaunu,François Furet, Jacques Le Goff,
ou encore Emmanuel Le Roy Ladurie.
Ce texte se conclut par ces mots, je cite :
"Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre
de masse a été possible.
Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu.
Tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet.
Cette vérité, il nous appartenait de la rappeler simplement :
il n’y a pas, il ne peut y avoir de débat sur l’existence
des chambres à gaz."
Fin de citation.Il ne faut pas se demander comment 34 crânes d’œuf
de la recherche historique française ont pu ne pas voir l'ambiguïté ,
pour le moins, d'une telle conclusion, puisqu'ils l'ont signée...
Il fallut la loi Gayssot du 13 juillet 1990 pour clarifier la situation :
- par son article 9, cette loi qualifie en effet sans ambiguïté de délit
la contestation de l'existence des crimes contre l'humanité,
tels que définis dans le statut du Tribunal militaire international
de Nuremberg, de 1945.
En revanche, la loi du communiste Gayssot n'interdit pas
la contestation du génocide des Ukrainiens par les bolcheviks
dans les années 32 33, qui fit entre sept et dix millions de morts.
C'est ainsi, par exemple, que tout tranquillement l'historienne communiste
Annie Lacroix Riz a pu enseigner pendant des années la négation
de ce génocide à ses étudiants de Paris VII...
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