Il est de plus en plus évident que, si l'affaire Dieudonné cause les remous(bel euphémisme !)
qu'on connaît, ce n'est pas tant parce que l'humoriste tient des propos "antisémites" ,
rappelons que c'est l'antisémitisme qui favorise la cohésion de la communauté juive,
mais c'est le fait qu'il touche à la sacrée "Shoah".
Nous conseillons à nos lecteurs de prendre leur souffle avant de lire l'éditorial héroïque
que vient de publier l'hebdomadaire "
Rivarol" ulcéré par la décision inique
du Conseil d'Etat dans la même affaire (un seul juge - un juge unique ! -,
détruisant en 2 heures de temps une jurisprudence établie).
Bravo à l'éditorialiste Jérôme Bourbon (RIVAROL, 82 bd Masséna, 75013 Paris,
n° 3124 du 16/01/2014):
http://www.rivarol.com/Rivarol.html< START>
L’insupportable police juive de la pensée
Au moment des débats précédant le vote de l’infâme loi Fabius-Gayssot, en1990,
Annie Kriegel, alors journaliste au "Figaro", aujourd’hui décédée,avait dénoncé
"
une insupportable police juive de la pensée".
Ses craintes se sont révélées parfaitement fondées :
l’on ne compte plus les personnes qui ont été condamnées à de fortes amendes
voire à des peines de prison ferme pour avoir contrevenu à cette législation d’exception.
Et ce que nous voyons et entendons depuis quelques semaines montre de manière éclatante
que nous vivons en pleine tyrannie juive. Les choses sont très claires :
- on peut rire de tout en France sauf des juifs et de la sacro-sainte Shoah.
On peut donner des spectacles odieusement blasphématoires comme "Golgotha Picnic"
avec le soutien bruyant du ministre de l’Intérieur et de tout le gouvernement ;
des lesbiennes ukrainiennes financées par le milliardaire juif Soros peuvent mimer
un avortement à l’église de la Madeleine en toute impunité, souiller délibérément
des édifices catholiques ; on peut insulter dans des chansons, des sketches,
des émissions de radio et de télévision du service public les catholiques, les blancs,
les Français sans aucune limite mais en revanche l’on ne saurait se moquer
du "
peuple sûr de lui et dominateur".
Tous ces gens-là dont l’impudence et l’hystérie sont proprement effrayantes n’ont aucun humour.
Il suffisait pour s’en persuader de voir l’autre jour sur i-télé le débat sur l’affaire Dieudonné
entre le dessinateur Plantu et le philosophe autoproclamé Finkielkraut qui suait la haine
et était incapable de se contenir :
- l’on a affaire à de grands malades, à des fous furieux.
Heureusement comme toujours Eric Zemmour , accusé par "Le Nouvel Obs’"
d’être pourvoyeur de haine comme Soral et Dieudonné, telle était la une de l’hebdo jeudi dernier, s’est démarqué de ses coreligionnaires les plus bruyants et les plus excités en dénonçant
"
le partenariat communautariste" entre Valls et le CRIF, en disant son opposition
à la loi Gayssot et en dénonçant fermement la décision du Conseil d’Etat. Honneur à lui !
Selon le processus d’inversion accusatoire les puissants qui nous dirigent projettent
sur les autres ce dont ils sont eux-mêmes coupables.
Ils dénoncent sans cesse la haine qui serait distillée par Dieudonné mais qui répand la haine
à flots continus ?
Qui organise la traque, la chasse à l’homme contre le plus génial humoriste français
depuis trente ans ?
Ce qui se passe actuellement rappelle ce que l’on a vécu en 1999 contre le nonagénaire
Maurice Papon qui était alors recherché par toutes les polices et traqué comme une bête
sauvage par tous les grands media.
Lors de son procès à Bordeaux il n’avait pu trouver à se loger car des dirigeants
de la communauté juive avaient menacé les établissements hôteliers qui le recevraient.
Cela rappelle la cabale contre les magistrats qui, au début des années 1990, avaient eu
le courage en appel de décider d’un non-lieu pour Paul Touvier, arrêt qui fut évidemment cassé
par la cour de cassation.
Car l’on ne saurait faire la moindre confiance aux institutions judiciaires.
De même qu’avec Hollande et Valls au pouvoir la France devient plus que jamais
un territoire occupé par le sionisme et le judaïsme international, de même l’on sait désormais
que le Conseil d’Etat est un tribunal rabbinique.
La décision rendue de toute urgence le 9 janvier à la demande expresse de Valls marié
à une femme juive et clamant son attachement éternel à Israël est une ignominie.
Elle rompt radicalement avec la tradition du droit public français et, par un soudain retournement
de jurisprudence, place sous étroite surveillance les humoristes mais aussi les hommes politiques
qui devront plus que jamais passer sous les fourches caudines du judaïsme politiquement organisé. Faudra-t-il désormais une autorisation préalable du CRIF,
de la LICRA, des Klarsfeld et de BHL pour pouvoir s’exprimer en public ?
Preuve de l’insupportable impudence du Système qui nous opprime, l’unique magistrat
à avoir rendu cette décision scélérate au Conseil d’Etat est un juif, Bernard Stirn,
arrière-petit-neveu du capitaine Dreyfus (comme quoi depuis cette époque c’est toujours
la lutte des mêmes contre les mêmes!), frère d’Olivier Stirn, ce ministricule de Michel Rocard qui,
en 1990, avait recruté des auditeurs payés afin de faire nombre dans un colloque sur l’avenir
de la gauche (les recrutés avaient tous quitté la salle à 18 heures, heure de fin de leur contrat, pendant un discours d’orateur, laissant la salle quasiment vide hormis les personnalités
du Parti socialiste) et qui fut membre du comité France-Israël (cette mention a d’ailleurs curieusement été supprimée de sa fiche Wikipedia en pleine affaire Dieudonné).
Il est scandaleux que ce soit un israélite qui interdise un spectacle où il est question des juifs.
C’est un peu comme si l’on faisait juger un assassin par le père de la victime ou comme
si l’on chargeait les prostituées de la défense de la morale et de la famille.
D’évidence cette décision sur mesure de la plus haute juridiction administrative du pays
a été prise en accord avec Valls. Il s’agit d’une mascarade qui ne fait pas honneur à notre pays.
Et les vivats des journalistes du Système s’époumonant "
La République a gagné" sont particulièrement indécents.
C’étaient les mêmes cris de victoire qu’ils poussaient le 6 mai 2002 lorsque Jacques Chirac
avait été réélu avec 82 % des voix contre Jean-Marie Le Pen à l’issue d’une quinzaine
de la haine où il avait déjà été question ad nauseam de la Shoah, d’Hitler et de l’antisémitisme :
"La France a gagné", "Vainqueurs les Français" titraient alors les gazettes.
Qu'on ne s’y trompe pas : les heures les plus sombres de notre histoire, ce ne sont pas
les années 1930 ni les années 1940, c’est aujourd’hui que nous les vivons.
Nous sommes en effet dirigés, étouffés, opprimés par une minorité qui se croit tout permis
et qui ne souffre même plus les saillies drolatiques d’un chansonnier.
Leur monde est une prison. Notre insurrection intellectuelle et morale est totale.
RIVAROL<
jeromebourbon@yahoo.fr>
< END>
On pourra nous réclamer la traduction en allemand de cet éditorial.
Source :
http://www.rivarol.com/Rivarol.html