Mon défi : "Gazez-moi !"

Le défi choc de Vincent Reynouard et Siegfried Verbeke.

Dans cette vidéo, Vincent Reynouard lance un ultime défi à ses adversaires, historiens ou non.
Il leur propose d'organiser une reconstitution d'un gazage afin de vérifier la valeur des "témoignages" qui affirment tous que la mort des victimes était très rapide
(moins de dix minutes). Or, avec d'autres révisionnistes, Vincent Reynouard estime
que c'est impossible :

- l'acide cyanhydrique contenu dans les pastilles de Zyklon B ne s'évapore jamais assez vite.
Vincent Reynouard et Siegfried Verbeke sont prêts à servir de cobayes, c'est-à-dire à entrer
dans la "chambre à gaz" et y rester "quelques minutes" (temps à fixer)...
Quelle sera la réponse des adversaires ?

"Gazez-moi" : suite et fin ?

Défi : suite et fin ?

Dans cette deuxième vidéo, Vincent Reynouard rappelle qui, en avril 1991,
a lancé l'idée d'une reconstitution d'un gazage avec des êtres humains.
Il s'agit d'Henry Bulawko, qui fut président de l'Association des anciens déportés
juifs de France, internés et familles de disparus.
Après avoir rappelé la réponse du professeur Faurisson et cité une partie de l'introduction
du tome VII de ses "Ecrits révisionnistes", Reynouard explique ce qu'il attend
de ses adversaires au cas où ils répondraient à son invitation :

1. la preuve de l'existence des quatre "colonnes d'introduction du Zyklon B"
dans la prétendue "chambre à gaz" du crématoire 2 du camp de Birkenau.

2. que dans le cadre de la reconstitution, ils pénètrent dans le local
comme Rudolf Höss l'a décrit, c'est-à-dire vingt minutes après l'envoi du gaz,
alors que l'aération vient tout juste d'être mise en route et sans aucune protection.

scratch

Pourquoi les tenants de la thèse officielle, refuseront-ils ?

Ce serait reconnaître devant des preuves matérielles,
l'impossibilité de leur thèse....

Non parceque d'abord personne n'autorisera la "re-construction" d'une chambre à gaz,
même comme les témoins l'ont décrite.
Ensuite personne n'invitera des "négationnistes" à faire entendre leur voix.
Aucun état, aucun gouvernement ne s'y risquera, car leur donner la parole,
c'est déjà accepter qu'un dialogue est possible avec eux.
Ensuite, pour de simples raisons de sécurité sanitaire et publique aucun ministre
de la Santé n'accordera d'autorisation.
Donc, toutes les meilleures raisons seront données pour que cette "expérience"
ne se fasse pas, et les opinions publiques en conviendront.
La "reconstitution" du témoignage de madame Rouffanche (drame d'Oradour)
a été demandée, à plusieurs reprises et pourtant là on ne pouvait invoquer
de risque sanitaire. Celà a toujours été refusé.
Donc j'en conclus que la demande de Vincent Reynouard ne rime à rien.
A mon avis, il a suffisamment de documents à faire valoir pour contre-battre
les thèses de ses adversaires qui sont, eux, protégés par la Loi.
Qu'il continue dans cette voix !