Dans notre dernier message nous avons parlé d'Emmanuel Ratier sans savoir
encore que sa librairie, la Librairie Facta (4 rue de Clichy, 75009 Paris),
avait été attaquée cette nuit. Voici ce qu'écrit le Pr Faurisson :
< START>
Le Clan des Vénitiens (Blog des Amis de Paul-Eric Blanrue) annonce et montre
que la librairie d'Emmanuel Ratier a été attaquée.
Adresse email d'E. Ratier :
<
remmanu@free.fr>
Bien à vous. RF
<
http://blanrue.blogspot.fr/2013/12/la-librairie-facta-demmanuel-ratier-4.html>
http://blanrue.blogspot.fr/< END>
Bocage éprouve beaucoup d'admiration pour le travail gigantesque et précis que fait
Emmanuel Ratier depuis tant d'années et vous recommande de lui envoyer un message
de sympathie à l'adresse indiquée.
Hier soir, sur la chaîne de télévision FR2, à 20h 30 était diffusée une émission présentée
par le journaliste Laurent Delahousse. L'émission avait pour titre "Pétain".
Dès ce matin le journaliste recevait de l'un de nos correspondants le message suivant,
dûment signé:
< START>
A M. Laurent Delahousse,
Journaliste à FR2,
7 Esplanade Henri de France
75015 Paris
Le 11 décembre 2013
Objet: vos commentaires sur "Pétain"
Monsieur,
La qualité d'un journaliste devrait être l'indépendance.
Vous avez choisi, par carriérisme, le chemin de la collaboration avec le Système,
ce même Système qui continue de refuser au maréchal Pétain d'être enterré à Douaumont,
en manipulant les esprits avec une propagande faite de mensonges et dont vous vous faites
le porte-parole servile.
Vous n'avez que le mot de "Shoa" à la bouche alors que personne n'a été capable
d'en apporter la moindre preuve. C'est comme Badinter qui devrait avoir honte
d'avoir accepté un jugement qui a reconnu qu'il avait diffamé le professeur Faurisson
mais "de bonne foi".
A qui la faute de la déclaration de guerre ? Vous n'en avez pas parlé.
A qui la faute de la défaite ? Vous n'en avez pas parlé.
A qui la honte de la fuite de De Gaulle en Angleterre le 18 juin 1940,
le lendemain du 17 juin 1940 uniquement parce que Pétain lui avait refusé
le ministère de la guerre qu'il avait réclamé (cf. "Mémoires" de l'amiral Auphan) ?
A qui l'honneur, alors qu'il était, à 84 ans, ambassadeur en Espagne, d'avoir répondu
à l'appel de 569 députés du Front populaire et d'avoir assumé sur place la charge
du peuple français désemparé par la fuite des responsables gouvernementaux de l'époque ?
Vous devriez lire un peu au lieu de colporter comme un perroquet les mensonges du Système.
La librairie d'Emmanuel Ratier vient d'être saccagée.
Aurez-vous le courage d'en faire état dans votre prochain journal ?
< END>
Si nous avions le temps, les uns et les autres, de réagir régulièrement aux mensonges
des journalistes, il est certain que le Schmilblick avancerait plus vite.
Dans un message du 11 décembre intitulé "
Encore un journaliste épinglé",
nous diffusions la copie d'un courrier, dûment signé, envoyé par l'un de nos correspondants
au journaliste de la chaîne FR2 Laurent Delahousse à la suite de son émission
"
L'Encombrant Monsieur Pétain" diffusée la veille sur le maréchal Pétain.
Deux autres correspondants ont également épinglé le journaliste dans des courriers
dûment signés et nous les en félicitons car ce genre de réaction est beaucoup plus rentable
qu'on ne le pense.
Voici le premier courrier (qui est donc le deuxième reçu par M. Delahousse):
< START>
"
L'encombrant Monsieur Pétain"
Emission de Laurent Delahousse du 10 décembre 2013
Décevant Laurent Delahousse, ignorant ce qu'est le journalisme !
Décevante, la Télévision française, incapable de libérer ses chaînes de leurs chaînes !
France 2 a servi, le 10 décembre 2013, avec l¹émission intitulée finement
"L'encombrant Monsieur Pétain", un spectacle yiddish stéréotypé, partial,mensonger,
ultra-rabâché, identique à ce que l'on nous sert 3 fois par jour,7 jours sur 7 depuis 70 ans.
La seule innovation de cette soirée lugubre réside dans son objectif :
" tuer le Maréchal Pétain une nouvelle fois au profit d'une Commémoration
de la Première Guerre mondiale, caricaturale, antinationale, antifrançaise,
antichrétienne, mondialiste, sans âme, estampillée par la Police de la Pensée unique.
Va-t-il falloir supporter ce cinéma de mauvais goût pendant 5 ans ?
Ce spectacle va-t-il anesthésier un peu plus les Français ?
Ou bien cette overdose va-t-elle les sortir de leur coma profond dans lequel ils sont plongés, particulièrement dans les hautes sphères ?
Un réveil de l'opinion et des soi-disant élites serait éminemment salutaire.
< END>
Voici, comme annoncé, le troisième courrier envoyé au journaliste Laurent Delahousse
à la suite de son émission du 10 décembre sur le maréchal Pétain.
Nous souhaitions diffuser ces lettres anonymement mais les lecteurs qui nous lisent
attentivement ne pourront pas ne pas identifier dans le texte qui suit la plume de... Jacques Vecker:
< START>
Vous considérant comme un journaliste talentueux et attiré par quelques courts extraits
de présentation j'ai choisi de regarder votre émission mais m'en suis détourné après
quelques minutes seulement.
Je croyais découvrir un document de qualité alors qu'il ne s'agissait que du nième ressassement
d'une propagande spécieuse et partisane, la nième tentative d'abuser l'opinion alors
qu'apparaît de façon flagrante le mensonge de la prétendue Shoah, aucun argument
de raison n'ayant jamais été opposé aux innombrables révisionnistes.
Il fut question d'entrée de jeu, excusez du peu, du plus grand crime commis à cette époque : l'arrestation par la police française de quelques milliers de Juifs, Hitler ayant décidé
l'extermination de cette communauté, fantasme que les médias aux ordres, tout comme votre film,
tentent de maintenir en vie ou de ranimer.
Alors qu'il me semblait normal que l'on se penchât, septante années après les événements,
sur les réalités historiques ayant entraîné le déclenchement de la guerre, que nous avons déclarée, soit dit en passant,et que nous avons perdue.
Le vainqueur fut assez magnanime pour ne pas abuser de sa force:
devant les cheveux gris d'un adversaire, il ne s'empara pas de notre flotte,
nous laissa notre empire et, en attendant un traité de paix définitif, une large partie
de notre territoire dont la capitale fut Vichy, comme Bonn devint après 1945
celle d'une Allemagne entièrement occupée.
Une émission bien conçue ne s'attarde pas d'entrée de jeu sur un "détail" qui ne correspondait
qu'à une exigence du vainqueur à propos d'une population bien définie, étrangère
pour la plupart de ses membres à la nation française et considérée à juste titre
comme suspecte en raison de son hostilité affichée et active à l'égard de l'Allemagne.
Mettant l'accent sur des destins individuels, douloureux certes, l'on passa sous silence
l'essentiel comme si cette guerre était sortie de rien, sinon du cerveau d'un dictateur sanguinaire, que nous ne portions pas notre part de responsabilité et qu'une large partie des patriotes
français n'étaient que vils individus voués à l'opprobre éternel.
La France était absente,laissez-vous entendre.
La période de l'Occupation demeure une période sombre, mais la nation était vivante,
blessée certes mais en quête de lucidité et de renouveau.
La signature d'un armistice l'engageait et l'on devait s'y tenir, sauf à reprendre officiellement
les hostilités comme le fit De Gaulle, hors du territoire.
Les éructations d'un Robert Badinter,l'agressivité constante d'un Serge Klarsfeld,
l'insistance presque hargneuse d'un Jean-Pierre Elkabbach surtout face à Mitterrand,
parmi d'autres intervenants, choisis apparemment pour la haine qu'ils distillaient,
ne peuvent exprimer l'objectivité.
Le gouvernement de l'époque était un gouvernement légal.
Les pouvoirs attribués à Philippe Pétain le 10 juillet 1940 l'avaient été par les élus de la nation. Durant cette période trouble l'Etat Français était bien la continuation de la IIIe République
et incarnait la France. Sans les actes dirigés contre les forces d'occupation par des partisans asociaux, celles-ci n'auraient pas exercé de représailles, conformes d'ailleurs aux lois
de la guerre...
Enfin, se réconcilier avec l'ennemi de la veille et entamer avec un vainqueur magnanime
une politique de collaboration n'a rien de forcément détestable.
L'exemple de la noble figure de Nelson Mandela le prouve.
Cher Laurent Delahousse, il est compréhensible que vous soyez impressionné
par les seuls tenants de la religion shoatique ou, ce que je ne saurais croire,
comme le dit Alain Soral à Eric Naulleau, que vous pensiez à votre place, mais revoyez
votre émission à la lumière des découvertes faites depuis plus de soixante ans
par des chercheurs honnêtes, réécoutez vos propos, trop solennellement scandés,
et revenez-nous l'esprit affranchi des miasmes d'une manipulation délétère.
Je rêve d'une "mandelisation" de Robert Badinter, sans 27 ans de cachot,
recherchant obstinément avec Robert Faurisson une réconciliation sur la base
d'une analyse non faussée des réalités historiques...
Avec mes meilleures salutations,
< END>