(
Salvador Allende)
Le conseil régional d'Ile-de-France a versé 4,6 millions d'euros au Chili depuis 1998,
ce qui est juste un petit exemple de la gabegie socialiste pour ceux qui s'étonnent
de l'augmentation vertigineuse de leurs impôts locaux en Ile-de-France !
Les cigales mondialistes devront s'expliquer un jour !
Dernièrement, une subvention de 74 321 euros a été votée, destinée à financer
une partie de la cérémonie de commémoration à Santiago du 40ème anniversaire
de la mort de Salvador Allende.
Faut-il rappeler qu'au moment de son renversement par le général Pinochet
(celui-ci avait été nommé à son poste par Allende qui le savait républicain !
Tout comme le général al-Sisi avait été nommé par Mohammed Morsi
qui le savait "pieux musulman".
Un Mohammed Morsi qu'il vient de faire emprisonner avant de le faire juger...
(
général Augusto Pinochet)
Bizarrement, la presse continue à agonir d'injures la mémoire d'Augusto Pinochet
dont je rappelle qu'il avait été poussé à intervenir par la rue, et reste relativement
muette sur son homologue égyptien,alors que les "Frères Musulmans"
le dénoncent aujourd'hui comme l'auteur du "massacre le plus important"
de musulmans (pire que le nombre des "gazés" imputés sans preuve à Bachar Al Assad ? )
et une Armée véritablement républicaine, à la demande pressante du peuple chilien
après la "Révolution des Casseroles", et de son suicide (en réalité, il aurait été "suicidé",
par ses gardes-du-corps cubains qui voulaient en faire un "martyr"),
Salvador Allende était en train d'instaurer au Chili un régime communiste féroce
à l'image de celui de Cuba et du "grand frère" soviétique.
C'est sans doute pourquoi il est devenu l'icône de la gauche, et pas seulement
de la gauche !
Quoi que l'on pense d'ailleurs du personnage, et quel qu'il fût en réalité,
les contribuables franciliens n'ont pas à financer la moindre commémoration à son sujet !
Il faudra qu'un jour le président de la Région Ile-de-France et les membres de son exécutif
(et pas seulement eux d'ailleurs !) rendent des comptes aux contribuables,
sinon aux électeurs !