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L' Agora
Forum politique de libre expression & historique sans tabou.
Bienvenue sur le forum de L'AGORA, ici, le livre de notre Histoire a toutes ses pages....
(Noël 1941)
Exemple de quelques pages d'Histoire "occultées" dans nos livres d'Histoire....JO 1936 à Berlin : (Au dernier moment, toutefois, le comité américain, qui craignait les équipes hollandaise et allemande, revint sur sa décision. J. Owens et R. Metcalfe furent choisis aux dépens des deux athlètes… juifs. (S. Stoller et M. Glickman)(voir photo suivante) Le Bétar en uniforme avec son drapeau à Berlin:"En Histoire, la croûte, c’est le mensonge en lui-même, le pus, c’est l’occultation qui l’accompagne. N’hésitons pas à inciser et à tout purifier …"
Le saviez-vous ?
" Les Juifs déclarent la guerre aux Allemands en 1933."
"La Judée déclare la guerre à l'Allemagne"
Discours d'Adolf Hitler contre le Nouvel Ordre Mondial.
Le saviez-vous ?
Qu'est-ce que le fascisme ? - Petite leçon rapide sur le fascisme.
« Quatre années d’Allemagne d’Hitler vues par un étranger »
de Cesare Santoro.
Affiche de propagande NS: (" On y voit une série d'animaux saluer Goëring.En haut à droite: un signe disant " Vivisection interdite" ( vivisection verboten ).
(" Les animaux de laboratoires saluant Hermann Göring" )
Ces Nazis Noirs qui soutenaient Hitler.
La liberté d'expression au "pays des Droits de l'Homme", c'est ça.... />
...hélas, d'autres "démocraties" embastillent ses citoyens pour délit d'opinion,voyez cette vidéo >
C'est un proverbe populaire utilisé par Shakespeare: "Henry IV", Première Partie, Acte III, scène 1, page 640 édition La Pléiade, traduction de Victor Hugo: << Dites la vérité, et vous humilierez le diable. >>
Ursula Haverbeck explique pourquoi l'Holocauste est le plus grand et le plus persistant mensonge de l'Histoire.
Ursula Haverbeck, 87 ans, est condamnée à dix mois de prison ferme !
Ursula Haverbeck, surnommée en Allemagne la « mamie nazie »,
a soutenu lors de son procès que « le camp d’Auschwitz n’a pas été un lieu d’extermination».
L'interview Vérité de Robert Faurisson à Méta Tour.
Démocratie dictatoriale :
Wolfgang Fröhlich,
en prison depuis 10 ans
pour délit d’opinion.
Udo Voigt (NPD):
Violations des droits de l'homme en Europe :
Dieudonné, Fröhlich, Haverbeck.
"Qui ne gueule pas la vérité, quand il sait la vérité, se fait complice des menteurs et des faussaires" (Charles Péguy)
« Débattre avec quelqu'un,c'est prendre le risque de changer d'avis » (Raymond Aron)
"L'Histoire est du vrai qui se déforme,et la légende du faux qui s'incarne" (Jean Cocteau)
DEVOIR DE MEMOIRE = DRESDE, les 13, 14 et 15 FEVRIER 1945.
" Dresde : Crime contre l'humanité,impuni à ce jour...."
"Souvenons-nous: Dresde 13,14,15 février 1945"
(Sur les raids aériens, lire « L’Incendie » de Jörg Friedrich aux éditions de Fallois. 2004 ).
HELLSTORM - Tempête Infernale:ce film racontel'histoire que les vainqueurs,encore à ce jour, ne veulent pas que vous sachiez...
6 août 1945 : "Barbarie démocratique : Hiroshima "
« Il y a quelque chose de pire que d'avoir une mauvaise pensée. C'est d'avoir une pensée toute faite. »(Charles Péguy)
"Qui n'entend qu'un son, n'entend qu'une cloche, écoutons les deux sons de cloche..."
Claude Sarraute: "notre shoa ont l'a vendu au monde entier".
Ayatollah Khamenei - "Les temps sombres sont devant nous "...
Un rabbin anti-sioniste : « la shoah a été créée par des sionistes. »
" Le professeur Faurisson a eu 85 ans le 25 janvier 2014. Voici la vidéo qu'a composée pour lui un de nos correspondants allemands, que nous félicitons également "
" 1990, 45 ans après Nuremberg,les Sovietiques reconnaissent l'assassinat des officiers polonais dans la forêt de Katyn...."
" Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis...."
L'avis de nos présidents de la république :
Nagasaki et Oradour: où est la vraie barbarie ?
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Jean Jaurès : « Le courage, c’est de chercher la Vérité et de la dire ».
Les Derniers Jours du Grand Mensonge...
Aucun Juif gazé - 'I'm With You'...
Spartacus Kouros Messages : 2078 Date d'inscription : 13/03/2010 Age : 57 Localisation : Les arènes
Sujet: 6 février 1964 : mort d’Eric Labat. Ven 6 Fév - 18:50
6 février 1964 : mort d’Eric Labat.
Eric Labat est né en 1921 à Berlin, de parents fonctionnaires. La famille déménage à Vienne en 1928. Sa mére divorce et remarie avec un autrichien, et elle acquiert la nationalité allemande.
Il poursuit des études et il est licencié ès lettres.
Militant du P.P.F, il sert dans le Service d’Ordre. Il quitte le parti en novembre 1938.
Secrétaire de Pierre Clémenti, il s’engage à la LVF le 28 juin 1942, et obtient le numéro matricule numéro 7867. Il reste cantonné au dépôt du quartier de la Reine jusqu’au 8 octobre 1942, où son convoi , le troisième renfort, est mis en route pour Kruszyna. Peu avant Noël 1942, il obtient une permission d’une semaine pour se rendre à Vienne rendre visite à sa mère et son beau-père.
Il regagne Kruszyna, et son contingent part pour la Russie, dont il franchit la frontière russe dans la nuit du 31 décembre 1942 au 1er janvier 1943.
Il arrive au IIIème bataillon de la LVF le 7 janvier 1943. Labat est un aventurier, courageux, mais très insolent et fort en gueule. Il sert tout d’abord à la 9éme compagnie, puis est muté à l’état-major du bataillon en février 1943, comme interprète et au service de l’armement.
Il part en permission en juillet 1943, pour une vingtaine de jours. Au retour, il s’attarde en visitant Stuttgart, Vienne puis Minsk ! C’est une pratique courante chez certains légionnaires, en faisant marcher la lourdeur administrative des allemands, ils voyagent ainsi à moindre frais en Europe en aller ou retour de permission !
Proposé sergent le 21 octobre 1943, par son chef Daffas, Labat ne reçoit pas la promotion du fait de son impopularité auprès de l’EMLA et de certains officiers du bataillon.
Le commandant Panné le mute d’ailleurs à la 10ème compagnie, et d’abord assigné au troisième peloton, puis au premier. Muté au peloton de commandement en janvier 1944. Il part en permission fin mars 1944. De retour au front début mai, Labat est affecté à la 9ème compagnie, et part à l’école d’application de Borissov comme instructeur des élèves mitrailleurs français.
Eric Labat regagne la 9eme compagnie le 9 juin 1944. Il se trouve à Rakov avec des éléments de sa compagnie et des isolés divers, et participe à la défense de la ville, début juillet 1944. Il retraite à pied, puis prend le train jusqu’à Francfort, puis Greifenberg.
Labat est hostile au passage à la Waffen-SS, et ne se gêne pas pour le dire, ce qui lui a vaut des ennuis avec certains officiers. Labat est malgré tout nommé Chef du second peloton de la compagnie PAK du Waffen-Panzerjager-Abteilung der SS 33.
Il part pour la SS-Panzergrenadierschule de Janovitz en octobre 1944, comme instructeur des recrues françaises. Il ressort de l’école fin novembre 1944, et profite d’une permission prolongée en passant par Vienne et Prague. Il arrive à Wildflecken peu avant Noel. Evincé de son poste de Chef de peloton, il est à la place chargé d’instruire les sous-officiers du Bataillon anti-char.
Démotivé, il démissionne fin janvier 1945 de son poste au Bataillon Boudet-Gheusi, et se fait affecté au sixième bureau (propagande).
Il voyage ensuite direction Sigmarigen, puis à Berlin. Il quitte la ville avant son encerclement, et se dirige vers le sud, retrouvant quelques camarades isolés de la division
Ils se dirigent vers le Rhin, traversent la riviere, et gagnent Paris par les routes de campagnes.
Son frère, combattant F.F.I, rentre d’Allemagne, et lui fournit des papiers. Labat est arrêté peu après, alors qu’il est sur le point de s’engager à la Légion étrangère.
Jugé le 6 mars 1946 par la cour de justice de la Seine, il est condamné à huit ans de travaux forcés.
Libéré en 1949, il travaille dans diverses entreprises commerciales, puis s’établit comme traducteur.
Labat écrit ses souvenirs, parmi les plus intéressants de tous les mémoires de vétérans : Les places étaient chères. En 1951, l’éditeur La Table Ronde publie le livre, mais il ne s’agit que d’extraits de ses carnets de souvenirs.
Au vu du succès de ses mémoires l’éditeur publie cette fois la version complète en 1969.
Ce livre est truffé d’anecdotes croustillantes sur la LVF.
A ces mêmes éditions, il fait la traduction de livres dont Cosaques sans patrie, le récit de Frantz Taut.